We All Have Secrets.

Chapitre 18

22:45 , Entrepot abondonné aux aborts de la ville
extreme noirceur.

Bruit d'un garage qui s'ouvre.

-C'est pas mal, pour une planque.
-Tu ne croit quand même pas qu'on va dormir ici?
-Ordres du patron.
-Et pour quoi faire ensuite?
- On attend les ordres. Pour le momment y'a rien a faire.tu veut une biere?

*bruit d'une case qu'on traine*

-Au moins on a droit à un refrégirateur, et une télé! ça change de l'autre planque.
-Tu sais trés bien que même si il est obsédé par cette fille, il pense quand même au bien de nous tous.
-C'est ça, ouais.
-De toute façon on ne doit pas attirer les soupçons.
-en parlant de soupçons, la cargaison arrive quand?
-deux camions, a 5:00 a.m.
-Et c'est qui?
-On l'appelle Die Eidechese.
-C'est l'allemand?
-Ouais. On allume la lumière ou pas?
-T'a peur du noir?
-Je prefererai bien savoir si je ne suit pas assis sur un rat mort moi.
-shhh!

Des pas appliqués s'approchent.
Peu a peu, on pourvait disntinguer des talons hauts, et une sillouhette feminine.

-T'en a mis du temps.
-Depuis quand tu t'occupe du business toi?
La silhouette ne répondait toujours pas.
-T'a avalé ta langue?

*Déclic d'un pistolet*
-Qu'est ce que tu fais!!
Bam!
Bruit sourd, un corps tombe au pieds de l'autre personne, encore sous le choc, les mains encore levées en signe de retraite.

puis, comme rien ne se passait, il se hasarda a baisser les bras. la silhouette feminine devenant plus visible.

Une femme se tenait toute droite, sans ciller. coiffée d'un bob mi-long fraichement coupé, elle avait une visage plus rond, une bouche plus fine, mais les yeux bleus d'ocean se trouveraient toujours la. Elle était vetue de sa robe la plus serrée, la plus noire et de cuir, sans oublier ses talons bruyants. Ses longues mains nues tenaient encore l'arme, et ses longs doigts biens vernis, couleur absinthe.

-Qu'est ce que tu as fais!

-C'est ce qui arrive à ceux qui doutent du patron. N'oublie jamais que tu lui es redevable.

sur ce, elle sortit.