Chapitre XXXXIX

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/ ATTENTION : ALLEZ RELIRE LES CHAPITRES D'AVANT SI VOUS AVEZ OUBLIÉ UN PEU -BEAUCOUP- L'HISTOIRE AVEC LE TEMPS SVP MERCI -ET PAS TAPER POUR KIKO EN MÉDIA IHIHI- /



Point de vue GD •

" Bon on fait quoi Jiyong ? Demanda Soonho.
- On va chez Kiko.
- Seconde résidence ?
- Première.
- Mais...
- J'ai dit première.
- ... "

Il me regardait d'un air ahuri, mais ne rechigna pas et ouvrit la portière du véhicule qui nous avait attendus devant le commissariat.
Chaerin s'y glissa d'abord, puis je la rejoignis sur la banquette arrière, tandis que Soonho s'installa à l'avant.
Je donnai l'adresse au chauffeur, et il démarra la Bentley.

Je ne pouvais pas m'arrêter d'imaginer Anju attachée à un des fauteuils du salon, son beau visage violenté, recouvert de bleus, ses yeux brillants fixant Kiko, l'air assassins, serrant les dents, cherchant un semblant de solution, même si elle savait pertinemment qu'il n'y en avait aucune.
J'imaginais Kiko lui faire subir toutes sortes d'atrocités, et je savais qu'elle en était capable, sans hésitation aucune.
J'imaginais la scène de la sextape se dérouler, j'imaginais la chambre d'hôtel dans laquelle ils se trouvaient dans la vidéo, j'imaginais Youngbae la toucher sans scrupules, lui donner du plaisir, lui procurer des sensations extrê...

" EH OH JIYONG ?
- Qu...Quoi ?
- Punaise tu fais peur en ce moment gars, j'ai l'impression de protéger un zombie steuplé, marmonna Soonho.
- Désolé j'étais... Dans la lune. Tu voulais quoi ?
- Je suis bien conscient que t'as l'intention d'aller tuer Kiko là, et franchement j'suis avec toi, mais juste, t'as un plan ou quelque chose ? Et pourquoi on va pas à la deuxième résidence ? Yamagata avait dit qu... "

Je lui coupai la parole en lui montrant le message que j'avais reçu quelques minutes auparavant, et il ferma finalement sa gueule.
Je savais que j'avais une chance inouïe d'avoir un ami comme lui, prêt à carrément s'impliquer dans un meurtre pour moi, mais franchement, il me les brisait avec toutes ses questions.

Et Chaerin ne disait rien.

Je supposais qu'elle me boudait parce que malgré son speech dans le bureau du commissariat, je n'en faisais rien qu'à ma tête, mais franchement, elle me perturbait à ne pas dire un seul mot.




[...]



Arrivés devant l'énorme immeuble en plein centre de Tokyo, nous nous dirigeâmes vers le grand hall lumineux.
Soonho, en tant que manager et "garde du corps" lorsqu'il n'y en avait pas un spécial, avait réussi à se procurer des armes ; comment, je ne savais pas, et je ne voulais pas le savoir.
Le gardien du bâtiment me reconnut et nous laissa pénétrer dans l'ascenseur de verre, qui nous déposa au cinquantième et dernier étage, qui lui appartenait tout entier.
Nous nous approchâmes de l'imposante porte en chêne qui nous dominait, et alors qu'il allait se mettre à sonner *abruti*, j'empêchai Soonho de bouger en attrapant sa main, agrippai doucement la poignée, et sans effort, elle céda dans un léger cliquetis qui résonna dans le silence pesant.

" Pourquoi elle serait ouverte ?? Chuchota Soonho.
- Parce qu'elle m'a invité à venir imbécile, répliquai-je.
- Eh je vais passer en premier, si vous entendez rien c'est que la voix est libre, ok ? Nous coupa Chaerin.
- Que... d'accord... chuchotai-je, les yeux écarquillés, tandis qu'elle nous bouscula pour se frayer un passage. "

Elle entra rapidement à l'intérieur, nous laissant seuls tous les deux.
Il commença à m'expliquer silencieusement le fonctionnement du gun qu'il m'avait confié, oubliant que j'avais déjà reçu un entraînement spécial afin de savoir si j'étais apte à intégrer certains régiments de l'armée qui nécessitaient une certaine qualité de visée, et une rapidité d'appropriation des consignes, et oubliant également que j'avais réussi le test haut la main.
Je l'interrompis, posant doucement ma main sur la sienne occupée à me m'expliquer les différentes parties de l'arme dont on aurait besoin.

