CHAP 33 : cacher sous terre

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PDV IVY

Je ne peux pas, c'est impossible.

David : Je...je suis désolé Ivy vraiment.

Moi : Non tu n'as pas a t'excuser, ce n'est rien, il ne s'est rien passé.

Nous passons le reste de la soirée ensemble, en oubliant ce qui a bien faillit se produire.

David : Je crois que c'est le moment de rentrer.

Moi : Oui moi aussi.

Personne ne prît la parole tout le long du trajet.

Une notification vient briser le silence.

Je sors mon portable, c est un numéro privé.

Les flames de l'enfer sont descendues sur terre, qelle dommage n'est ce pas ?

Il est chelou à la fin avec tout son charabia.

Il ne peut pas être clair une seul fois dans sa vie?

Une fois devant la maison je ne tardes pas a comprendre ce qu'il voulait dire.

Ce salopard a mit feu a ma maison ? BORDEL.

Je descends a toute allure de la voiture et demande aux pompiers ce qui c'est passer.

Apparemment personne ne sait. Heureusement qu'Anna n'est pas la.

Je lui envoie un message et lui demande de prolonger son voyage en lui expliquant tout et j'envoie aussi un message vocale a Ivan.

Quelques minute plus tard une voiture vient se garer derrière moi.

C'est celle d'Ivan avec son nouveaux chauffeur.

Je me place devant lui

Ivan : Ça va ? tu n'as rien ?

Moi : Oui ça va. Je n'étais pas la
heureusement.

Un des pompiers se dirige vers nous.

Pompiers : Ne vous en fait pas. La maison est presque intacte. Il n'y a qu'une seule chambre qui est en cendre. Des réparations d'une semaine devraient suffire.

Moi : Dieu soit loué, c'est quelle chambre ?

Pompiers : Un bureau a l'étage.

Un bureau ? Le journal ? Le journal dans le bureau ?

Ah mais non, il est dans mon sac.

David : Qu'est ce que tu vas faire pendant ce temps ?

Ivan : Elle va venir chez moi, Allez viens.

Papa, si c'est toi je t'infligerais encore plus de torture pour tout ce que tu as fait dans cette vie tu as ma parole .

Une fois arriver chez Ivan, je m'assois sur le fauteuil .

Ivan : Tu es ou ?

Moi : sur le fauteuil.

Il commence a marcher a l'aveuglette et atteint enfin le fauteuil, il vint s'assoir a mes côtész

Ivan : Ne t'inquiète pas ce n'est que le bureau qui est un peu endommagé. Tu peux rester ici tout le temps que tu veux.

Moi : Merci, tu n'es plus fâché ?

Ivan : Non, je ne peux rester facher contre toi.

Je souris et pose ma tête sur son épaule.

Sans savoir comment mes yeux se ferment automatiquement.

When the stars shineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant