-Mayssa-- Yemma ? Chbik? ( Quesque tu as? )
Yemma: Mayssa.. ija, benti.. ( viens ma fille ), écoute ce monsieur...
Monsieur : Salem aleykûm ma fille...
C'était un homme plutôt grand, dans les 40 ans, mais jeune en même temps, une barbe de 3 jours et des yeux bleus.
Monsieur : comme je disais, votre père, est un chef d'entreprise, et il m'envoie ici car il aimerait vous revoir.
Je me leva brusquement et dis d'un ton froid :
- partez.
Monsieur : ma...
- PARTEZ ! Et dites à cette homme, qu'il n'existe plus dans nos vies et qu'il c'est trompé, aure voir monsieur, je pense que vous connaissez la sortie.
Ma mère ? Elle, elle regardais la scène choqué je pense.
Monsieur : s'il vous plaît écouter moi.
- no..
Yemma : MAYSSA ! En de retournant vers le monsieur Pouvez-vous dire à cette homme que si il veut quelques chose qu'il vienne nous voir, peut-être c'est t-il trompé?
Monsieur : Monsieur est à Dubaï, je le tiendrai au courant, ne vous inquiétez pas, aure-voir, madame, jeune fille.
Je regardai la scène, j'avais toute la haine du monde, fallait je prenne l'air, ma mère elle ? Me regardai avec un regard froid, un Scarface mais pourquoi ? N'est-ce pas elle qui se fessait taper par ce monstre ? Pourquoi?
Après la sorti du monsieur, ma mère me mis une claque, je la regardais choqué par ce geste.
- Quesque que tu fais?? Mama??
Ûmi :NE TE COMPORTES PLUS COMME CA !
Je la regarda encore choqué, me retourna vers la porte, et défile les escaliers, avec une haine immense, je passais devant les TDM sans faire attention, je me dirigeais vers un parc pas loin, et je me défoulai sur les arbres, tout en pleurant de rage, de nerfs, je n'en pouvais plus, toute ma vie, dans cette souffrance, sans personne à mes côtés, j'en voulais à mon géniteur, et à ma mère, c'est vrai ? Pourquoi lui en vouloir? Je mis des gros coup dans l'arbre devant moi, en insultant.
...: Mayssa ?
Saïd? Toujours la, lui.
Il s'avança vers moi, et la il me pris dans ses bras, je n'avais plus la force de repousser, non, tout ça était de trop pour moi, alors je me suis effondrée dans ses bras, il me serra ce que je fis aussi, j'étais choqué par mon geste, mais c'est comme ci j'en avais besoin.
Puis je lui fis un signe de pouvoir me lâcher ce qu'il fit, il prend des mains et les mets sur mon visage en me regardant, il fit un petit sourire et dit :
Saïd : Alors la, mayssa le bohnome, qui pleure, regarde tes mains hmara!
Je les regarda, c'est vrai, j'avais des écorchures et du sang, puis je lui fit un petit sourire timide:
- c'pas ça qui me fera mal.
Saïd : pourtant, tes comment la ?
-..., Laisse.
Saïd : explique, j'ai tout mon Time.
- j'suis pas du genre à raconter ma life, bref merci, Salem.
Je me lève ,et il fit un geste brusque et me retient.
Saïd : WAllah, tu peux me faire confiance, j'suis pas les autres.
-Pour moi si.
Il me mis d'un coup brusque, sur l'arbre et dis :
Saïd : j'vais pas te lâcher jusqu'à que tu me parles.
On se regarda pendant quelques secondes, je sentis de la sincérité, je sentais que je pouvais lui faire confiance, j'étais méfiante certe, mais je ne pouvais pas toujours me cacher derrière la mayssa que je suis, et mes peines je ne pourrais pas la laisser toujours la garder en moi, pourtant, c'est un gars, et je les déteste, mais Saïd lui, je le sentis sincère.
Alors je souffla, on s'asseyai sur un banc à côté, puis je lui racontais, et plus je lui racontais, plus mon coeur se serra, je me retenais de ne plus aller taper contre l'arbre, puis je voyais au fil de ce que je racontais, Saïd, serrant son visage, puis à la fin de ce que je lui racontais, il me repris dans ses bras, et me dit :
Saïd : wAllah, Mayssa, tes une femme forte, au début, tahy on c'st rencontrer sur de mauvaise base tout ça, mais maintenant, je vais être comme ce grand frère, wAllah je vais tout faire pour te protéger comme un reuff, je savais pas que derrière tout ça ce que tu endurais, mais tes pas comme beaucoup, toi tes pas pareille, combien serai aller faire les kehs pour l'argent ou aller dans le hram, toi tes rester dans tes valeurs, bref, j'suis pas un zemel pour parler comme ça, mais j'crois ta compris.
Et la je lui fis un câlin, ce qui me surprends moi même, et lui dis avec sincérité :
- merci, Saïd wAllah.
Saïd : T'inquiète grosse tête, allez vient on y va !
On se détacha, puis on se dirigea vers mon bâtiment, je vis Naïm avec les TDM, il me fit un Scarface fatale 😂, je crois même Saïd il a remarqué, on va devant l'ascenseur puis il me dit:
Saïd : il voulait quoi lui ?!
- je sais pas.
S : Hmm.. bref, grosse tête ta pas un numéro ?
- si..
Je prends son num, puis il me fit un bisou sur le front :
S : ce soir je t'appelle, tu réponds direct, azzy grosse tête !
- déjà j'ai pas une grosse tête, et azzy !
Il fit un petit sourire et parti.
Je monte, puis je souffla un bon coup devant ma porte.
J'ouvris, et Liliana me sauta dans les bras.- Mama, elle est où?
Elle baissa la tête ..
L : dans le salon.
Je me dirige dans le salon, et m'asseois à côté d'elle..
-Smeh Mama..
Yemma : allez vient la ..
Puis je la pris dans mes bras...
1heure00-PlusTard.
J'étais dans mon lit repensant à tout ça, et je fis un sourire puis je m'endors..
-DZZDZZZ-
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Qui appel Mayssa?
À bientôt pour la partie 14.
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« Le Beau Et La Clocharde: Grâce à ce pari. »
Novela JuvenilLes mains sales, les chaussures trouées, les vêtements vieux et puis le ventre à moitié rempli. Ma vie se résumé que à subvenir au besoin de ma mère, ma reine et puis ma petite soeur, ma princesse. Un père qui nous a abandonner, il nous a laisser d...