Bon ! Alors, premièrement, j'ai enfin trouvé le lieux de mon prochain déménagement, un quartier "calme" (même s'il n'a pas bonne réputation) dans la ville de mon lycée. Dernier étage d'un immeuble avec vue sur la ville et ses HLMs et, de l'autre côté, vue sur la partie de la ville plus... forestière ?
En tous cas, c'est fort sympathique. J'aime plutôt bien, surtout que j'habiterai pas très loin de mon amie T., ce qui est une bonne chose en soi (sauf pour elle qui va devoir me supporter encore plus).
Deuxièmement, oui, mon cœur insensible peut ressentir ce sentiment étrange qu'on appelle communément "amour". C'est étrange. A la fois bien, à la fois douloureux. J'ai du mal à m'y habituer.
A part ça, j'aime écouter des musiques normales avec des paroles on ne peut plus habituelles : "Au jardin de mon père, Marie-Jeanne est jolie
Au jardin de mon père, Marie-Jeanne est jolieRoulons-la lanrida, roulons-la ridaine
Roulons-la lanrida, roulons-la ganjaAu jardin de mon père, le cannabis fleurit
Au jardin de mon père, le cannabis fleurit"Voilà. C'est plutôt conceptuel. Même si avant je comprenais "Le cannabis fleuri", ce qui est... légèrement différent au niveau du sens.
Enfin bon. Je suis perturbée. C'est perturbant d'être perturbée parce que je n'ai pas l'habitude.
Il y a aussi eu mon anniversaire. C'était sympathique, mes amies m'ont fait des cadeaux, je ne m'y attendais pas. Du coup, j'étais perturbée émotionnellement (oui, encore). Mais celui de mon amie T. m'a beaucoup fait rire, ça m'a remonté le moral. Donc, je la remercie encore.
Voilà, je crois que l'on peut dire que c'est ce qui conclut l'insensibilité (du moins une bonne partie) de mon cœur hypersensible (oui, c'est un grand paradoxe, mais j'aime les paradoxes. Je suis paradoxale).
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Surdouance, mais pas trop non plus
Non-FictionDisons qu'il s'agit d'une sorte de forme de mon quotidien.