Je reste avec toi

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Les vacances de Noël approchaient. Poudlard fut bientôt recouvert d'un épais manteau de neige scintillante. Le vent froid frappais les murs parfois doucement, parfois violemment. Le ciel gardais, à présent, sa couverture blanche.
Je devais passer mes vacances chez les Weasley, je n'en avais pas vraiment envie. J'avais donc envoyer une lettre à Mrs Weasley pour annuler. J'allais passer les vacances à Poudlard, au près de Drago. Je m'en réjouissais rien qu'à y penser. J'étais quand même assez triste de ne pas passer les vacances avec Harry.
Le dernier jour de cours, en potion alors que nous préparons une mixture, le professeur Slughorn passais dans les rangs. Quand il passa à côté de moi il me dit :
- Miss Granger, j'organise une petit soirée, ce soir, pour Noël. Vous êtes invitée.
Il me tendit une enveloppe bleu nuit. Je hocha la tête et, rougissante, je fourra la lettre dans mon sac.
- Oh et venez accompagnée, ajouta Slughorn.
Je rougis de plus belle. Je savais évidemment qui j'allais inviter. Je vis Slughorn chuchoter quelque chose à Harry et je supposa que c'était la même chose. Je jeta un cou d'œil à Drago, je lui sourit. Je retourna à ma préparation et du coin de l'œil je vis Ron écraser sa fève avec fureur. Il aurai du y réfléchir à deux fois, avant de se laisser embarquer dans une histoire "d'amour" avec une anguille et de me briser le cœur ! Même si maintenant, j'en ai plus rien à faire. Bien que ça m'attriste de ne plus lui parler, c'était tout de même mon meilleur ami.
La cloche sonna la fin du cours. Je rangea les affaires et prit Drago par la main et l'emmena à part.
- Tu viens avec moi à la fête de Slughorn ce soir ? Lui dis-je surexcitée.
- Bien sûr, avec plaisir ! Répondit Drago, souriant.
Je me mis sur la pointe des pieds et je l'embrassa (il était plus grand que moi). Nos lèvres se décollèrent et quelqu'un attira mon regard. Pansy Parkinson nous regardai de ses petits yeux noirs, avec un regard dégoûter. Elle fit une grimace et prononça les mots suivants :
- Ca me dégoûte.
Je la regarda s'éloigner. Une fois qu'elle fut hors de vue, je pouffa de rire, sans savoir vraiment pourquoi.

De la haine à l'amour, il n'y a qu'un pas.《terminé》Où les histoires vivent. Découvrez maintenant