Je ne vous ferais pas la morale comme je l'ai fait pour la drogue, mais plutôt de ce que j'ai réalisé lorsque j'ai commencé à consommer de l'alcool. Il y a peut-être 2-3 ans je ne consommais pas d'alcool et je pensais encore moins en consommé un jour. Maintenant, je me retiens de ne pas en boire. C'est peut-être bizarre dis comme cela mais je ne veux pas en dépendre parce que pour moi l'alcool est vite devenue une dépendance. Dès le début, je me suis rendue compte je devenais moins stressée, plus calme, je dormais mieux et je ne me retenais pas de parler de mes émotions. Au fond, l'alcool me donnait tout ce que je recherchais dans ma vie sans que ce soit compliquer. J'aurais pu continuer comme cela et me saouler la gueule jusqu'à la fin des temps mais non j'ai arrêté. Je ne voulais pas dépendre d'une bouteille d'alcool et dépenser tout mon argent pour quelque chose qui n'allait pas durer. Je voulais être capable de ne pas consommer pour gérer mon stress et mes émotions. Le temps a démontré qu'en réalité je suis plutôt mauvaise côté gestion de stress mais côté gestion d'alcoolisme j'y arrive plutôt bien mais lorsque je commence c'est dur de m'arrêter par la suite. Je me suis fais la promesse de ne pas dépendre de rien que ce soit l'alcool, un gars ou encore des médicaments mais maudit que parfois j'y arrive pas. Malgré que maintenant l'alcool est absente de mon quotidien et que je n'en prends que dans de rare occasions il en demeure que ce sont les médicaments qui me tient un peu à l'égard de tout ce stress. Malgré tout ce que je pense de ceux qui consomment de la drogue comme vous avez pu le voir dans mon dernier chapitre, je suis d'une quelconque façon une droguée avec mes pilules, la nourriture dont je me gave pour noyer mes émotions et l'alcool pour estomper mes peines de toutes sortes. Quand je déprime et que je suis d'humeur sombre j'ai le goût de m'effondrer contre le sol et de boire jusqu'à oublier mes tracas. Ce qui m'empêche de le faire c'est que je sais que malgré la quantité d'alcool qui coule dans mes veines jamais je n'oublierais ce que j'ai dans la tête.
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L'essence du temps
No FicciónC'est ce passé, ce présent qui façonne qui nous sommes. Aujourd'hui, je suis qui je suis simplement puisque j'ai fais ces choses dans le passé, ces erreurs peut importe lesquelles. J'ai pas choisi ma vie c'est elle qui m'a choisi, je n'ai plus...