Chapitre 3

417 31 3
                                    

Une fois chez elle,Héléna pû se reposer, Alphonse voulut lui faire consulter un médecin mais elle s'y refusait.
-Tu es sûr de ne pas vouloir allez chez le docteur ?
-Oui ! Je vais bien. Tu peux partir. Merci.
-Ok. Tu peux prendre ta journée demain.
-D'accord ! Merci.
-Prends soin de toi.
-Alphonse ! C'est bon, je ne vais pas mourir.
-Bon bah ! Ciao bella. Repose toi bien....

Le lendemain matin, elle partie à la banque pour faire un prêt.
-Je suis désolé mademoiselle Miller mais nous ne pouvons vous accordez ce prêt.
-Mais ? Mon dossier est...
-Je suis désolé.
Elle se leva et prît la tangente, pour se rendre à son boulot de serveuse.
-Je pensais t'avoir dit de...
-Je sais mais il faut que je travaille.
-Ok !
Elle le laissa et partie se changer pour prendre les commandes.
-Au fait, quand tu auras fini, je prendrai ton uniforme...pour une retouche, tu flottes dedans. J'aime pas.
-Alphonse !.. C'est juste une tenue de travail. Mais bon, si ça te fait plaisir.
 -Je dois y aller. A plus tard.
-Oui.
Ils se quittèrent puis elle partie servir un client.
-Voici votre café monsieur....
-C'est très gentil à vous mademoiselle Miller.
Cette voix ? Jamais elle n'aurait pensé l'entendre à nouveau. En relevant la tête avec étonnement, elle déglutit difficilement.
-Raphaël ? Murmura t-elle avec difficultés. Il se leva, s'imposant à elle grâce à sa taille. Du haut de ses un mètre quatre-vingt-dix, il l'a considérait avec une étrange lueur dans les yeux.
-Bonjour Héléna !  Elle voulut lui répondre quand, un homme entra dans le restaurant et s'adressa, à lui. C'était Guillaume.
-Raphaël ? Ton rendez-vous avec le....
D'un geste de la main, il lui intima, le silence.
-Un instant Guillaume. Ce dernier s'en alla après avoir regarder d'une manière plus qu'étrange Héléna.
-Qu'est ce que tu fais ici dans cette tenue ? La questionnait il sur un ton presque méprisant.
-Je...je travaille ici. Sur ce, il se rassis en la considérant avec un air amusé.
-Mademoiselle ? Un thé glacé s'il vous plaît.
-Tout de suite madame. Héléna le regarda un instant et s'en alla pour s'occuper de la commande de la cliente qui visiblement s'impatientait.

Un mal pour un bienOù les histoires vivent. Découvrez maintenant