Parce qu'on ne sais jamais

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En médias Henry à la piscine!!!!!!

Je me lève tôt ce matin les filles partent aujourd'hui. Je vais dans leurs chambre pour les aider à préparer leurs valises. J'ai le cœur gros, elles vont énormément me manqué. Pendant qu'elle déjeune je prépare leurs vêtements. Je dois cligner des yeux souvent pour endigué les larmes qui menace de coulées à tout moment. Une fois les valises terminé je les descends au rez-de-chaussée devant la porte. Je les rejoints à la salle à manger. Elles ont terminé leurs petit déjeuner Isabelle me demande si je peux les aider à mettre leurs chaussures.

—Je n'ai pas envie de partir! Pleurniche Debby

—Mais si ma puce tu va voir ta maman! Dit-je la boule au ventre

—Mais nous on voulait que tu vienne! Ajoute Daisy

—Je sais ma puce mais je doit travaillé à la librairie! On se revoit bientôt vous savez ?

— Et puis tu va resté toute seule ça me fait mal au cœur! Pleure Daisy

Henry que je n'avais pas entendu arrivé s'accroupi devant les petites.

—Écoutez les filles. Vous devez allez voir votre maman vous lui manquez beaucoup, en échange je vous promets de resté tout le temps avec Elisabeth et de bien m'occuper d'elle! Fini-t-il en me regardant à ce moment je lis dans ses yeux que c'est plus qu'une promesse faite au filles, cette promesse elle est pour moi également.

Il se relève, embrasse les filles et sa mère puis part dans la salle à manger. Je serre les petites à mon tour. Je dois resté forte, je ne peux pas pleuré devant elles. Je fait un câlin à Isabelle et toutes les trois monte dans la voiture. Je leurs fait un dernier coucou. Je ferme la porte et m'y adosse en soupirant. Mon téléphone sonne, je l'attrape et décroche

—Allo sœurette comment vas-tu ?me demande mon frère apparemment de bonne humeur

—Salut Tom ça va et toi?

— Hoho! Tu a la voix des mauvais jours! Que ce passe-t-il ?

—Rien, les petites viennent de partir j'ai un peu la boule au ventre.

—Tu est seule?

— Non Léonie reste avec moi.

Autant ne pas lui dire que Léonie n'est ici que le matin et qu'en fait je vais plutôt être seule avec Henry.

—Si tu veux je peux venir, j'ai un peu d'argent tu ne sera plus seule comme ça !

—Non! Dit je précipitamment. Enfin c'est pas la peine , je travaille tout les jours tu serais seul ,en plus garde ton argent tu as travaillé dur pour le gagner !

—D'accord mais si ça ne va pas appel moi. Ok?

— Ok, Merci !

— Je t'aime sœurette !!!

—Je t'aime aussi frérot !!

Je raccroche en tenant le téléphone sur mon cœur, ça m'a fait du bien de parlé à mon frère, il me manque beaucoup, j'ai hâte qu'il vienne pour noël. Je lève les yeux et remarque Henry nonchalamment appuyer sur l'encadrement de la porte de la salle à mangé.

—Je peux te posé une question Elisabeth ?

—Oui que ce passe-t-il ?

—Qui est "frérot"? Demande-t-il. C'est ton petit ami?

Au début je ne comprends pas pourquoi il me demande ça puis je me souviens qu'il ne parle pas français. Je tiens ma vengeance.

—Tu veux dire le garçon à qui j'ai dit "je t'aime"?