Chap 19 : vengence

1.3K 93 9
                                    

PDV IVY

Une personne m'en veut, me veut du mal,me déteste.
La question ultime, ; qui est-ce ?

La réponse ; Je n'en ai pas la moindre idée.

PDV Ivan

Je n'ai pas pu fermer l'œil de la nuit. j'aurais dû tuer la fille. mais la prochaine fois je ne ferai preuve d'aucune pitié.

2semaine plus tard

Les cours ont repris, rien n'a changé ici dans ce lycée, tout est intacte. Un bruit attire mon attention.

Je me retourne et analyse la situation. Léa devant la classe, des cahiers par terre et juste à côté, Angélina.

Pas besoin d'Einstein pour comprendre ce qui s'est passé et pour une fois qu'il se passe quelque chose ici, je tends l'oreille.

Angelina : oups je suis désolée Léa je n'ai pas fait exprès.

Une fois que je pourrais distinguer entre milles rugit derrière moi.

Ivy : non mais oh toi là, tu te crois ou? tu vas tout de suite ramasser ses cahierst'as piger ? sinon je t'envoie faire une fellation à un chameau unijambiste dans le désert.

Angelina : J'aimerais bien voir ça.

Le gorille, uhum pardon, Ivy, s'approche d'Angélina.

Elle lui tord le bras de façon très stratégique puis la tient par la tête. D'un mouvement elle se retrouve par terre

Ivy : allez dégage on va te prendre pour une serpillière.

Je pouffe de rire discrètement. Ivy ramasse les cahiers de Léa tout en shootant ce d'Angelina au bout du couloir.

Ivy : oups je suis désolés Angelina je ne les ai pas vu.

Après que Ivy et Léa soient parties, je vois Angélina se diriger vers moi.

Angelina : Salut chéri, t'as vue comment elle me traite l'autre salope ? Pourquoi tu ne m as pas défendu.

Moi : Kinsey cherie, je ne frappe pas les filles.

Kinsey : mais elle c'est pas une fille.

Moi : je sais comment me faire pardonné.

Kinsey : ah oui ?

Elle balade son doigt sur tout mon torse.

Kinsey : alors dans ses conditions là, tu es pardonné.

PDV IVY

Elle m'énerve. Je n'en peux plus d'elle. Je m'assois à ma place à côté de Léa et souffle d'exaspération.

Teo : salut.

Lea /moi : salut.

Teo : s'il vous plaît Planter moi une fourchette dans les yeux je ne veux pas faire de français.

Léa : c'est la dur réalité.

Apres le cour

Teo : eh les filles regardez, c'est quoi ça?

Lea : c'est une bague non ?

Théo se pencha pour l'attraper et cette andouille se met à genoux et commence son cirque.

Teo : Ivy Dester voudrais-tu m'épouser, me gifler et m'insulter tous les jours, rire à mes blagues nulles et me détester pour le meilleur et pour le pire jusqu'à la fin de nos jours ?

n'importe quoi ce mec.

Moi : jtaime pas

Il me met la bague au doigts et on explose tous les trois de rire.

Lea : bon j'ai cours, J'y vais.

Teo/moi : salut.

J'attends quelques minutes qu'elle disparaisse de l'autre champ de vision et me tourne vers Teo.

moi : Bon quand est-ce que tu vas lui dire ?

Teo : lui dire quoi ?

Moi : qu'elle a un beau cul.

Teo : hein ?

Moi : t'es con ou tu fais exprès ?

Teo : je vois pas de quoi tu parles.

Je roule des yeux et vois Angelina parler à Lea je ne sais quoi. Cette fois je décide de ne pas intervenir

********

la porte de la maison était ouverte. Je sors mon flingue, et entre a pas de loup .

Du bruit viens de la cuisine je saute et tend mon arme.

Anna : AH AU SECOURS.

Je lache un soupire de soulagement ce n'est qu' Anna.

Anna : NE TIRE PAS JE T'APPORTERAIS DU NUTELLA.

Elle ne changera jamais.

Anna : D'ailleurs tu as reçu un colis, il est dans ta chambre.

Je sens la douille arrivée. Je ne suis vraiment pas excitée a l'idée monter voir le fameux colis.

Je monte les marches et une fois dans ma chambre, j'ouvre le paquet et me prépare mentalement à ce que je vais lire cette fois.

"Alors très chere ? Toujours rien ? C'est dommage pourtant tu es si proche du but , l'heure tourne tic-tac-tic-tac et toi tu es toujours sur la case de départ, ton heure est proche, profite des étoiles, profite du ciel, profite de l'amour, peut être que tu ne le retrouveras plus jamais ."

Gé-ni-ale, Un moliere ce mec...

ELLIPSE

Laissez moi vous résumer la situation en quelques mots « Ivy chez le directeur ».

Mais oui, je suis devenue poto avec Smiis, que dire, moi et le directeur c est une belle histoires.

Je longe les coulois, mais une poigne saisis violamment mon bras et m'entraîne vers la petite pièce d'a coté.

Prise d'un élan de surprise je n'ai pas le temps de me débattre .

je n'ai toujours pas vu qui c'est, la pièce est trop sombre.

-tu m'as manquée ma belle....

When the stars shineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant