Ce fut la musique qui me réveilla. J'étais mort. Je sentais l'herbe qui se balançait. J'étais mort. J'entendais l'air qui passait entre les feuilles. J'étais mort. Je sentais l'odeur de l'herbe chatouiller mes narines. J'étais mort. La fin de la vie. La fin...
Mort ? De l'herbe ? Quoi ? Des feuilles et de l'herbe ? Ou étais-je ? J'étais... en vie ? Comment ? Comment en étais-je arrivé ici ? Trop de question qui restaient sans réponse, je commençais donc doucement à reprendre mes esprits. J'essayai d'ouvrir mes yeux mais je sentis alors une vive lumière qui me les brûlai instantanément les yeux, m'empêchant de les ouvrir. Je commençai à me lever à l'aveuglette. Je sentait la lumière chaude qui embrassait mon corps et les frémissement des feuilles porté par le vent. J'entendais des bruits étranges comme si des animaux m'entouraient. Je m'aida d'un arbre qui était non loin de là ou j'étais couché pour me lever et je commença à avancer en m'aidant des arbres toujours à l'aveuglette. Petit à petit je commençais à réussir à ouvrir mes yeux grâce à l'ombre que me procurait les arbres.
J'étais dans une forêt, oui cela semblait évident, mais les arbres était blanc mais pas n'importe quel blanc un blanc lice et soyeux, comme si une araignée avait tissé ces arbres, et qui à certain endroit avait une parti de leur écorces où l'on pouvais apercevoir des parties noires qui brillaient lorsque la lumière reflétait sur elles. Les feuilles, quand à elles, étaient d'un rouge pourpre qui, j'en avais l'impression, brûlaient à la lumière de l'astre qui illuminait la forêt. Les "animaux" qui m'entouraient m'étaient inconnus, je n'en connaissait pas un seul. Un premier à ma droite semblait être le plus courageux car le plus proche de l'inconnu: moi. Ce dernier se dressait sur ses 2 pattes arrières et était entièrement recouvert d'une cape faites des feuilles des arbres. La cape qu'il possédait cachait son visage et ne laissait apercevoir que deux grand yeux bleu ovales qui luisait dans l'ombre des arbres. Trois autres étaient en face de moi caché derrière un arbre, eux étaient quadrupèdes. Il étaient vêtu de plumes jaunes ocre et blanches comme le zinc et semblaient avoir la capacité de voler. Je n'osait plus bouger de peur de faire partir ces merveilles de la natures. Et, malheureusement, elles partirent en courant lorsque je relâchât mon souffle.
Je n'étais pas chez moi et il fallait que je trouve un moyen d'y revenir. Je ne pouvais pas rester ici jusqu'à la fin de mes jours. Je commença a errer dans la forêt sans but. La nuit arriva sans que rien ne se passe et doutant que je puisse continuer dans la nuit, je m'arrêta et me coucha près d'un arbre. N'arrivant pas à dormir je commençait à réfléchir à ma situation. Ou était ce merveilleux endroit dans lequel j'allais dormir ? Que devais-je faire maintenant que j'était ici ? Et surtout que pouvais-je faire ? J'était seul. Je me réveilla et profitant du fait que la nuit était toujours présente j'observais les étoiles, je n'était pas spécialement doué en astrologie, je fit ceci par pure réflexe je continua longuement à regarder les étoiles qui, me semblait-il, bougeaient dans le ciel étincelant. Sans penser et sans réfléchir je regardais le ciel puis je tombai à nouveau dans un profond sommeil qui m'amenai dans le monde onirique.
Je me réveillai dans ma chambre les yeux fixé vers le plafond blanc. Était-ce un rêve ? Mes yeux scrutaient le plafond à la recherche de réponses. Je me redressais et laissais mes pieds pendre au bord de mon lit. Je constatais que mes cheveux avait poussé car ils touchaient à mes sourcils. Mon regard vide observait ma chambre comme un lieu inconnu, je redécouvrais ma chambre comme si ce lieu était nouveau pour moi. Les livres jonchait les bibliothèques qui muraient mon appartement et par terre le sol était jonché de vêtements. La lumière du soleil filtrait à travers les stores ,qui étaient constamment baissé, et illuminait la pièce. Lorsque je me levai la lumière qui paraissait jaune et réconfortante vira en un rouge sang qui commençai à couler à l'endroit où la lumière éclairait le sol. Paniqué j'essayai de sortir de ma chambre mais lorsque que j'ouvrai ma porte et ....
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On ne peut mourir deux fois
FantasyMourrir à toujours fait peur, la peur de la mort est d'ailleurs omniprésente dans la société actuelle. Mais après la mort ? Que ce passe t-il après cette frontière naturelle ? Un voyage post-mortem attend Jasper, notre héros, qui va passer la barriè...