Chapitre 4 : Un hibou.

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Bonjour, voici le nouveau chapitre !


Un nouveau venu emplumé va rejoindre notre jeune sorcier.


Bonne lecture, mes petits sorciers ! ^-^




Merlin sortait de la boutique, perplexe. Que c'était-il passé, au juste ? Il était pourtant sûr de ne pas avoir lancé quelconque sortilège.

- Gaïus ? demanda-t-il. Qu'est ce qui c'est passé avec ma baguette ? Pourquoi a-t-elle fait ça ? Et...et pourquoi ne sembles-tu pas étonné ?

- Oh, en vérité ce n'est pas très étonnant, tu sais. Tu pouvais bouger des objet bien avant d'avoir une baguette.

- Mais, là, je n'ai pas fait exprès !

- Ho, mais il est normal que tu perde le contrôle, Merlin. Ce doit être la baguette qui a décider de jeter un sort.

- La baguette ? s'étonna Merlin.

-Oui, la baguette. Une baguette choisi son sorcier, et elle cherche un propriétaire qui lui correspond. Tu détestes voir les objets cassés, n'est ce pas ? Et bien, ta baguette aussi. Donc, elle les a réparés.

- Mais... Ce n'est pas comme ça, d'habitude ! Mr Ollivander avait l'air choqué de voir ça.

- Ollivander, ne te connaît pas, dit Gaïus. Il ne sait pas les dons incroyable que tu possèdes. C'est normal qu'il n'y comprenne rien.

Merlin haussa les épaules.

- En tout cas, rajouta Gaïus, tu as une excellente baguette, Merlin.

- Vraiment ?

- Oui, j'ai lu quelque part que les baguette de Chêne Blanc, sont excellentes. Elles sont très rare. Il y a peu de sorcier qui en possède. Mais enfin, bon : une baguette exceptionnelle pour un sorcier exceptionnel, ça parait logique.

Merlin sourit timidement. Il ne comprenait pas pourquoi tout le monde disait qu'il était exceptionnel et qu'il aurait une grande destiné. Certes, il avait de grand pouvoir. Des dons incroyables d'une grande rareté. Mais, lui ne sentait aussi puissant, ou aussi fantastique que ça. Il considérait plutôt ses pouvoir comme un fardeau, une contrainte qui l'empêchait de vivre normalement. Ses dons lui avait prit jusqu'à sa vie avec sa mère. Et il avait du mal à se le pardonner.

Gaïus lui avait dit qu'un jour, lorsqu'il contrôlerait ses pouvoirs, on l'autoriserait peut être à retourner vivre chez elle. Et Merlin avait espérer que ce jour arrive vite. Cependant, en voyant ce qui venait de ce passer chez Ollivander, le jeune homme commençait à désespérer. Un simple bout de bois avait réussit à libérer sa magie.

Aie. Une douleur lui picota les doigts de la main où il tenait la baguette. Apparemment, l'objet n'avait pas apprécié qu'on le traite de " simple bout de bois". Merlin frémit. La baguette pouvait-elle lire ses pensées ? Comment ? Ah oui, la fameuse connexion des sorciers avec leurs baguettes. Gaïus lui avait expliqué. Cependant, il avait du oublier de lui dire que les baguette savait lire dans les pensées !

" À moins que ce soit encore qu'avec moi que ça fasses ça " songea-t-il.


- J'aimerai te faire une petite surprise, dit Gaïus en le tirant de ses pensées.

Il indiqua une boutique nommée " Ménagerie magique".

Merlin ouvrit de grand yeux. Un animal ? Il aurait le droit d'avoir un animal ? C'était génial ! Il n'avait jamais eu d'animaux avant, Gaïus disait que ça attirait trop l'attention. Mais c'était sûr que maintenant, avec une robe de sorcier, un chapeau et une baguette à la main, il pouvait se risquer à en prendre un. Il ne pouvait pas attirer plus l'attention. Et puis de toute façon, il allait à Poudlard, il ne risquait plus d'attirer les moldus.

Gaïus et lui entrèrent alors dans la boutique. Il y avait dedans un multitude d'animaux : des chats s'allongeaient dans leurs paniers en ronronnant, des rats grignotaient du fromages dans leurs cages, des chauve-souris s'accrochaient au plafond, des crapauds coassaient et des hiboux hululaient, partout.

Merlin les regarda, émerveillé.

- Alors, qu'est ce que tu voudrais ? lui demanda Gaïus.

Le jeune homme réfléchit. Les chauve-souris étaient interdites à Poudlard, et il n'aimait pas trop les crapauds. Les rats n'étaient pas non plus ce qu'il préférait. Il regarda les chats avec adorations. Il avait toujours aimé ces créatures. Il caressa un joli chat noir et blanc, en souriant. Mais avant qu'il est pu dire quoi que ce soit. Il tomba nez à nez (ou nez à bec plutôt XD) avec un vieil hibou.

L'oiseau le regardait avec des yeux sages. Merlin scruta les yeux ambrés de la créature. Cet hibou avait quelque chose de particulier. Merlin n'aurait su dire quoi, si ce n'est qu'il dégageait une grande sagesse et une impression de grand savoir. Il avait l'impression que l'oiseau le comprenait. Qu'il savait ce que ça faisait d'être différent. Car oui, cet oiseau était différent. Tout comme lui.

- Je prend celui-là, sourit-il.

- Un hibou, très bonne idée, tu pourras m'envoyer du courrier, fit Gaïus. Mais ne voudrais-tu pas un autre hibou ? Celui-là est un peu vieux et déplumé, tu ne trouve pas ?

- Non, sourit Merlin. Je suis sûr qu'il est parfait.

- Bon, très bien. Si tu l'aimes, c'est le plus important.

Gaïus paya alors le hibou. Merlin était ravi. Il regarda son nouveau partenaire avec admiration.

- Merci beaucoup, Gaïus ! s'exclama-t-il.

- Oh, ce n'est rien, mon garçon. Et puis, il faudra bien que tu es un peu de compagnie à Poudlard. Comment vas-tu l'appeler ?

Merlin réfléchit un instant. Il jeta un nouveau regard au hibou. Celui-ci regardait le jeune sorcir avec intérêt.

- Kilgharrah, dit-il.

- Kil...gha...rrah ? hésita Gaïus

- Oui. Kilgharrah.

Gaïus regarda son filleule d'un air déconcerté.

- Tu es décidément bien étrange, mon garçon.

Merlin sourit. Il jeta un regard vers le hibou.

L'oiseau fit claqueter son bec, comme pour acquiescer.

- En tout cas, son nom lui plait, fit Gaïus.

Merlin sourit.

- Bienvenue dans la famille, Kil' !






Voilà fin du chapitre !


J'espère vous aimerez Kilgharrah. ; )'


À bientôt, mes petits sorciers ! ^-^

Merlin à Poudlard !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant