Chapitre 11

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Quand je me suis réveillé, le soleil inondait la chambre. Les grains de poussière dansaient en suspension. Je n’avais qu’une pensée en tête : toi. Alors que mon père et Mme Pomfresh s’approchait de moi, pour m’administrer un calmant, je me débatit en criant ton nom. Ne comprenait – ils pas qu’il fallait que je te vois ? Ma Rose, pourquoi me regardaient – ils d’un regard désolé ? Ils m’assuraient qu’ils t’avais transmis le sang, que tu t’étais réveillé mais ils ne voulaient pas continuer. Que t’étais t-il arrivé ? Rose, je t’en pris ne me dit pas que tu as fait une bêtise ! Mme Pomfresh se débattait pour me faire boire une potion  qui était censé me calmer. Je n’en avais aucune envie ! La seule chose que je désirais c’était de te voir ! Je mis alors tout mon cœur à balancé un coup de poing dans le ventre de celle-ci. Je sauta de mon lit, tressaillis légèrement et courut jusqu’à ta chambre. En y pénétrant, je fus complètement déboussolé de ne pas t’y trouver. Je me retourna et me retrouva nez à nez avec mon père. Il me prit dans ses bras en me chuchotant que tout allait bien. Je n’étais pas d’accord avec lui, tu n’étais pas là ! Rose ! Où es-tu ? On me portait dans une chambre attribué pour les personnes défaillante d’esprit. Je ne suis pas fou ! Je suis fou amoureux de toi Rose mais pour moi être amoureux, savoir aimé,  n’est pas signe d’inormalité d’esprit. La seule chose que je veux c’est toi. Et si ils ne veulent pas me dire où es-tu, je le découvrirai moi-même. Enfin, enfermé comme un lion en cage dans cette chambre je ne pouvais pas faire grand-chose à part attendre que quelqu’un vienne. Alors je lui sauterai à la gorge et l’obligerai à ma révéler ce qui t’étais arriver. Cependant personne n’ouvrit ma porte. Ils pouvaient bien pensé que j’étais fou. Si ça les amusait. La seule chose qui me rend fou c’est toi. Il se passa plusieurs jours sans que personne ne me touche. On me glissait ma nourriture à travers une trappe. Physiquement je parassais calme et posé attendant sagement mais intérieurement je bouillonais. Enfin, 3 jours après que l’on met interner mon père entra dans ma chambre. Quel traître. J’attendis sagement qu’il s’approche de moi, et je lui sauta littéralement dessus. Il nu pas le temps de réfléchir que déjà je me tenais devant lui sa baguette en main. Il devait vraiment me considèrer comme fou mais je m’en contre fichais. Tout ce qui m’importait c’était toi. Drago me regardait. Il attendait ,la suite, sans montrer aucun de ses sentiments. Il m’exaspère. 《
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-Parle. Où elle est ?
-Scorpius écoute….
-Je ne veux pas de ton charabia. Ce que je veux c’est elle.
-Elle s’est fait enlevé par Alexandre. Nous ne savons pas où elle se trouve mais…》
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Il ne m’en fallut pas plus. Je partit en courant la baguette en main avec la ferme attention de tuer ce Alexandre. Il me l’avais prise une fois. Mais pas deux.

Un Bousculement dans le DestinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant