23 octobre, 3h30, plage

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Quelque chose d'humide me réveille. Génial, il pleut... Comme si'l n'y avait pas assez d'eau sur cette p****n d'île. J'ouvre les yeux. Mon feu brûle toujours. Il ne pleut pas. Qu'est qu'il ma toucher. Je me lève. Une ombre tourne autour de moi. Je mets ma lampe dans ma bouche, de sorte à ce que le faisceau de lumière se plante devant moi. Je sors une flèche et bande mon arc. Ce n'est pas un rôdeur, ils ne vont pas si vite. J'entends un grognement animal. Enfin quelque chose de bon à manger ? Une lumière bleue électrique vient faire exploser mon feu. Je tombe en arrière et crache ma lampe.
-OK, quoi que tu sois ne me mange pas, je veux pas... Plus te tuer. Regarde, je pose mon arc. Voilà, ne m'attaque pas... 

L'ombre se figeât sur place. Elle avance, petit à petit très lentement. Elle doit se trouver maintenant à un mètre de moi.  Je ne vois toujours rien. Quelque chose bouge. L'ombre semble tourner sa tête. Elle ouvre ses yeux.

Un dragon. Cette bête si pourchassée autrefois, qui a disparu. Un spécimen inconnu qui ne réapparaît que lorsque tout le monde est mort. Quelle triste découverte... pour l'instant, il vaut mieux que je ne m'occupe pas de ça. Ma vie est sûrement en danger.

Mes yeux se sont habitués au noir, je vois presque parfaitement grâce à ma lampe planter sur le sol. Le dragon s'approche de moi, puis fait brutalement demi-tour. J'aperçois derrière lui un feu follet. Non, c'est pas le moment de partir à la chasse aux morts... Le dragon revient avec une branche d'arbre dans la gueule et commence à dessiner des formes autour de moi. Une fois qu'il a terminé, je me baisse pour regarder les traits de plus près. Je marche sur un trait en voulant sortir du dessin. La bête se met à grogner je retire mon pied de la ligne et le visage souriant du dragon réapparut. Je refis le test, c'était ça. Il ne fallait pas poser le pied sur les lignes. Je commence doucement, sans le quitter des yeux. Il montre les dents. J'accélère et me concentrant. Il émet un jappement satisfait et m'observe. Je me rapproche de lui peu à peu. Pour finir hors des courbes qui ornent le sol... face à lui. 

-Salut toi,tu m'en veux pas mais je pense que vais devoir monter sur toi. Hein, je veux pas te faire de mal.
Je pose doucement ma main sur le grand dragon noir. Je me déplace lentement vers son dos. Je me demande comment je vais faire pour rester dessus quand je serais sur son dos. Là réponse à ma question se trouve attacher autour de son torse. Une selle, une lanière de cuir accrocher, des... pédales, une queue artificielle. 

-Alors tu as déjà était monté. 
J'aperçois un nom graver sur la selle.
-Alors comme ça tu t'appelle Krokmou. 
A l'appelle de son nom, le dragon réagit.
-Tu comprends ce que je dis ?
Approuvement.
-OK mon grand, je peux faire un essais.  
Il se retourna et me poussa avec sa tête vers la selle. Je passe un pied dans un étrier.
-Ça doit pas être plus difficile que pour un cheval.
Une fois que je fut installer, il agita les ailes et s'envola. 
-D'accord, J'AI RIEN DIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIT. -Oui c'est moi qui hurle-. 

Je devait diriger sa queue artificielle avec la pédale gauche. Pourquoi les dieux ont-ils voulu que je sois droitière!!!
-Krokmou, s'il te plaît, je tiens vraiment à ma vie. Ça fait quatre mois que j'essaye de la préserver.
Je me penche en avant et stabilise le dragon. 

-Bien mon grand, très bien. Ça te dérange de nous reposer maintenant. Attention je lâche tout. Et, let's go. 
Je lâche la pédale et le dragon descend doucement en cercle jusqu'à la plage. 

-Très bien, maintenant on va devoir faire ça jusqu'à Beurk.
Il s'agite lors qu'il entendit le nom de la ville.
-Juste le temps que j'accroche mes affaires et on est partit.
Je mets mon sac sur mon dos, remets la ceinture de cuir et on s'envole vers Beurk. Enfin on essaye, heureusement qu'il y a des rocher tout le long du chemin.    





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