Eva, 17 ans, regarde la télé et commence à s'endormir quand son téléphone la réveille.
Inconnu : Putain ! Grouille ou on va se faire disputai par le vieux !
Mais, ce SMS, va changer des choses et faire aparaitre des sentiments. A Eva, mais aussi à...
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J'hausse les sourcils. S'il croit qu'il va me piéger comme ça lui... Et bah non !
- T'es maline apparemment, sourit-il.
Je lève ma main devant son visage et lui montre mon majeur.
- Mauvaise fille, ricane t-il.
Je lève encore les yeux au plafond.
- On lève pas les yeux au plafond avec moi, jeune fille, me gronde t'il, son sourire amusée le trahissant.
Mais, j'ai le droit de faire quoi en faite ? Je peux pas parler, je ne peux pas lever les yeux au plafond... Je peux faire quoi ?
Je me mets à la fixé droit dans les yeux.
- Tu dois rager à l'intérieur, non ? ricane t'il en me regardant, haussant un sourcil.
Je le regarde. Pourquoi je ressens des choses bizarre quand je suis avec lui ? Il a quoi ? Un magnifique sourire, des yeux envoutants, et que je dois avouai aimer les regarder, un visage enfantin.. Je rend compte d'un truc... Pourquoi je trouve qu'il est parfait ? Enfin... Que je trouve tout parfait chez lui ?
- Tu veux bien me pardonner pour t'avoir mentis sur mon identité ? demande t'il.
Il enlève son doigt de mes lèvres et me regarde.
Je peux le comprendre... Il a du souffrir avec ses pouffiasses en chaleur et qui veulent seulement son argent. Le problème, c'est que j'ai peur de les perdre maintenant que je me suis attacher à eux. Donc... Je suis obliger. Je lui montre ma bouche, pour lui demander si je peux l'ouvrir. Il secoue la tête de gauche à droite avec un sourir malicieux.
Est-ce que j'ai le droit de craquer ? J'ai envie de lui... De lui faire quoi d'ailleurs ? Rah mais c'est chiant !!
- Je suis sûr que tu rages à l'intérieur, rigole Kevin.
Pourquoi je me laisse dominé en faite ? J'ai jamais laisser quelqu'un me dominé et, lui, je le laisse ? Je comprend plus rien à ma vie, sérieux... J'ai peut-être un truc. Je m'approche de lui et enroule mes bras autour de son cou pour le serrer fortement contre moi, me plaçant sur ses jambes pour me coller à lui. Il est d'abord surprit, mais me rend mon étreinte.
- Je te pardonne, chuchotai-je à son oreille.
Il ressert son emprise autour de ma taille et me chuchote à l'oreille :
- Je dois te punir, te n'avais pas le droit de parler.
- Comme-ci j'allais me laisser faire, rigolai-je.
PDV de Kevin :
Je souris. Elle est tellement mignonne. Mais, le problème... C'est que j'ai une envie folle de l'embrasser. J'ai peur que si je le fais, elle ne me reparle plus après ou qu'elle me fasse la tête... Elle s'écarte de moi et je la regarde.
PDV de Eva :
Il me regarde fixement et je baisse la tête. Il me rend timide, je sais pas comment il fait ça...
- Pourquoi tu baisses la tête ? ricane t'il.
Et en plus il se moque de moi, C'EST PAS JUSTE !! Je relève la tête et le regarde, un frisson me traversant le dos et l'échine.
Je crois savoir ce que je ressens pour lui, mais si c'est pas réciproque ? Il faudrai peut-être que je lui dise que tout le monde me déteste...
- Kevin...
- Oui ?
- Je ... Je t'ai mentis aussi, dis-je en baissant la tête.
- Sur quoi ? demande t-il.
- J'ai pas étais malade pendant les 4 jours que je t'ai pas parlé, avouai-je.
- Mais... Pourquoi tu as mentis ? s'étonne t'il.
- Parce que... En faite, je suis tombée dans une petite dépression, lui dis-je.
- En dépression? Mais, pourquoi ? demande t'il.
- Parce que je me suis souvenue que les gens me détestent parce que mes parents sont fortuné et qu'ils croient que je me prêtant au dessus d'eux, lui expliquai-je. Alors que c'est faux.
Je baisse encore plus la tête, les larmes aux yeux.
- J'ai pas étais malade et quand tu m'as demander pourquoi j'ai pas répondu aux messages, j'avais eu peur que vous me détestiez aussi avec tes amis. Donc, j'ai mentis.
Un silence s'installe, n'osant plus bouger. Je sens une main passer en dessous de mon menton et me relever la tête. Je croise le regard de Kevin et ne peux plus y échapper. J'arrive plus à décroché mon regarde du sien.
- Je comprend que tu es eu peur et je ne t'en veux pas d'avoir mentis, sourit-il. Mais, sache qu'on ne te jugera pas parce que tes parents sont riches.
Je lui souris pour le remercié et il me prend dans ses bras. Je sens son odeur et frissonne. Il sent tellement bon ! Je m'écarte et il me lance :
- T'as frissonné. Je te fais t'en d'effet que ça ?
Je lève les yeux au plafond devant cette réaction enfantine. Soudain, ses lèvres viennent atterrir sur les miennes. Je suis d'abord surprise , me figeant, mais ferme les yeux pour répondre à son baiser. Nos lèvres bougent au même rythme. Ses lèvres ont le gout de menthe et sont douce. On s'écarte l'un de l'autre, en manque de souffle, et on se regarde.
- J'avais dit que je te punirai si tu levais les yeux au ciel, sourit-il.
Je relève les yeux au plafond, amuser par son comportement, mais ses lèvres reviennent sur les miennes.
