Partie 9

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Chapitre 9

Cette épreuve a mise la belle Djaïna complètement k.o. Elle s'est évanouie et son poul a chuté, elle est presque morte. Elle a perdu beaucoup de sang à cause de ses blessures et la glace de la veille lui avait pas apporté suffisamment de force. Elle était dans les pommes comme on dit ou plutôt les abricots et basilic. Les infirmières étaient en train de chercher l'identité de cette jeune femme qui avait aucun papier sur elle, rien même pas son téléphone. Elles avaient pansé ses blessures, l'avait habiller un minimum et installé dans une chambre. En fin de journée un médecin tout droit arrivé de Nice avait pris son service. Tenu au courant par ses collègues du cas il avait d'abord ignorer la patiente puis en se trompant de chambre il était rentré. Son visage ne lui disait rien, faut dire qu'il était vraiment amoché mais la doudoune avec fourrure dans ses effets personnels ainsi que la jupe couleur rouge déchiré lui rappeler quelqu'un. Il avait de suite penser à la vendeuse du magasin où son meilleur ami aimait aller, la vendeuse qui attiré l'attention du grand Shakib mais il se disait que c'était pas possible mais la curiosité le poussa à appeler son ami de longue date. Il s'assit sur la chaise dans la chambre de la patiente et sorti son téléphone. Son ami répondît vite à son appel, il était toujours pendu à son téléphone.

Émir: Allo ça va frère ?

Émir c'était son prénom, destiné à avoir un empire comme lui répéter souvent sa mère qui l'avait élevé seul. C'était le seul enfant qu'elle avait pu avoir, ce qui lui a valu le divorce de son mari. C'était son petit prince.

Shakib: Ça peut aller et toi ? T'es au travail ?
Émir: Ouais c'est pour ça que je t'appelle là, dis moi ta kehloucha elle va bien ?
Shakib: Je sais pas elle me répond pas c'est la messagerie quand j'appelle pourquoi ?
Émir: Viens à mon travail frère
Shakib: Je passe chez elle d'abord c'est pas très loin et j'arrive.
Émir: Non viens avant.

Il raccrocha son téléphone et regarda la patiente. Qu'est ce qui avait bien pu lui arriver ? Il l'aimait bien cette femme, elle avait du caractère derrière son visage souriant. Il espérait se tromper en l'a regardant, peut être que c'était pas elle. Ici tout le monde s'habille pareil après tout, peut être que c'était une autre femme. Mais tout lui disait que c'était elle surtout après que son presque frère lui ait dit qu'elle ne lui répondait pas.

Shakib arriva au service de son ami et le rejoignit devant la porte d'une chambre.

Shakib: Alors qu'est ce que t'as toi ?
Émir: Rien je veux juste que tu me dises Tu l'as vu quand ta kehloucha ?
Shakib*rigole*: Hier regarde ma doudoune frère elle m'a fait craqué on en a acheter une j'ai le style parisien ou pas ?

Émir sourit mais, il savait que c'était la petite noire de son ami. Il en était maintenant sur, il posa son bras sur l'épaule de son pote qui lui enleva. C'est vrai il détestait qu'on le touche.

Émir: Elle était habillé comment ?
Shakib: Oh deconne pas qu'est ce que t'as tu me demandes comment elle s'habille maintenant ?
Émir: Fais moi confiance Shakib dit moi.
Shakib: Je sais plus son manteau avec un voile noir et une robe rouge je crois. Pourquoi ?
Émir: Je crois qu'elle est dans cette chambre

Shakib regarda son ami et fit les gros yeux. Il fronça les sourcils en souriant.

Shakib: Mais qu'est ce que t'as tu me blagues comme ça ? Tu veux me faire croire elle a accouché ou quoi ?

Dans l'enfer des tournantes. [ Réécriture]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant