Mon grand bêta

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Toi, mon sacré scélérat!

A quoi joues-tu là?

Je connais l'ivresse

De tes instants de liesse.

Je te sais assez fantasque pour peigner la girafe.

Je ne te cache pas, tu mérites pleinement des baffes.

A toujours te perdre en vaines activités,

Vont déferler de toutes parts les quolibets.

Au tournoi des plus grands fêlés,

Tu mériterais un trophée!

Depuis le temps que je te connais,

J'ai appris à t'aimer comme tu es.

Surtout ne change rien

Mon bandit et vaurien!

Fais donc pétarader ton solex,

Qu'on s'en aille casser des silex

Dans notre geôle d'amour

Loin des chacals et des vautours.

Ce sera la fête tous les soirs

A s'embrasser partout dans le noir !

Tant de folie à revendre

Du bonheur à s'y méprendre !

Un peu de fantaisie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant