La chance de ma vie N.H [Tome 3]

Chapitre 11.

[Pdv Niall]

J'écoutais tranquillement l'histoire de mon fils expliquant sa peinture lorsqu'un cris de surprise me fait sursauter.

Un cris ? Oh mon dieu ! Rose !

Je me lève précipitamment avant d'arriver devant les escaliers et de voir ma femme légèrement plier vers l'avant, la légère douleur paraissait sur son visage et un liquide était étaler sur l'escalier. Ses jambes tremblaient et elle était appuyer sur le mur.

Bordel ma fille arrivait déjà ! Je n'avais pas de doute.

J'accours vers ma femme et l'aide à descendre les escaliers lentement alors qu'elle essayait de retenir ses larmes.

Moi : Ça va aller respire... je vais appeler ta mère... elle va venir chercher les jumeaux et on va aller à l'hôpital. Respire profondément.

Une fois arriver en bas, Je l'aide à s'installer sur une chaise et attrape rapidement mon téléphone.
J'appelle ma belle-mère et celle-ci me promet d'arriver très vite pour récupérer mes fils. Je remonte donc rapidement les escaliers avec un torchon et nettoie le petit accident dans les marches. Une fois cela fait, Je descend la valise de maternité au salon et remonte de nouveau. J'entre dans la chambre de mon fils qui pleurait toujours. Je m'approche rapidement de lui et me met à genoux en face de lui.

Moi : Liam... toi et Kyle, vous allez chez mamie d'accord ?

Mon fils fronce les sourcils inquiet.

Moi : Ta petite soeur va arriver et nous devons nous dépêcher, alors je veux que tu ramasses les jouets que tu veux amener. Cela te vas ?

Il hoche la tête quand Kyle entre dans la pièce en courant.

Kyle : Maman elle dit d'aider papa ! •sourire•

Je souris rapidement et lui demande de se choisir deux jouets à son tour avant de prendre leurs sacs, de les remplir de vêtements et de tout se qu'ils auront besoin pour deux nuits. Je mets un peu importe quoi. J'étais nerveux. Je me ressaisit rapidement pour ne rien oublier.

Kyle : Papa ? Maman-...

Moi : Elle va bien ne t'inquiète pas ! Ta petite sœur veut juste sortir de son ventre et sa fait un peu mal à maman.

Je fronce les sourcils. Bon dieu, qu'est-ce que je viens de dire à mes fils de trois ans ? Je pense que le stress me fait dire n'importe quoi. Il hoche la tête et dépose les jouet dans son sac comme si rien ne s'était passer. J'entends la porte s'ouvrir et une voix qui parlait avec Rose, Marie est sûrement déjà arriver. J'aide les garçons à descendre les marches des escaliers avec leur sacs et une fois en bas, je vois ma belle-mère aider ma femme à se lever.

Marie : Je vais l'amener dans la voiture.

J'hoche la tête et aide mes fils à enfiler leur veste et leurs chausssure rapidement. On ne perd pas de temps pour sortir de la maison. Je pars les installer dans la voiture de Rose puisqu'il y avait déjà les sièges d'enfants installer à l'intérieur.  Marie installait Rose dans ma voiture alors que celle-ci commençait à gémir de douleur. Une fois les garçons installer convenablement, j'accours vers ma voiture et donne les clés du véhicule de Rose à Marie.

Moi : Prenez sa voiture. Les jumeaux sont installés dans leur sièges.

Elle hoche la tête et me prend dans ses bras.

Marie : Je vais venir vous voir le plus tôt possible. Appel moi pour me donner des nouvelles...

Je lui offres un sourire avant d'entrer dans ma voiture.

Rosaly : Les jumeaux vont bien ? •grimace de douleur•

Moi : oui ne t'inquiète pas. Ils étaient un peu surpris qu'on se dépêche comme ça. Ça devrait aller pour eux, ta mère va bien s'en occuper.

Elle hoche la tête avant de s'installer le plus confortablement possible pour ne pas avoir mal.

Rosaly : La prochaine fois que tu voudras un bébé, rappelle moi de te dire non ! C'est vraiment horrible, comment j'ai pu te dire oui pour un troisième ?

Je rican: en embarquant sur l'autoroute pour nous rendre à l'hôpital. Après plusieurs minutes, elle pousse un horrible crie qui me fait tourner la tête vers elle.

Rosaly : Ouff... celle-là était puissance.

Elle se met à respirer profondément et lorsqu'une contraction arrive à 15 minutes d'intervalle , elle respirait rapidement pour faire passer la douleur.

Moi : Et bien, tu te débrouilles plutôt bien pour le moment.

Elle me l'enlace un regard noir qui me fit sourire.

**************

L'arrivée à l'hôpital fut correcte. Les infirmières se sont dépêcher de trouver une chambre pour ma femme qui avait des contractions un peu plus rapprocher que tout à l'heure. Nous étions présentement dans la chambre d'hôpital que nous nous étions fait attribuer et Rose essayait de dormir le plus possible. Le medecin était venu l'occulter et l'accouchement était prévue pour dans cinq heures minimum, le temps que son col se dilate entièrement.  Je caressais lentement ses cheveux lorsqu'un petit coup se fait entendre vers la porte.

En tournant la tête, je remarque James dans l'encadrement de la porte.

James : Salut...

Moi : salut •chuchote•

James : Elle va bien ?

Moi : Elle se repose... l'accouchement est prévue pour dans quelques heures et Les contractions ont commencer à s'espacer un peu... Le médecin dit que c'est normal pour le deuxième enfant , dans notre cas c'est le troisième ,mais bon •ricanement nerveux• enfin il dit que c'est normal pendant la deuxième grossesse.

James : Ça vous dérange si je reste un peu ? Arianna est au travail et j'ai un jour de congé en se magnifique vendredi 15 avril... Je n'aurais cru personne si on m'aurais dit le jour où j'ai pris se congé, que ma nièce allait venir au monde. C'est quand même fou, 24 ans et vous aurez déjà trois enfants.

Moi : Ouais. Je ne réalise pas non plus. c'est fou... Et toi ? Vous pensez continuer d'essayer ?

James : Moi et Arianna en avons déjà parler, mais... elle est septique. Elle ne se sent pas prête finalement, je crois. À chaque fois que j'aborde le sujet, elle ne parle pas trop, mais depuis un mois, elle est anxieuse lorsqu'on en parle et je commence à penser qu'elle ne veut plus en avoir finalement.

Moi : Anxieuse ? Étrange.

James : Oui assez.....

Moi : peut-être qu'elle a besoin d'un peu de temps ? Ou qu'elle essaie de trouver le problème. Tu sais, cela nous a prit trois ans avant de réussir à nouveau.