Je Ne T'en veux Pas

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PDV KEN

Le repas chez mes parents fut pénible.  Mon père me posais des questions sur l'école, mon déménagement, les filles et mon truc. Je vous présente Marshall Lawson. Seul fils héritiers de Jennifer, dite Jenny et Kenneth, dit Kenny Lawson. Ils n'étaient que de simples campagnard aux cœurs généreux. La soeur de Jenny qui était banquière, les a offert un voyage à Las Vegas, ou ils ont gagné aux Loto. Génial pas vrai. Tout ce qu'il y'a de plus banal. Mon père à ensuite monté l'entreprise Lawson, de vêtements. Par la suite, il a acheté des actions de quelques entreprises qui était dans le besoin, enfin il les a plutôt forcé à les lui vendre. Par générosité ou par vanité.

-Mars: mon fils. Tu aura bientôt ton rendez-vous chez ton médecin habituel. Nous sommes en novembre. T'es médecins te prépare ton opération de décembre.

-papa vas tu enfin me dire ce que j'ai. Soupirais-je. J'ai horreur de cette opération. Je ne vois même pas les changements. Maman toi, est ce que tu sais ce qu'il me font. Un mois....un mois de... de torture ....maman ils me font mal. J'ai subi ce traumatisme durant toute mon enfance. Je suis fatiguée, las.

-Liliane: Chérie, puisque ton père te dis que c'est pour ton bien, fait lui au moins confiance. Aller mange, tu n'est pas bien, reprend des forces. Écoute moi Mars, un jour ou l'autre j'aurais des informations sur ce que tu fais à mon fils. Dit elle d'un air sérieux.

Ma mère et mon père ne s'entendent plus, depuis fort, fort longtemps. Je ne sais même pas pourquoi ils continuent de vivre ensemble. Mon père trompe ma mère et elle et bien c'est pareil. Pourquoi ils ne s'aiment plus. L'amour est beau non. Ma soeur a déménagé chez mes grands parents qui vivent en France à l'âge de 13 ans. J'avais alors neuf ans. Elle ne supportais plus de les voir ainsi. Elle était alors âgé de huit ans, quand elle a  vécu ce calvaire. Mes parents et moi, avions déménager en Amérique. Pour vivre le rêve américain. Ici c'est quit ou double. Si les gens n'aiment pas ton produit tu coule et si c'est l'inverse tu fais fortune. Mon père est trop ambitieux.

-Lili: as tu appelé ta soeur ? Mon coeur, chéri, est tu malade.

-ah... Euh..... Excuse moi maman. J'étais dans mes pensées. Non pas encore. Je pense que je vais l'invité chez moi.

-parents: c'est comme tu veux.

-bon je vais rentrer. J'ai cours demain. Bonne nuit. Je vous aime très fort. Dit je en allant leur faire un bisou.

-parents: nous t'aimons aussi fils.

-Mars: n'oublie pas tes vitamines.

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De retour chez moi, je préparais mes affaires pour l'école. J'aime bien faire ça. Aucun oubli. Tout est bon. Ensuite au lit, sans oublier mes "vitamines". J'appelle plutôt ça des médocs. Je déteste ce goût.

Ah, j'adore cette sensation qu'on a d'être au lit. Emmitouflée sous la couette.

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Arrivé enfin au lycée, j'aperçois mes amis en pleine discussion avec.... ZAC. Non mais je rêve. Bon je n'ai pas envie de tergiverser avec eux. Je pense à quelque chose que je n'ai même pas fait hier soir. Je m'installe sur le seul banc libre de cette université et sort mon téléphone pour envoyer des SMS avec ma soeur.

-📨: coucou, on est bientôt Noël et j'aimerais t'inviter chez moi. Dit tu veux bien passer.

-📩: y'a pas de soucis mon amour. C'est bientôt ton opération et je serais la pour toi, pour rester à ton chevet. Tu sais que tu peux compter sur moi.

-📨: oui, je sais. Tu me manques. Je commence déjà à avoir peur.

-📩: tu veux que je vienne maintenant. Tu pourrais venir me chercher à l'aéroport. Je cherche un billet en ligne et je te bip pour te prévenir. On est d'accord.

-📨: d'acc, j'attends.

?? :est tu malade, je n'ai pas pu m'empêcher de lire par dessus.

Aaah putin. Mon coeur.

-fait chié. Tu m'a fait peur, imbécile. Zac merde. Qu'est ce que tu fais la. Dégage, j'aimerai être seul.

-Z: oh arrête de faire le rabat joie. Je veux te faire une proposition. Et je ne tolère pas de réponse négative.

- en gros, je n'ai pas mon mot à dire. Et quel est cette proposition.

-Z: vient travailler dans la boite de mon frère que tu as vue la dernière fois. Je te veux à mes côtés.

-mais.....non je peux aller dans un autre bar.....en.... Pl....whoa. Qu'est ce que tu fais.

-Z: je t'emmène dans un lieu où on serait seul. Je t'ai dit pas de réponse négative.

Nous arrivons sur le toit de l'école. Il me plaque contre la porte, pour la refermer sur mon poids.

-tu m'as fait mal, crétin. Nous ne pouvons pas être ensemble, puisque je te dis que je suis avec B.

-Z: je ne t'ai pas dit qu'on sortirai ensemble en amoureux. Je veux juste ton corps c'est tout. Et pour ce qui est de B, je m'en occupe.

Je me sens pas bien. Il m'a fait mal encore une deuxième fois. La sonnerie retentit. Et c'est partit pour quatre heures de cours. J'étudie le droit comme ma soeur. Elle déteste mes parents. Comment peut elle rester avec eux alors que son travail, c'est de régler les conflits de couple. Elle ne peut régler les problèmes de ces parents.

Enfin la pose. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne me sens pas bien. J'ai un mauvais pressentiment. Je ne mange pas au self avec les autres. Je préfère plutôt aller me commander un sundae à la fraise au MacDo. Deviner sur qui je tombe. Sur un Brandon furax. Qu'est ce qu'il lui prend. Je regarde mon portable parce que je l'ai senti vibrer dans ma poche. J'ai reçu un message....ah non pas un mais plusieurs de mon père, mais que ce...... Bordel je viens de recevoir un coup de poing... Mon coeur bat vite... Pas pour le coup, mais pour les messages. Je ne me sens pas bien. Je tombe un genoux à terre, à cause du coup. Je le dévisage.

-B: alors comme ça, tu n'a pas le courage de venir me voir pour rompre, toi qui a une si grande gueule. Espèce de fils de putes.

- laisse ma mère en dehors de ça. Tu veux bien me dire ce qu'il ce passe.

Keep calme, mec,  cool, je me relève pour être à sa hauteur. Mon portable toujours en main, je regarde les quelques mots que mon père me dit dans ces messages et....

-B: va te faire foutre. Ta mère elle peut crever, je n'en ai rien à foutre.

Voilà il vient de le dire. Mon bras est tout de suite parti à la rencontre de son cou. Il sait que je n'aime quand on insulte ma mère. Je sens une larme dévaler sur ma joue. J'ai mal, il doit payer pour ce qu'il vient de dire. Même si ce n'est pas lui qui l'a tué. Je pleure.

-merci pour ce que tu vient de dire. Dit je en lui donnant un crochet, il tombe à terre en se tenant la joue. Je ne lui donne pas le temps de riposter, que je lui assène de coup. Je sent quelqu'un me tirer, je reconnais son odeur, celle que j'aime, mais je ne veux pas arrêter, il faut qu'il est mal, comme moi.

-Zac: arrête tu vas le tuer. Qu'est ce qu'il t'arrive.

J'arrête. Je ne lui répond pas et fonce à ma voiture, pour partir rapidement. Étant donné que mes parents sont à une heure de chez moi, je ne vais pas vite les voir. J'appelle mon père pour savoir où il est et me dit qu'il est à l'hôpital. Ça tombe bien c'est sur ma route. En arrivant la bas, je fonce vers mon père qui m'attend dehors, l'air......... Calme.

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