Chapitre 6 : Calypso

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Je savais que je devais dire à Léo que ce dernier était mon petit-ami, mais je ne voulais pas le brusquer. Il avait perdu sa mémoire, et il ne comprenait toujours pas qui il était. Je ne pouvais pas lui dire :
«Hé Léo on est ensemble ! Viens on va rejoindre tes amis à la colo !»
Il ne savais plus rien.
-Tu... sais qui est ma famille ? Et mon foyer ? A dit Léo.
-Oui... je... j'en fait même parti.
-...
-Enfait ce n'est pas ta famille à proprement parlé, mais tes amis. Je... ta mère n'est plus de ce monde. Je suis désolée.
-Ne t'excuse pas... ce n'est pas de ta faute...
-Léo il faut qu'on... parte. Tout de suite.
-Mais pourquoi ne pas rester il fait tellement beau ici ! Et en plus on est très bien ! On a de la nourriture... on a de la nourriture ?
-Oui.
-Eh ba voilà !!!!!!!
-Non mais Léo si tu reste ici, tu n'en sortira jamais ! Ça fait des siècles et des siècles que je suis ici ! Veux-tu finir comme moi ?
-Je...
-Alors ?
-...
-Veux-tu voir ta famille ? Lui ai-je dit, en le regardant droit dans les yeux.
-Bien sûr.
-Alors ? On part.

Nous avons monté Festus, Léo devant.
-Tu sais conduire un... dragon ? Ai-je dit.
-Euh non.
-Hein ?
-Allez c'est parti ! A-t-il crié.
-Non attends...!
Nous avons décollé, Léo ignorant ce que je disait.
-Aaaaaaaah ! Avons-nous crié en chœur, Léo d'amusement, moi de peur.
Je savais qu'il avait déjà conduit Festus, mais j'avais quand même un peu peur...
L'île était très difficile a quitter et pour partir, il fallait longer la mer.
-Léo ! Suit le courant de la mer ! Ai-je criée.
-Ok !
Il a regardé en dessous de lui, et il m'a regardé ensuite. On aurait dit qu'il voulait se rappeller de quelque chose, mais il fronça les sourcils.
-Qui-a-t-il ? Ai-je demandé.
-J'ai l'impression que... on est frère et soeur ?
-Non, on est juste amis.
-Tu est sur ?
-Oui enfin, on est...
Un bruit me coupa la parole, un bruit d'eau qui coule. Instinctivement, je regarda en dessous de nous. Un immense cou de dragon dépasser de l'eau, mais disparu aussitôt.
-Qu'es-ce-que c'est ? A demandé Léo.
-C'est... l'Hydre...!
-L'Hydre ?
-Oui c'est elle ! Ai-je criée.
-Alors débarrassons nous d'elle !!!!!! A-t-il dit, Festus, crache !
Le dragon de bronze se rua sur l'Hydre, et cracha un jet de flammes qui s'écrasa sur le monstre marin.
Une tête, bruler, se decrocha du monstre qui rugit. Et là, d'une de ses têtes, il me morda le pied pour me faire tomber du dos de Festus, et me mettre sous l'eau.
-Caly... ai-je entendu avant de plonger dans la mer.
Je ne respirez plus. Je ne pourrait tenir pas longtemps. Si seulement Percy était là, il aurait fait une bulle d'air, nous serions remonté à la surface, il aurait coupé et brûler les têtes et après nous serions parti... mais il n'y avait pas Percy. J'essayais de remonter à la surface, en vain. Ce fichu monstre me tenais, tellement fort, que il avait planté ses dents dans ma chair, et à présent il allait atteindre mes os. Bientôt, j'allais mourir. Même un immortel peut mourir. J'entendis cracher du feu, une tête de l'Hydre tomber à côté de moi, un cri, et puis je m'evanouis. Je me reveilla, Percy était à côté de moi, il me tenait la main, nous étions sous l'eau, et Percy avait créé une bulle d'air. Je me rapprocha de lui, et Annabeth apparu tout d'un coup a côté de nous. Elle prit Percy par la main et l'embrassa.

D'un coup brusque, j'ouvris les yeux, et Léo et moi étions sur Festus, entrain de voler. J'avais rêver.
-Calypso ! dit-t-il, je croyai que tu étais morte !
-Je... et l'Hydre ?
-Je l'ai battu, bien sur.
-C'est vrai ?
-Ba oui enfin ! Le grand Léo, fils de Festus, bats toujours ses adversaires !
-Héphaïstos.
-Quoi ?
-C'est pas Festus, mais Hépha... bref, où est-ce qu'on va ?
-Eummmh... je crois qu'on va à San Francisco ou que...
-Enfait tu sais pas ?
-Ouais...
Après des heures de vol, nous étions toujours sur Festus, et ma tête était lourde, et mes paupières, étaient elles aussi pesante.
Mais j'essayais de résister, je ne voulait pas dormir ici, surtout pas maintenant.
Léo, voyant que j'était à demi-endormi, me dit :
-Tu peut dormir tu sais, j'vai pas te mangé pendant que tu dort.
-Je... non... c'est bon...
Mais appenne dit ses mots, je m'endormi comme une pierre.

Heureusement, je ne fit aucun rêve.

Quand je me réveilla, nous étions posé, et Léo me secouer.
-Calypso, réveille toi !!
-Oui...
Doucement, je me relevait, et Léo appuya sur un bouton dans la nuque de Festus, qui se transforma comme par magie en une valise
-Comment...
-Je sais pas ça m'est venu comme ça...
Je regardai autour de moi pendant que Léo parlait, et je devina que nous étions dans une ruelle, ou heureusement, il n'y avait personne.
Nous étions a côté d'un immeuble, ou c'était marqué en gros :
«Hôtel».
-On est où ? Demande ai-je.
-À San Francisco, poulette !

La revanche de la terre (Percy Jackson) (en pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant