La fête de Slughorn

728 32 3
                                    

Le reste de la journée passa si vite, à mon grand bonheur. J'étais si presser d'aller à cette soirée, même si je n'aime pas forcément Slughorn.
À la fin de le journée, lorsque le jour commençais à tomber, j'alla dans le dortoir et j'enfila ma robe. Elle était bleu pâle, parsemée de paillettes argentées, faite en soie légère et douce. Je glissa mes pieds dans de splendides escarpins assortis. Je fis l'effort de coiffer joliement mes cheveux épais en une demi-queue-de-cheval, ornée de fleur en argent. Une fois prête, je descendis dans le hall, ou je devais retrouver Drago. Il était vêtu d'un costume noir avec un noeud papillon blanc. Il avait un serpent en argent accroché sur le revers de sa veste. A mon arriver, son visage s'émerveilla.
- Tu es splendide ! Dit-il.
- Merci, dis-je en rougissant. On y va ?
Il me prit la main et m'emmena dans une partie du château que j'ignorais. Une légère musique volerait dans le couloir inconnu. La musique était de plus en plus forte. Nous arrivons au bout d'un immense couloir, décoré de voiles verts et rouges. Slughorn nous vis, nous souris mais ne vint pas. Je vis ensuite qu'il parlait avec Harry qui, lui, était accompagné de Luna. Celui-ci me souris. Il réussi à se débarrasser de Slughorn et s'approcha de nous.
- J'aime beaucoup ta robe Hermione, me dit Harry.
- Moi aussi, dit Luna d'un air absent.
- Merci, dis-je rougissant de plus belle.
Drago se renfrogna. Harry lui lança un regard qui, je suppose, se voulait amicale. J'ignore si Drago lui a rendu.
- Vous êtes ensemble ? Demanda Luna en désignant nos mains jointes.
J'échangea un regard avec Drago et il repondit :
- Oui.
Le reste de la soirée fut longuement ennuyeux. Sauf quand Drago me raccompagna dans la salle commune. Nous étions passer devant le mit qui donnait sur la salle sur demande. Et une porte apparut. Curieux, Drago l'ouvrit.  C'était une chambre. Étonnée, je regarda Drago, ses joues était rose foncé. Il reporta son regard sur moi et il m'embrassa avec fougue. Au passage il ferma la porte derrière lui. Il m'entraîna sur le lit et commença à faire glisser les bretelles de ma robe sur mes épaules.

De la haine à l'amour, il n'y a qu'un pas.《terminé》Où les histoires vivent. Découvrez maintenant