Chapitre 14 : chez Spooky (partie 3) (version améliorée)

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PDV Clément

Vu que je n'ai pas la montre qui indique les salles, et que Lucas a disparu, je continue à errer, seul, complètement perdu. Puis, au bout d'un moment, j'arrive dans une salle avec trois portes. J'essaie d'ouvrir celle devant moi, qui refuse. Puis celle à ma droite, qui ne veut pas s'ouvrir non plus. Et enfin, je vais sur celle tout au fond à gauche, qui s'ouvre finalement.

C'est alors que je sursaute, la salle devant moi est une salle de laboratoire, avec des réservoirs contenant des monstres sur le côté. Je suis dans les GL labs. J'ai donc dépassé la salle 100, et je n'ai même pas eu de checkpoint.

Et puis merde, cette Spooky...

À la salle suivante, je trouve bien la clé magnétique d'assistant GL mais aucune note. Et c'est à ce moment que je me dis que, misà part la note de la salle du spécimen 2, il y en n'avait aucune venant d'un être humain ayant put pénétrer dans le bâtiment avant nous. Tous est si différent du jeu...

Toutefois, il y a une trace de sang par terre.

Perturbée par son odeur et voulant vite partir, je prends la clé magnétique et passe encore une salle grâce celle-ci qui m'ouvre la porte.

Mais mauvaise idée, une trace de sang encore plus grosse s'y trouve. Je me précipite vers la sortie, quand j'entends un bruit de cliquetis.

Oh non...

Je retourne brièvement la tête, voyant la créature sortir d'un trou du plafond de derrière moi, me fixant de ses cinq yeux.

Sans réfléchir, je m'enfuis en courant, ma douleur au dos m'obligeant un peu à ralentir. Mais à peine je m'éloigne que je vois un trou se former dans le mur, et me rappelle alors que le spécimen 3 peut s'amuser à y descendre. Je continue à courir, m'obligeant à me dire que ce n'est pas le pire. Qu'il y a l'école japonaise, celui qui fait de la brume et... le vendeur de masques...

Rien que d'y penser, j'en ai des frissons.

Au bout d'un moment, mon essoufflement et ma douleur m'obligent à arrêter. Je voudrais recommencer à courir, mais je n'y arrive pas. Alors, j'attends en craignant le pire.

Mais rien.

Je me retourne, le spécimen est parti.

Rassuré, je pousse alors la porte de la salle suivante, mais un cri me fait sursauter :

- Bienvenue à la salle 150 !

Ok, ok, je sais que c'est complètement pourri comme chapitre.

M'enfin, ne vous inquiéter pas, car pour le prochain je vous mets le point de vue de...

Allez, devinez !

Journal d'un gamer : des jeux virtuels à la réalitéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant