V

0 0 0
                                    


PDV KEN

Ah il est trop beau quand il est fâché.
Hum, en fait, il a des yeux clairs, comme ceux de D, mais les siens sont jaune claire. Qu'il est beau, j'en baverrais presque. J'ai dit presque. Mon dieu il est so sexy.


-Z: tu sais. Dit il en m'embrassant et en souriant. Tu est vraiment un bâtard.


-tu est vraiment un imbécile.
Dit je en riant. Je me tourne vers tout le monde et dit:
Les amis, vous ne voulez pas venir danser avec moi sur la piste. L'heure tourne et on a pas encore profiter pleinement de la fête.


David m'invite à danser pendant que Zac rechigne en invitant Agnès à danser. Tout c'était bien passé. Je n'étais pas fatiguée ni le reste de la troupe d'ailleurs, mais on était bien pété, sa je peux vous le dire. On ce marais pour un rien, un grand n'importe quoi. L'heure tourne, le club va bientôt fermer ces portes.

-dommage qu'il n'y ai pas un coin ou on peut continuer nos délires. Dit je en rigolant.

D vient m'encercler la taille de ces gros bras et en me faisant un bisou sur la tête. Ce qui me fait rire.

-D: vous pouvez venir chez moi. Tu sais que je  n'habite pas loin.

-K:tu sais bien l'effet que tu me fait quand je suis prêt de toi. Ce n'est vraiment pas une bonne idée. Pourquoi à chaque fois que tu reviens de je ne sais où, tu t'obstines avec moi.
Tu sais que je t'ai aimé mais à chaque fois tu m'abandonne. Je suis passé à autre chose. J'ai quelqu'un maintenant.

-D: a ouais. Et c'est pour ça que je t'ai vue flirter, avec "monsieur Z". Dit il en mimant les guillemets. Mais bon, tu le sais pourtant, pourquoi je ne veux pas te le dire. Il en va de ta santé. Tu est la personne spéciale et cher à mon coeur.

-ma santé...

-Agnès: les gars on vous attend dehors. Dépêcher vous. Et D, on fait comme on a dit. Tu nous invite chez toi. Clin d'oeil.

-D: ouais. On fait comme on a dit. Et c'est partit comme au bon vieux temps. Un bon AFTER.

Nous crions en même temps. Ça me fait toujours marrer.

-va m'attendre dehors avec les autres, j'arrive. Je vais d'abord au toilette, un besoin pressant et tu n'est pas invité.

J'arrive tant bien que mal au toilette, en fermant la porte d'entrée, quelqu'un me tire brusquement dans l'une des cabines. Heureusement que le proprio est quelqu'un de très propre. Mais ça va p..... Lui.

- Z, mais pourquoi ? Dit je incrédule. Tu n'étais pas censé être avec les autres,qui nous attend dehors. Et en plus qu'est ce que tu veux. Même si tu est sexy avec une belle gueule et que nous sommes coincé dans cette cabine, me fait imaginer à des choses peut catholique. C'est......

Je n'ai même pas le temps de finir ma tirade qu'il m'embrasse. Oh putin oui. Mais violemment. Z commence par soulever mon t-shirt de sa main droite pour caresser mon ventre, et de sa main gauche, il me tient fermement la nuque. Sa bouche fini par quitter la mienne pour descendre lentement au creux de mon cou. Ces jambes commence par s'immiscer entre mes jambes, de façon à ce que je les écartes. Je commence doucement à monter ma jambe au niveau de son bassin et il ondule de façon à ce que nous sentons nos excitation chacun. Ce qui fait un moment encore plus chaudasse. Mais je reprends mes esprits lorsque je sens sa langue, ces dents, sa putin de bouche, attraper ma peau pour me faire un suçon. Je le repousse doucement. Avec ma respiration saccadée je dit.

-écoute. Ce qu'il vient de ce passer est est Wouah. Les mots pour qualifier ce moment ce bousculent dans ma tête, tellement c'était bon.

-Z: je sais en me le dis souvent.

-haha très drôle. Espèce de frimeur. Écoute j'ai un petit ami, je le suis fidèle. Même D, ne saurait plus me faire retomber. J'aime B, c'est juste que tu est trop attirant. Fait chié, oui tu est trop canon. C'est vrai que Brandon, ne veut pas que tout le monde sache qu'il est gay, ou n'importe quel autre connerie du monde homophobe. Nous nous cachons, seulement notre bande le sait. Agnès est sa soeur, elle est venu me surveiller. Bon, parlant d'elle, les autres doivent nous attendre dehors, en plus le gérant va bientôt fermer les portes de la boîte. Aller viens. Dit je en lui tirant le bras. Mais il s'arrête.

-Z: calme toi. Je connais le gérant. Pas besoin de se presser.

Nous sortons une fois calmer de notre super étreinte. Je cherche les autres mais ne les vois pas. Je décide donc d'appeler Agnès. Après quelques secondes je l'entends enfin:

-[EST-CE QUE JE PEUX SAVOIR OU VOUS ÊTES. dit je en hurlant.

-A: oh arrête d'hurler. Un des potes de Zac, ne supporte pas trop les alcools fortes du coup, il a commencé à disjoncter. D, à proposer d'aller chez lui, pour lui faire prendre une bonne douche. Tout le monde l'a suivit, sauf Z. Il a dit qu'il fallait qu'il aille parler avec son frère avant de  venir. Venez ensemble. À plus.]

Elle a  raccroché. J'avais pas fini. Alors comme ça Z est resté pour parler avec son frère hein. Espèce de menteur, il est venu me sauter dessus oui. On a peut être les idées embrouilles par l'alcool mais elles sont toujours claire. Enfin pour certain. Perdu dans mes idées noires je n'ai pas senti Zac se rapprocher.

-Z: Hey, est ce que tu va bien. Je t'ai appelé, mais tu ne m'a pas répondu. Et si nous allons rejoindre nos amis.

-attend, oui je vais bien. Tu sais que tu est un....

?? Zac frangin, tu ne me présente pas. Qui c'est cette beauté.

Ah ouais il a un frère.
Beurk. Quand il a prononcé mon nom, j'ai eu un frisson dans le dos. Genre un frisson "je ne lui fait pas confiance". Vous voyez.
Mais bon je peux me tromper. La preuve. Je me suis planté.

-Z: euh ouais. Pas touche Lee. Il est à moi. Enfin presque bref. Lee, Kendal, Lee. Voilà présentation faite. On y va.

Ha. Choqué. Comment ça, a lui. Il est pas bien. Non mais.

🌺🌺🌺🌺🌺🌺🌺🌺🌺🌺🌺🌺🌺🌺🌺

Dite moi ce que vous en pensez. Merci.

Je Ne T'en veux Pas Où les histoires vivent. Découvrez maintenant