Je voulais vous prévenir que ce chapitre contient du lemon, bonne lecture.
Une porsche noire était garée devant le portail de la maison familiale. Je devinais que c'était Cara et rien qu'à y penser, des frissons traversaient mon corps. Que devais-je faire ? Je n'étais pas préparée à l'éventualité qu'elle débarque chez moi par jalousie. Elle était jalouse... Oui, elle l'était vraiment. Mais c'était complètement fou de risquer de se faire prendre en photo ensemble, personne ne devait être au courant de notre contrat.
Mon téléphone vibrait, elle m'appelait. Je répondais après quelques secondes de préparation morale, je ne savais pas dans quel état elle était.
–Oui ? Répondais-je neutrement.
–Tu viens ? Dit-elle de la même façon.
–Je ne peux pas laisser Gigi, ça fait trois semaines que nous ne nous sommes pas vu. Et ma mère ne veut plus que je te vois quand elle n'est pas là.
Je la sentais soupirer, comme pour se calmer avant de reprendre.
–Si tu ne viens pas, je sors de la voiture pour que les paparazzis me voient devant chez toi.
–Ne fais pas ça, tu sais très bien que ça pourrait rompre notre contrat !
–Alors viens me rejoindre.
Sur ce, elle raccrochait et je serrais les dents, énervée. Qu'est-ce qu'elle pouvait être bornée celle-là.
–Vas-y ma belle, on se verra demain ne t'inquiètes pas.
Je soupirais et prenais ma meilleure amie dans mes bras, j'avais tellement à lui raconter. Je prenais donc un sweat assez chaud et des baskets. Je prenais mon téléphone et sortais pour rejoindre le portail. Flavio, le gardien, m'ouvrait lorsque je le lui demaindais. Plus j'approchais de la voiture, plus mon coeur battait.
J'ouvrais la porte et m'asseyais. Cara démarra sans attendre, me faisant sursauter.Elle ne parlait pas et le silence devenait de plus en plus pesant. Je n'osais la regarder, peut-être que je devrais lui expliquer que Gigi était ma meilleure amie ? Mais les médias le savent et je publie souvent des photos de cette dernière et moi sur les réseaux sociaux, ne devrait-elle pas déjà le savoir ?
Je ne savais pas par où commencer, devais-je la laisser prendre la parole en première ? Beaucoup trop de questions me venaient en tête, c'était fou.–Je ne surporte pas ton rejet. Disait-elle doucement. Je ne comprends pas Kenny.
Sa voix me brisa le coeur, ça l'affectait à ce point ? Je ne comprenais pas non plus ce qui nous arrivait. Je ne devais pourtant pas me laisser aller, il fallait que je tienne tête à ce que je ressentais.
–On en a déjà parlé Cara.
Sur ce, elle garait la voiture au bord de route, détachait sa ceinture et venait se poser à califourchon sur moi. Tout ça s'était déroulé en dix secondes, je n'avais absolument rien vu venir. Mon souffle se coupait, j'étais complètement omnibulée par la chaleur de son corps sur le mien. Je ne voyais malheureusement pas ses yeux à cause de la luminosité beaucoup trop basse, je pouvais par contre sentir son souffle chaud à quelques centimètres de ma bouche. Cette femme était divine. Je fermais les yeux, profitant de sa main posée dans le bas de mon dos. Je plongeais alors ma tête dans son cou, posant ma langue sur ce dernier. Je l'entendais souffler d'excitation, mon dieu qu'elle était chaude. Je multipliais les baisers sur sa peau, descendant petit à petit vers ses seins après les avoir sortis de son soutien-gorge. Ma langue se baladait alors sur son sein droit alors que ma main massait le deuxieme. Elle me serrait davantage à elle, m'invitant à y aller plus fort. Ce que je ne tardais pas à faire. Sa peau était moite et hérissée, son souffle quant à lui était complètement désordonné, j'aimais ça. Je savais pourtant que ce n'était pas bien, mais et alors ? Pourquoi devrais-je m'empêcher de faire ce dont j'ai vraiment envie ? Pourquoi retenir ces sentiments si forts qui bouillonnent en moi ? Je n'avais plus envie de me compliquer la vie alors qu'elle pouvait être simple. Tout ce qui comptait était qu'elle était posée sur moi, à la limite du gémissement.
J'ouvrais alors la portière et la faisais descendre, elle était toute rouge et complètement perdue. J'ouvrais alors la portière de derrière avant de la guider vers le siège où je la faisais s'asseoir. Je l'embrassais tout en montant sur elle après avoir fermé la porte. Elle était désormais alongée sous moi, submergée de baisers de ma part. J'avais envie d'embrasser chaque parcelle de son magnifique corps. Je lui enlevais alors son tee-shirt et son pantalon juste après. Dans la foulée, nous nous retrouvions nues et collées l'une à l'autre. Elle prenait alors le dessus. Je n'étais pas du genre à me laissée faire et pourtant, cette fille pouvait faire de moi tout ce qu'elle désirait.
Après avoir embrassé mes seins à son tour, elle décidait enfin à descendre petit à petit, emportant avec elle mon souffle. Elle faisait en sorte de me faire perdre patience en suçotant entre mes cuisses, non loin de mon sexe.–Putain... Cara ! Râlais-je essouflée.
Elle riait doucement et je levais la tête pour voir la sienne entre mes jambes. Son regard en disait long sur ce qu'elle voulait me faire, je n'attendais que ça !
Je sentais alors un premier coup de langue, lent, du bas vers le haut. Je sursautais alors en gémissant pendant qu'elle recommençait encore plus lentement. Elle prît enfin mon clitoris dans sa bouche, tournoyant sa langue. Je fermais les yeux et m'abondonnais à cette sensation si agréable. Je ne manquais pas de faire du bruit, c'était trop bon ! Elle accélérait puis ralentissait pour augmenter mon excitation. Je prenais sa tête entre mes mains, serrant ses cheveux et l'appuyant davantage sur mon organe du plaisir que je bougeais en levant mon bassin. Je sentais le moment tant attendu arriver, cette sensation si agréabe monter en moi. C'est alors que mon corps se mit à trembler alors que Cara venait d'accélérer ses mouvements. Je gémissais alors que mon corps était envahi par un puissant orgasme que je ne pensais pas exister auparavant.
Mon bassin retombait sur le siège alors que j'étais essouflée, complètement déboussolée. Elle remontait à mon cou pour l'embrasser tendrement avant d'arriver à ma bouche qui n'attendait que la sienne.
Elle m'embrassait tendrement quand tout à coup, une personne toqua à la fenêtre du conducteur, merde.Merci beaucoup pour vos nombreux votes !
C'est la première scène assez chaude que j'écris, est-ce qu'il y'a des choses que je dois améliorer ? Est-ce que, par la suite, vous aimeriez que ce genre de scène soit plus présente ?
Encore une fois, merci beaucoup, je vous souhaite un bon nouvel an ! ❤️

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CaKe
Hayran KurguQue se passe-t-il lorsque deux mannequins de renommée mondiale complètement différentes travaillent ensemble durant deux mois ?