Never Ever

Chapitre14: colis.

BAM! La porte de l'entrée s'ouvre. Alec. Quoi? Alec?
- Quesque tu fais là, connard?!
- Ambre... Elle est morte.

Je regarde Héloïse.
- Alec, est ce que tu me prends pour un débile, comme toi?
- Ambre est morte!
- Les morts ne peuvent pas remourir. Tu sais, je suis là depuis plus longtemps que toi.
- Mais, elle s'est noyée...
- Dans deux heures, tu la verras au labo. Pour l'information, tu peux tuer un mort 3 fois sans qu'il ne se passe rien . Mais, à la quatrième fois, si tu le tus, vous disparaissez tout les deux.
- Et on vas où?
- Pouff.
- Comment ça, Pouff?
- C'est magique. Maintenant, si tu veux bien, je retourne à ma distraction.
Sur ce je plonge sous la couverture en embrassant Héloïse.

PDV AMBRE

Quand je me réveille, j'ai l'impression d'avoir but un bidon de Tequila. J'entendis un grand rire africain. Je tourne la tête en grognant.
- Hahaha! Alors, petite Ambre, je ne te souhaite pas de nouveau la bienvenue au royaume des morts!
- Non, merci Will. Je suis où?
- Au labo, ma belle.
- Ah. Stop! On arrête tout! Alec, il est où ce salaud?
- Alec? Mais, il est dans sa chambre, il dort.
- Je vais lui casser la gueule.
- Quoi?
- Will, j'ai juste une question, où est la chambre d'Hestia?
- Numéro 67
- Merciiiiiiiiiiii.

Je cours. J'ai eu une idée du siècle.
Je toque à la porte de l'appartement 67.
- Hestia! Move your ass!
- Eh! Mais détend toi! J'arrive!!!
- On vient de me noyer.
Je l'entends courir dans son couloir. On dirait que j'ai trouvé le mot magique qui la fait sortir.
- Ambre, rentre, fait comme chez toi.
- Tu n'aurai jamais dû dire ça.
- Comment...
Je vais sur son canapé et je commence à sauter ( bondir) dessus.
- Descends tout de suite!
- D'abord tu dois jurer. Jurer de m'aider quoi qu'il se passe.
- Ambre, je t'aime beaucoup, mais je ne sacrifierai pas pour toi!
- Je ne t'en demande pas autant!
- Je le jure.
-  Un café très très fort.
- Le mot magique?
- Va te faire.
- Je prendrai ça pour un je t'aime.
On s'assoit bien convenablement sur son canapé.
- Petit monologue
*****************************
Je lui raconte mon entretient, quelque peu mouvementé d'Alec et moi.
- Qu'est ce que tu attends de moi au juste?
- Je veux que tu me transformes en guerrière. Je veux me venger, contre l'injustice de la mort, des blessures cosées par les faiblesses, physique comme psychologique.
- Demain, 4h00, gymnase. Ça te dérange si j'emmène quelques formateurs avec moi?
- Non. Par contre, ce qui me dérange c'est l'heure du réveille... La c'est chaud.
- Petit un: ne Jamais au grand Jamais me contredire. Sinon..
- Tu me tues. Bonh, merci beaucoup, salut!
Je pense que je vais me coucher tôt ce soir...
Quand je rentre chez " moi", je retrouve un petit garçon assis devant ma porte.
- Quesque tu fais là?
- Bonjour madame, je suis un des messagers des Tharraléos. Je vous apporte un colis.
- Mais tu as quel âge?
- 8 ans madame.
- Entres.
- Mais, moi j'ai du travail...
- Comment tu t'appelles?
- Charlie. Charlie Lewis.
- Reviens me voir demain Charlie Lewis. Je compte sur toi.
- Euh, madame?  Votre colis... Bonsoir.
Ce petit garçon me rappelle quelqu'un, j'ai la tête qui tourne. Je m'abandonne aux divagations du monde des rêves...

-Lexie! Lexie! Viens m'aider! J'ai envoyé mon ballon dans l'eau.

Le petit garçon renifle. La fille aux long cheveux bruns et aux yeux bleus le regardes avec tendresse.

- Mais, enfin, Dylan, c'est la troisième fois cette heure.

La fille retire son paréo, et, avec grace, elle plonge dans la piscine.

Je m'assois brusquement, si brusquement que je vois flou.
C'était qu'un rêve, rien qu'un rêve. Mais, c'est comme si j'essayais d'y voir à travers une vitre.
Je me rappelle d'hier, du petit garçon, Charlie, qui venait m'apporter un...  Le colis! Quelle heure il est? Je regarde ma montre: 01h30.
Bon, finalement je serai à l'heure pour ma "formation"...
Je prends un couteaux, je le plante dans le carton du colis.
Il y a plusieurs cartes, une lettre, et deux cadeaux.
Je prends la première carte postale.