" Soonho... Je sais déjà tout ça, et ce truc, ça sera juste de la protection.
- ...Me dis pas que tu veux la tuer autrement..
- Je l'assassinerai par strangulation. Grinçai-je avec ironie, imitant mon abruti d'avocat qui n'avait fait que dire cette expression durant la préparation de mon procès. De mes propres mains. Je l'attrap-
- Jamais de la vie. Tu la tues avec une balle. Tu risques pas encore plus ta vie juste par envie soudaine de l'étrangler, tu délires. Si tu meurs, je vais devoir passer par tout le délire des procès tout seul, c'est hors de question, murmura-t-il avec un sourire crispé. "

Je lui rendis son sourire, sans répondre quoi que ce soit, et n'entendant que le silence, je me faufilai à l'intérieur de l'appartement, échappant à la malaisance environnante qui nous entourait.
Je me dirigeai directement vers le salon aussi grand qu'une glace de patinage, marchant silencieusement, Soonho à mes pas, l'arme pendant à la main.

En avançant dans le long et large couloir immaculé décoré avec les goûts originaux qui caractérisaient Kiko, qui donnait sur une rangée de grandes pièces dont je connaissais tous les coins et recoins qui faisaient chacunes la taille d'un appartement, je commençai à me rappeler tous les souvenirs que je pensais heureux que j'avais créés dans ces lieux.
J'ouvrai toutes les portes doubles qui longeaient le corridor, la lumière réfléchie des immenses baies vitrées qui donnaient sur Tokyo illuminant le parquet luisant, contrastant avec l'obscurité ambiante, chaque fois que j'atteignais une ouverture, la cherchant dans chaque pièce de l'appartement.
Chaque souvenir semblait refaire surface à mon plus grand détriment, chaque moment passé à discuter de tout et de rien, jusqu'à chacune des fois où nous avions fait l'amour, tout, avec une précision absolument déconcertante me revenait à l'esprit.
Je me rappelai ensuite de tous les moments où j'avais été avec Anju.
La première fois que je l'avais vue, c'était dans une interview complètement stupide où elle avait dit un truc complètement stupide, que je pensais sans intérêt, mais auquel j'avais apparement donné une certaine importance, vu que je m'en rappelai toujours.
La seconde fois, elle était venue à notre concert à Paris et était apparue devant moi avec ses albums MADE, toute fraîche et pimpante, excitée à en mourir de nous voir, les étoiles dans les yeux. Les paparazzis s'étaient rassemblés en masse pour avoir des clichés de nous deux, et j'en avais profité pour la prendre dans mes bras, ce qui était censé être pour la protéger, mais je m'étais fichu du monde, et j'avais uniquement fait ça pour la rendre toute chose, ce qui avait été, malheureusement pour nous, une franche réussite.

Et c'était le déclenchement d'une histoire vouée à notre perte.




Au bout du couloir, se tenait une porte massive, de trois mètres de haut.
Elle s'ouvrit avec difficulté une lourde plainte dans le silence pesant, illuminant le couloir sombre, et nos yeux éblouis, s'habituant peu à peu à la lumière soudaine commencèrent à dessiner des silhouettes familières.

Sur deux chaises "Calvet" d'Antoni Gaudi, que je reconnaissais pour les avoir vues chez Seunghyun -et pour en avoir entendu un exposé de 2h de sa part-, étaient assis Youngbae, et Anju, chacun un revolver sur la tempe.

Au centre, Kiko.

Plus à gauche, Soojoo.

Et à sa droite, Chaerin.






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BJRBJR

Je suis encore en retard comme d'hab trololo (bon c'est même plus du retard jpp) ATTENTION il reste plus qu'un chapitre 😌

SVP PASSEZ VOIR (JSPLU LE NOM JCROIS C GNR MAGIE NOIRE OU DIAMANT NOIR OU JSP PT C ABSOLUMENT TOUT SAUF ÇA JSPJSPSJP) BREFOUILLONS ALLEZ VOIR LA FIC DE bpjensavip C'EST UNE FIC SUR BTS C'EST DE A GROSSE CHIASSE TROLOLO MAIS ALLEZ VOIR PR LA TROLLER SVP C UNE MEUF QUI M'A CONNUE SUR WATTPAD ET EN FAIT ELLE EST DANS MON LYCÉE ET ELLE EST COREENNE AUSSI DU COUP ON EST POTES MDRMDRMDR MERCIMERCI (JTAVAIS DIT QUE JLE FERAIS MDMRMDMDMRMMDMRME 데헷)

BREFOUILLONS J'ESPÈRE QUE ÇA VOUS A PLU (AVOUEZ ÇA VOUS AVAIT MANQUÉ LOL -ou pas-)

Et...

KEUR SUR VOS PATRICKS ET VOS FESSES MOLLES (tmtc sterjô)

"Jiyong oppa..." | G-Dragon (Bigbang) {terminée}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant