When the stars shine

Chap 25 : faire face a la realitée

PDV Ivy

Ça fait deux jours que je squatte la cuvette des toilettes.

Ça pue, c'est degueulasse, j'ai le nez qui coule.

Le téléphone fixe sonne, ça doit être les vetement qu'a deposée Anna au pressing.

Je prends mon rouleau de PQ, ma couverture et je descends rapidement les marches.

Coup de chance, je rate une des marches et me voila entrain de dégringoler les escaliers . Je m'écrase au sol pile devant le téléphone...génial hein ? Bref le pressing.

???: Alo

Moi : Oui Alo, vous pouvez venir déposer les vêtements ce soir.

???: De quoi vous parlez ?

Moi : C'est pas le pressing ?

???: rejoins moi a cette adresse.

Moi : Ce serais sympa de me dire qui c'est non ?

Ça m'a raccroché au nez...Okalm... L'adresse est un hôpital a 20 min de chez moi. Pourquoi un hôpital ?

Bon, je verrais sur place.

Je me retourne pour rejoindre les chiottes mais un ours me saute dessus.

Anna : T'ES VIVANTE ?

moi : Pardon ?

Anna : J'ai cru que tu t'étais étouffée avec ta morve dans tes toilettes vu que ça fait deux jours qu'elles sont occupées. Tu m'as fait une peur bleu, t'aurais au moin pu donner signe de vie non ? En plus j'avais trop besoin de toi, y avais plus de dentifrice, conclusion j'avais trop honte d'aller au supermarché en acheter j'ai eu peur d'asphyxiée les clients et-

Moi : Anna ?

Anna : Ok je me tais.

Je monte dans ma chambre et change mes vêtements que je porte depuis deux jours.

Je vais aller à ce rendez-vous. Je vais un peu mieux, ça me fera du bien de sortir.

Après une heure je redescends et me dirige vers le lieu de rendez vous. J'entre dans l'hôpital et me dirige vers l'accueil.

-Bonjour madmoiselle.

-Bonjour, je voudrais entrer dans la chambre B107 .

-Une minute s'il vous plaît. Allez y c'est au 3eme étage, sixième porte a droite.

-Merci.

Je défile entre les couloirs. J'ai un mauvais pressentiment, plus je m'approche plus je me dis que je ne vais pas aimer ce que je vais voir. J'ai toujours détesté les hôpitaux, mon dernier souvenir avec ma mère était dans un de ces lieux.

Je me stop devant la chambre et ouvre la porte doucement.

-Qui est entré ?

Une infirmière l'aide a ce lever et sort. Aucun son n'arrive à sortir de ma bouche.

-C 'est qui ?

-Tu ne me vois pas ?

-Ivy ?

Je m'approche et caresse doucement sa joue avant de me jeter dans ses bras (clicher *~*)Son regard a disparu, c'est éteint, ses beaux yeux vert ne me regarde plus...

Il m'écarte doucement de lui.

-Qu'est ce que tu fais la ?

-Bah bonjour l'accueil.

-Ça ne répond pas à ma question.

-Je ne-

-Tu ne peux pas répondre, c'est ça ? Comme d'habitude.

Il me tourne son visage.

Ivan : C'est bon tu peux partir.

Et revoila le Ivan égocentrique salaud, connard , dure, au coeur de pierre.

Je me dirige vers la porte et l'ouvre mais la referme sans pour autant sortir.

Je m'approche doucement et m'assois sur une chaise, je préfère rester ici.

PDV IVAN

je sent qu'elle n'est pas partie. e

Elle est toujours là.

J'aurais bien aimé vérifier de mes propres yeux mais bon...

-Ivy tu es toujours la ?

Aucune reponse.

-Viens la

j'ouvre mes bras et en moin de deux une bule de chaleur vien s'y refugier.

Moi : C'est bon tiens moicompagnie.

Je tapote une place a côté de moi, je sens le matelas s'affaisser, et je passe un bras autour d'elle .

Ivy : Qui t'as fait Ça ?

Moi: Je ne sais pas.

Ivy : Qu'est ce qui c'est passé.

Moi : je me faisait du souci pour toi, alors je suis passé te voire. Une fois devant chez toi, jeme suis fait assomer. Je me suis reveillé ici, aveugle.

Elle se blotit contre moi, une goutte d eau tombe sur mon coup .

-S'il te plaît ne pleure pas...je sais que tu pleures.

Je ne peux faire autre chose, qu'essuyer avec mes mains frêle, les gouttes qui perlent sur son visage.