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Précédemment...

J'ouvre les yeux et le désir que je vois dans les siens associé à la bosse que je sens sur ma cuisse me fait perdre la tête. Je passe mes mains sur son cou pour l'approcher de moi et l'embrasse sauvagement, j'attrape sa lèvre inférieure entre mes dents il gémit et prend mon sein gauche dans sa main, je gémis à mon tour quand il le titille de la pulpe de ses doigts experts. Il descend en déposant des baisers le long de ma mâchoire, mon cou pour finir sur mon autre sein dont il attrape le bout entre ses lèvres. Je me cambre en étouffant un gémissement dans mon poing, il continue sa descente sur mon ventre le parsemant de baisers qui ne font qu'augmenter mon désir. Je n'ai jamais était aussi excité de toute ma vie je pourrais jouir la tout de suite quand il défait le bouton de mon jean en me regardant comme si il ouvrait un trésor. Il commence à me l'enlever quand Édouard frappe à ma porte.

—Ça va Elisabeth ? J'ai entendu du bruit ! Demande-t-il à travers la porte

C'est pas vrai il peut pas nous laissé deux minutes celui-là!!!

                           ****************

J'enfile mon peignoir et me débarrasse de mon jean. Édouard frappe encore une fois à ma porte.

—Oui j'arrive ! Je lui répond exaspéré. Cache toi dans l'armoire !! Je chuchote à Henry en lui donnant ses vêtements

—Tu n'est pas sérieuse ?

—Si tu préfères que ton frère te trouve dans mon lit, c'est toi qui voit.

Il se décide enfin quand Édouard recommence à frapper. Je vérifie que rien ne traîne et je vais lui ouvrir.

—Quelque chose ne va pas Édouard ? Je lui demande légèrement irrité

—Heu, si enfin non tout va bien ! Dit-il avec un léger mouvement de recul

—Tant mieux, moi aussi, alors si ça ne te dérange pas je retourne me couché !

—Tu a besoin que je t'accompagne à la librairie demain ?

—Non merci je prend le vélo, j'aime bien faire un peu de sport!

Il jette un œil dans ma chambre comme si il se doutait de quelque chose.

—Ok alors bonne nuit à demain!

—Bonne nuit Édouard ! Je lui répond pressé de fermé la porte

Une fois celle-ci verrouillé, je me précipite pour libérer Henry. Nous avons décidé d'en resté là pour ce soir. Je me suis donc blottie dans ses bras et nous nous sommes endormi dans les bras l'un de l'autre.

Je n'avais jamais connu de réveille aussi agréable que celui-ci. Henry penché au dessus de moi, me caressant le visage, m'embrassant l'épaule et le cou. Son torse ferme sous mes doigts me donné surtout envie de resté au lit toute la journée et apparemment lui aussi. Il s'étire et je vois ses muscle se bandé. Humm !!

—Bonjour mon cœur ! Me sourit il

—Bonjour. Je lui répond timidement

—Tu a bien dormi ? Demande-t-il en caressant mon bras

—Très bien et toi ?

Parce qu'on ne sais jamais Où les histoires vivent. Découvrez maintenant