Donne moi ton corps ...( tome 2)

Chapitre 1

"Tatatada "vous savez, cette petite musique de la SNCF qui vous indique que vous allez entrer en gare :

 "avertissement à tous les passagers, le train va entrer en gare "

vous voyez et bien c'est ça qui me fait réaliser que je suis en France, que le train est en retard et que j'ai tout plaquée pour un mec sans importance. 

 Mère ma envoyer un texto me demandant ou j'étais et dans quelle train j'étais, car elle ne me voyais pas .

Elle me la envoyer il y a 3 heures de ça, car oui mon train a 3 heures de retard !!!

Ah la vie parisienne, qu'elle galère.

Pendants ce temps, j'ai eu le temps de masquer avec un peu de fond de teint la marque rouge dans mon cou, qui me fait terriblement souffrir.

j'ai aussi eu Caro au téléphone,  elle était en pleure et en panique car ale étais tellement énervé, qu'il a décidé de tout casser dans la villa.

Elle m'a dit que je lui manquais, alors que cela fait à peine dix-huit heures que je suis partie.

Et qu'elle ne comprend pas pourquoi j'ai fait ça.

Elle me dit que Ale veut prendre l'avion pour me rejoindre et me convaincre de revenir et qu'il ne cesse de répéter qu'il a fait le con.

Mais je lui est demandé, de ne jamais lui dire mon adresse.

Jeanne ma cousine est parti ce matin pour rentrées elle aussi, mais elle ma dit qu'elle viendrais à la maison pour les vacances comme d'habitude temps mieux ca me changeras les idées.

Les portes du train s'ouvrent, sur une foule de personnes attendant leurs proches.

Je prend ma valise dans le porte bagage au Dessus de ma tête puis je descend de ce train dans le qu'elle j'ai été enfermé des heures.

Ce n'étais pas ma mère qui m'attendais mais mon frère Bart.

Il sourit jusqu'au oreilles, il me prend dans ses bras et me soulève tel une poupée de chiffon .

-Alors chucky tu a fait bon voyage me lançais t-il 

-ça peut aller avec trois heures de retard il pourrais au moin mettre des sièges confortable je suis sur que les première classe en ont .

-ah on n'a pas toujours ce qu'on veut 

-bon sinon comment ca va toi mon jockey préféré lui di-je en le taquinant .

mon frère est jockey ma famille à toujours fait parties du monde des courses.

depuis petite j'ai toujours rêvé d'en faire mon métier, bien sur ce n'étais qu'un rêve mon père ne m'a jamais laissé l'opportunité de monter en courses .

cela fais longtemps que je n'ai pas monter, depuis ma dépression au moins .

si ont me mettais sur un cheval maintenant plein quantère, mes jambes n'y serrait plus habituée ça c'est sur.

je serrais sans doute capable de me faire la valise avec le plus gentil des poulins.

mais cette sensation me manque beaucoup trop et est vraiment trop bonne pour se plaindre d'une pauvre valise et d'un mal de jambes. 

-bas plutot bien tu ne nous a pas ramenez ton belle italien 

-euh...je fis diversion, en regardant la vitrine d'une micaline j'ai faim lui di-je 

-tu veux un cookie c'est ça

-oui et toi un café

-ouais assoie toi la j'arrive.

 Je pense qu'il a compris que je ne voulais pas en parler, vue qu'il n'insiste pas.

Je regarde autour de moi et cela me fait bizarre de voir des gens emmitouflé comme en hiver en pleine été, c'est vrai qu'il ne fait pas chaud !!!

-les couleurs de peau sont très claire.

Comme si il restait enfermer toute l'année pour ne pas bronzée.

il y a même une fille avec un bonnet.

N'importe quoi, il ne fait pas froid au point d'allumer la cheminer non plus.

Ah ces parisien, ce sont des spécialistes pour se plaindre et je crois que en à peine quatre heures,je suis déjà redevenue comme eux .

J'ai une soudaine envie de thé vert, mais j'ai oublié de lui dire de m'en prendre un, mais bon un cookie c'est déja bien pour calmer ma faim !

Il arrive avec deux gobelet dans la main et un cookie :

-je t'es pris un thé vert, car sinon tu m'aurais forcée à aller en chercher un pour toi 

-figure toi que j'ai changé, mais merci  

Je casse un morceau de mon cookie et l'enfourne dans ma bouche .

-mais oui c'est ça, je te connais comme si je t'avais fait et au faite pourquoi tu n'ais pas aller au wagon bar ?tu voulais passer un bon moment avec moi c'est ça ? dit-il avec un sourire prétentieux.

-heu...en faite j'avais la flemme mais si ça peut te faire plaisir 

-oh en faite pourquoi es-tu rentrée ça ce passais mal la bas ?

J'ai peur de lui dire la vérité, donc j'opte pour l'option mensonge :

-la tournée est fini pour trois mois. Elle s'est fini il y a deux jours, du coup je me suis dit que j'allais rentrée pour vous voir ?

-oh c'est mignon dit-il en se foutant de moi et du coup, avec ton italien. tu ne nous l'a pas ramené 

Ah non il n'a pas compris en faite  

-il est reparti en Italie di-je en enfournent le plus gros bout possible dans ma bouche pour éviter qu'il ne continue 

-et il je vas pas revenir ?

-si, bien sûr que si, mais il est aller voir sa famille.

encore un mensonge ...

Je pense que si il savait tout ce qu'il ma fait et que j'ai continuée à le suivre comme un petit chien.

Si il savait comment j'ai été conne et si il savait que je suis partie à cause de lui.

Que j'ai tout laisser tomber...

Alejandro, ne ferrais plus parti de ce monde.

j'avale difficilement ma boucher.

Soudain je vois tout noir enfin, je ne vois carrément plus rien en faite.

Une énorme pression froide m'empêche de voir à cause de main gelé...