25 octobre, 20h00, quelque part à Breuk

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Je me relève et me dirige vers elle. Je la prends par les épaules.

-Ça va... Je voulais dire que...je commence. 
Je n'ai pas le temps de finir qu'elle me serre très forts dans ses bras. Je lui tapote maladroitement dans le dos. Je l'entends qui pleure.
-J'ai crus que t'été morte, j'ai crus que t'été morte. répète-t-elle en serrant de plus en plus fort.
-C'est ce qui va arriver si tu continue à m'étouffer, lui dis-je en un souffle. 

Elle me lâche et me regarde, les yeux encore plein de larmes.

-C'était quoi ça ? Ce truc a essayé de me bouffer.
Je me penche pour identifié les cadavres au sol. Ce n'est pas ce que je pensais. 
-Des infectés, comment sont-ils arrivés ici.

-C'est l'endroit où on mettaient les morts au débuts de l'épidémie. On a arrêté en voyant qu'ils se réveiller et essayer de nous manger. Après cela, on a remarquer qu'ils se réveiller quand ils ont été touchés par un humain après leur morts. Alors ont les a laissés là où ils été mort.


On s'assoit au bord de la falaise et je lui explique tous se que je sais sur les rôdeurs. La nuit est tombé depuis déjà une bonne heure quand nous décidons de rentrer. Avant de monter sur Krokmou, elle se tourne vers moi et tend sa main.
-Je crois qu'on est partit sur de mauvaises bases.
-Non, sans blague, riais-je en la lui serrant. 

Nous repartons en direction de Beurk. Cette fois, c'est Astrid qu'il conduis. Forcément, on se prends moins de rocher dans la tête. Lorsqu'on arrive, on retrouve Harold dehors qui regarde le ciel. Son regard s'éclaire qu'il voit Krokmou revenir. Je saute un peu avant d'atterrir devant leur maison pour les laissés en couple. J'entends juste Harold qui pose une dernière question.
-Elle est où Mérida ?
-Elle a pris sont propre chemin, répond-t-elle avant de l'embrasser.
Je ne peut m'empêcher de sourire tous en faisant une petite grimace dégoûter. Je rentre dans ma maison, dans mon nouveau chez moi. Là où je commence à me sentir chez moi, avec des gens que j'apprécie, même si je sais que je devrais bientôt les quitter. Je me plonge dans mon actuel lit et m'endors. Cette nuit là, je rêve.

La voix du corbeau:
-Retournes y... retournes y.
-Retourner où.

Il pars.
-Attends moi, ne t'en vas pas...
Je cours derrière lui et arrive dans un endroit très familier... trop familier.

-Le cercle de pierre... Pourquoi m'as tu emmenée ici. Sale corbeau, je vais te renvoyer de là d'où tu vient ! Chez cette foutue sorcière... 
-Suis-les...
-La sorcière, il faut que j'aille la voir. Les feux follets. L'autre jour, sur la plage... La direction opposé. Tu les contrôles. C'est toi qui me les as envoyer il y a quatre mois. tu voulais que je les suivent pour me faire changer, pas ma mère mais moi... C'est bon, je l'ai compris maintenant. Tu n'as plus besoin de me faire la leçon, j'ai tous compris. Mais arrête maintenant. S'il te plaît.

-Ce n'est pas toi, c'est lui. 
Quelque chose me dit de me retourner. Je vois un flocon, et mon pays en neige. Soudain, une vingtaine de flash-back me revienne. Le premier feu follet, ainsi que leur chemin vers la vieille cabane, la potion, le corbeau, les sculptures de bois, le message de la sorcière ainsi que cette phrase qui revient en boucle

-Destin pour changer, renoue les liens, répare le mal causé par l'orgueil... Destin pour changer, renoue les liens, répare le mal causé par l'orgueil...
Je ne comprends plus rien. Je m'écroule au sol.
-Je l'ai réparer, je l'ai réparer ta foutue tapisserie...
Je pleure, et me réveille.

The walking Disney with the big fourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant