Ma star

chapitre 3

Pdv Hailey

La semaine est enfin fini, ce qui veut dire que c'est le week-eeeeeend. En parlant de week-end, mes parents et Juliette sont partis hier soir chez mes grand-parent, ils devraient être de retour dans la journée de dimanche. Avec l'autorisation de ma mère évidemment, je peux inviter qui je veux à la maison. Donc je vous laisse deviner ce que j'ai fait ? J'ai appelé Lex, Rachel et Sam à passer le week-end à la maison.
J'étais en train de finir de me préparer quand j'entends la porte claquer, Rachel apparaît dans la salle de bain en pleine forme, depuis qu'on est gamine, ma mère n'arrête pas de dire aux filles qu'elles peuvent entrer comme elles le souhaitent, pas besoin de toquer. Parfois c'est cool, mais quand j'ai le cul poser sur les toilette en train de pisser puis que Rachel rentre comme si de rien était j'avoue que ça porte à confusion sur la question d'intimité.

_What's up ma blonde préférée ?

_ Ba ma foi, comme tu peux le voir je suis actuellement en train de pisser, et toi ?

_ Je vois ça, Lex' arrive dans deux minutes je crois, on est partie quasiment en même temps.

Je m'essuie, tire la chasse d'eau, puis je me replace devant le miroir finir mon maquillage, seulement composer de mascara et d'un trait d'eye liner. La porte claque une seconde fois, laissant cette fois ci apparaître Alexia dans la salle de bain, elle check Rachel, puis en me voyant en galère sur mon trait de liner, elle m'arrache le crayon des mains, prends mon visage d'une main, tout en s'afferent à cette nouvelle tache.

_ C'est pas la casquette de Laura que tu as sur la tête ? Me demande Lex.

Je confirme d'un mouvement de tête, je l'avais oublié mardi soir, et j'ai pas revue Laura du reste de la semaine, alors je me suis habitué à la garder sur la tête. Je pense qu'elle devait être en déplacement tous les jours, car nous étions passer chez les voisins jeudi soir pour le dîner, et Laura n'était pas là.
Je retire d'ailleurs ma toque pour enfiler un sweat oversize rouge, tandis que en bas j'avais un jean bleu claire basique de chez Levi's. Rachel porte un hoodie noir et rouge à l'effigie de son équipe de basket préféré, puis un bas de jogging Nike, elle avait opté pour le comfortable aujourd'hui. Alexia, porte un jean noir taille haute noire avec un débardeur blanc et un perfecto noir par dessus.
La sonnette résonne soudainement dans toute la maison, théoriquement il pouvait s'agir que d'une seule personne. C'est Rachel qui s'occupe de descendre chercher Sam, alors qu'avec Alex on va dans ma chambre. Elle se pose sur le lit, tandis que je finis de ranger rapidement mon bureau ou mes cours étaient étalés. Je ferme mon piano, puis pose mon classeur par dessus.

_ On a de la compagnie les filles !

Je me retourne vers Rachel, pour découvrir Sam, mais aussi Laura. C'était pas vraiment prévue au programme ça, mais c'était pas gênant pour autant.
Ce qui est gênant en revanche c'est qu'il va falloir changer l'activité shopping par autre chose, je doute que la jeune femme aux cheveux ondulés soit okay avec le fait de sortir dans les endroits les plus fréquentés.
Alors que je suis assise sur mon banc consacré à l'utilisation de mon piano, je fais signe à Laura qu'elle peut s'asseoir sur mon lit avec les filles. Mais elle en décide autrement en s'approchant, tapant sur la casquette pour la faire descendre à hauteur de mes yeux, et s'asseoir à côté de moi sur le banc étroit.

_ Tu peux la garder si tu veux, j'en ai pleins d'autres.

Gênée de la situation je la remercie silencieusement en replaçant sa casquette tel qu'elle était avant le plus âgée donne un coup dessus. Les filles discutaient sur mon lit, et Laura s'était relevé pour inspecter tous les détails de ma chambre, puis moi, je réfléchissais à un plan pour cette après midi.
Une idée me vint finalement à l'esprit, j'attrape mon téléphone, sort de ma chambre pour me rendre dans le salon, et appeler mon oncle. J'essaye de négocier avec lui, négociation qui porte parfaitement ses fruits parce que je raccroche le sourire aux lèvres. Je remonte les escaliers deux par deux, faisant irruption dans mon espace sans aucune douceur.