La Société

34.

Ils se regardent intriguer. Carolina s'exclame :

- Que veux-tu dire ?

- Il a fait des choses impardonnable et il m'a pris pour une cruche. Il va le regretter amèrement. J'en ai plus qu'assez de me faire avoir. 

Ils se regardent à tours de rôle. Pendant un instant, j'ai l'impression qu'ils ne sont pas de mon cotés. Puis, Carolina me tape sur la main.

- Je suis avec toi, je vois ce que tu veux dire, je ne sais pas ce que tu as prévu de faire mais je te soutiendrais. 

- Tu es consciente que si ça échoue, tu risques de te faire renvoyer Carolina ? lui dis-je pour la prévenir.

- Je prends le risque. ça mettra un peu de piment dans cette épreuve et ça ne me déplaît pas.

- Je vous suis également. répond Rave.

- Aller c'est parti. dit Darin.

Nous fixons Achélie qui n'a encore rien dit. Elle nous regarde d'un air méprisant.

- Ne me regardez pas comme ça. Je ne rentrerai pas dans votre jeu débile qui nous fera tous renvoyer. Sauf toi Dahlia, parce que toi tu es la fiancée du prince. 

- Je ne veux pas foutre la merde mais c'est vrai, tu ne risques rien. Nous on risque tous. ajoute Darin.

- Je ne sais pas ce que tu prévois mais je suis sûr que tu n'as aucune raison valable. Tu as la belle vie contrairement à nous autre. Tu n'es vraiment pas à plaindre.

Achélie est jalouse. Il ne manquait plus que ça. Le ton de la discussion monte d'un cran. Quelque personne se retourne. 

- Achélie nous fais une de ses crises de jalousies ? La gamine n'en a pas assez de toujours ce plaindre. 

- C'est toi qui dit ça ? Tu viens de nous pondre un plan parce que madame à déjà tous, mais c'est pas assez pour elle. Elle en demande encore. Il y a jamais assez avec la reine Dahlia.

Elle a touché le point sensible. Je me lève d'un bon. Tous le monde nous regarde cette fois avec le boucan que j'ai fait pour me lever. 

- NE M'APPELLE JAMAIS REINE !!!! JE N'EN SUIS PAS UNE ET JE NE LE SERAI JAMAIS !!!! 

- AH OUI ? COMMENT CE FAIT-IL QUE TU ES ACCEPTE ?

- ON MIS A OBLIGER ! TU CROIS QUE J'AURAI VOULU VIVRE ICI PARMI CES GROS QUI NE FOUTE RIEN ! 

- Je me pose la question en effet. Tu as toujours dit et défendu qu'ils ne foutaient rien et qu'ils fallaient un moment ou un autre que ça change. J'y ai cru moi aussi. Je me suis tromper.

Elle m'a pris de cours... Achélie qui pensait ça de moi... qui pensait ça ? Quand on la voit on a l'impression qu'elle se fous de tous à par de sa petite personne...mais c'est le contraire. Elle ne dit rien pour mieux écouter. Elle m'a toujours surprise mais là on a atteins le maximum. 

- Je... 

- Non ne rajoute rien. Tu en a assez dis. Je t'ais maintenant bien cerner. tu vends du rêve mais tu ne fais rien. Des belles paroles...comme eux. Fais comme tu veux après tous, tu es la futur reine. 

Elle se lève à son tour et s'en va. Je ne bouge plus. Les autres me regardent et attendent une réaction de ma part. Tous tourne dans ma tête. Quelqu'un pose une main sur mon épaule. Ludo qui lui aussi n'avait encore rien dit. 

- Moi aussi, je croyais en tes idées, Dahlia. Depuis que tu es arrivées ici, tu as changé même avant que ce mariage ne soit arranger. Je te perds petits à petits. Quand il a demandé ta main officiellement j'ai cru que tu allais quand même lui dire non. Mais tu ne l'as pas fait... à ce moment là, je ne t'ais pas reconnu. Elle est passé où LA Dahlia qui n'était pas d'accord avec le gouvernement en place et qui disais toujours qu'elle ne plierais pas. Qui ferait tous pour que ça change. Tu as encore des amies, mais tu les perds. Moi, je suivrais la VRAI Dahlia, battante. 

Puis, il sent va également. Je vais craquer. Je me dirige vers la sorti. Carolina sur mes talons. Je cours vers ma chambre. Elle me cours après. J'heurte quelqu'un. Le Fou se tient devant moi. Il me sourit. Je le foudroies du regard et m'en vais. Carolina essaye de me rattraper mais elle est stopper par le Fou. J'entant vaguement leur discussion. 

- Le prince veut s'entretenir avec sa fiancée. Je vous pris de les laisser. lui dit-il.

Quoi !? C'est pas le moment. Qu'est-ce qu'il me veut ? J'espère pour lui que ce n'est rien qui mettrais mes nerfs à bous car je crois que je le taperais. 

J'entre. Il est assied sur mon lit. Déjà ça commence bien, assied sur mon lit. 

- Qui a-t-il ? 

- Rien de spécial j'avais envie de te voir. 

- Et bien, tu m'as vu maintenant tu peux partir. 

- Oh je vois. Tu n'es pas d'humeur. Tu veux que je te détente. Il se lève et s'approche de moi. 

Alerte ! Je vais le taper s'il s'approche trop près de moi. Je recule à chaque fois qu'il avance, les mains devant moi. 

- Ne t'approche pas de moi. 

- Pourquoi ? 

- Ne t'approche pas de moi. Ne cherche pas pourquoi. 

Il continu. Je sens que je ne vais pas me retenir.

- Arrête ! Ne me cherche pas ! 

Il sourit diaboliquement. 

- Je vais juste te détendre. 

- Stop !

Il m'attrape le bras et m'attire vers lui. Ma main se serre. Je ne contrôle plus rien. Mon point atterri dans son nez. Il me relâche d'un coup. Il le tient en hurlant. 

- LA VACHE !! 

Du sang coule sur le tapis de la chambre. 

- Tu m'as péter le nez !

- Je... je te l'avais dit... Je... vais chercher un garde. 

Je sors de la chambre. Je regarde à gauche du couloir puis à droite, il n'y a pas un chat. 

En rentrant dans la chambre, je marche dans la flaque de sang. Il est allongé au sol et tiens toujours son nez. 

- Il faut que tu laisses couler. Lèves-toi, je vais chercher une serviettes. 

Je vais dans la salle de bain et prend une serviette. Je lui donne et essaye d'éponger la tâche. Laï va dans la salle de bain. Je frotte pour essayer d'imbiber le plus possible de sang. 

La porte s'ouvre. 

- Vos majestés ? Tous va bien ? 

Le Fou se stop net. Il me regarde couverte de sang. Puis, cherche Laï des yeux. Ne le voyant pas, il vire au rouge. 

- Où est le prince ?! Qu'avez-vous fait ?!

- C'est un mal entendu. Je n'ai pas fais exprès. Je lui avais dis de ne pas m'approcher. 

- QUOI ?! Vous avez assassiné sa majesté ? 

- Non mais non !

- Où est-il ?! Vous allez le payer ?! Trahisons !!!

- Mais non arrêtez ! Je ne l'ai pas tuer. 

- Garde !! Garde !!

Tout un groupe arrive devant ma porte. Ils regardent le sang et se jettent sur moi.

- Stop !! Lâchez-moi !! Je suis innocente, je ne l'ai pas tué !