Voici une des histoires que j'écrit lorsque je suis en cour... La passion des cours est là x)
2000 ans, 2000 ans que je suis là que j'attends patiemment... Je m'ennuie, nombreux sont ceux qui viennent et se pose devant moi. Moi qui suis prisonnier de la statue. Cette statue qui malgré des décennies est toujours aussi belle... Cette statue qui a survécu au pire carnage causé par l'homme... Cette statue en forme d'oiseau mythique. Cet oiseau mythique qui meurt pour renaître dans ces cendres... Le Phoenix. Sublime créature d'un rouge feu, qui s'envole avec grâce et puissance. Moi je ne suis rien, juste l'ombre de ce mythe. Ce parc qui m'abrite, qui accueil les hommes et les femmes ainsi que toute autre créature en son sein. Ce parc immense et verdoyant. L'herbe y est humide et s'envole avec le vent. Elle suit sa direction... j'aimerais aller là où le vent m'emporte... Hélas, je suis là. Et bien là. Bloquer depuis 2000 ans. Que faire, j'écoute ce que les humains racontent au bord de la statue tout en mangeant. Je les écoutes et je les entends. Avec le temps j'ai oublier pourquoi je suis là. Prisonnier. Tient des hommes vêtus de blanc s'approche... Que se passe t' il ? Les hommes veulent supprimer cette statue, elle qui est signe de victoire et de chance pour nombreux d'entre eux ?!. Quel affront... Il s'approche objet en main. Objet utilisé pour construire pas pour détruire... Objet nommé marteau... Il cogne, il cogne, je ne suis pas vivant je n'éprouve aucune douleur par contre la statue à mal, je le ressens. Ils cassent des parties de la statue, au bout d'un moment une pierre précieuse d'un rouge sang brille de tout sont éclat. Problème, de cette pierre pourtant si belle s'écoule un liquide que les humains connaissent tant. Le SANG. Ce liquide d'un rouge rubis merveilleux... Ce rouge que tout le monde craint... Les humains lâche la pierre qui tombe par terre.... Merveilleux éclat qui s'éteint aussi tôt. Le liquide qui s'écoulait alors se rassemble en un lieu commun pour donner naissance à mon nouveau corps... Un monstre sans véritable forme. D'où le sang coule toujours. Ils me regardent la peur collée à leurs visages...
J'en ferais peut être une histoire à vous de me le dire...
Sur ceux biz ;33
