Je Ne T'en veux Pas

IX

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PDV KEN

Vibrer. Mon corps vibre. À peine arrivé dans ma chambre, il m'a plaqué contre la porte ne supportant plus d'attendre. J'étais face à lui. Il me fixait tout simplement en enlevant mes vêtements tout doucement. Le temps de nous faire apprécier ce moment et ce qui va suivre. Il commence ensuite par enlever son haut. Je le regarde avec gourmandise. Je me mord la lèvre. Putin il est trop beau. Je place mes mains sur son grand torse. Mon visage au creux de son cou, je le sens. Il sent bon, j'adore son odeur. Je les caresses sensuellement. Oh mon dieu. Il termine par m'enlever le dernier vêtement qu'il me reste. Agenouillé devant moi, il fait glisser ces douces mains de mes pieds à mes hanches pour finir par les poser sur mon entre jambe. Oh oui sa bouche, sa putin de bouche..... Uhm oui, se pose sur mon membre. Sa langue glisse parfaitement, il essaye de me mettre au fon de sa bouche. Aah......oui. J'ondule des hanches, j'essaye de suivre sa cadence.

-pourquoi.

Ah n'arrête pas.

-Z: pourquoi quoi.

-pourquoi est tu si doux. Je croyais que t'allais me sauter dessus. Brandon, lui ne fait pas attention à moi. Certe je jouis mais...... J'ai besoin de quelque chose d'autre...

-Z: chéri ne gâche pas ce moment. Tu sais je ne suis pas lui. Nous allons avoir notre première fois ensemble. Prend plaisir, prend tout de moi. Je te ferais sentir une sensation, que ton Corp n'a jamais subi, tes pores seront en explosion. Je te ferais grimper au septième ciel. Tu tombera raide dingue de moi. Avec ce que je vais te faire. Alors pour ce moment.... Il titille ma verge de sa langue experte.... Je te demande..... D'oublier. Abandonne toi à moi. Sois dur, bébé......et jou...

-oh....... Ouiiiii.......aaah......hum.. Oh puré..

Je ferme les yeux savourant cet instant. C'est mots m'on envoûté, m'on transportée, loin très loin. Ou non. Juste ici, près de lui et lui face à moi désormais, ce léchant ces  lips, contenant quelque de mes semances.

-tu est beau. Dit je en déboutonnant son pantalon noir qui moulait bien son superbe cul bombé. À toi, j'aimerais bien te faire une super fellations. Mais je te veux en moi. Je veux te sentir encore plus....dit je en mordant sa lèvre..... Plus..... Cette fois près de son oreille....plus profond de moi.... En chuchotant. S'il te plaît. Prend moi.

D'un seul coup je me retrouve face à la porte. Il enlève le reste de vêtements qu'il l'a. Je sens son torse dans mon dos. Je sais qu'il s'aperçoit quel effet il me fait. Des frissons, uhm.... Oui des frissons. Mon corps le ressens. Ils vont tout droit vers mon membre pour le relever. Ces mains viennent ensuite caresser mon torse, pour ensuite prendre mes tétons en doigts pour les titiller un peu. Il n'y a pas que ça que je sens. Il y a aussi son membre que je sens carrément bien.... Ah..... Entre mes fesses. Il avait le temps de préparer une capote, de la lui poser et de se lubrifier avec sa salive.

-Z: chéri. Laisse moi t'apprécier. Dès la première fois que je t'ai vue, j'ai commencé petit à petit a rêver que ce jour arrive et ce que je te fairai lorsque j'aurai assez les couilles pour te parler. Je te préviens, prépare toi.

Je crois que je le suis déjà. Je suis tellement excité, que tous mes muscles ce sont détendu. Mon corps sait qu'il va subir un genre de mauvais traitements. Enfin, vous voyez ce que je veux dire. Alors il l'accueil comme il ce doit. Hum..... Oui... Je sais qu'au début je vais avoir mal.... Mais.... J'inspire.... Ah... Je le sent doucement pénétrer en moi. Ah...

-ce ........n'est pas...... juste. Je n'ai pas......aaah..... encore vu ta grosseur.

-Z: t'inquiète bébé. J'espère pour toi que t'es endurant.

Enfin, je sent qu'il est entré jusqu'à la base de son sexe. Il attend quelques secondes, le temps que je m'habitue à sa pénétration. Ces va et vient commence tout doucement. Ah..... Putin ces......coups.... Prenne de la rigueur. J'entends nos respirations saccadées. Il avait raison. Le voyage ne fait que commencer. Il m'embrasse, me touche, il me fait reculer pour que je puisse me pencher sur la porte. Je la tien, tout en gémissant fort. Cette position devient inconfortable. Il se retire, me retourne pour être face à lui. Monte ma jambe sur sa hanche et s'enfonce à nouveau en moi. J'entoure mes bras sur sa nuque, pour me tenir, parce que sinon je vais flancher. Mon visage niché dans son cou pour sentir sa douce odeur.

-Z: Aah.... Est ce que
......... je t'ai déjà dit .........que tu me plaisais. Ton corps...... me plaît. Il me donne des coups sec en disant cela.

Et moi je subi cette orgasmique torture.

-je... Aah..... Ne sais.......oui continue........ plus. Je.... Je...... Vais....

Il se retire d'un coup sec alors que j'allais jouir. Il me tire sur le lit. Et il s'allonge. Quoi il veut que je le pénètre.

-Z: vient sur moi. Je veut que tu me chevauche.

A a a a Ha. Pardonné moi pour avoir osé pensé à ça. Mille excuses. Je m'installe donc, le faisant encore rentré en moi.

-aaah.... C'est... Trop bon. Oui..... Je rapide la cadence, me sentant prêt à venir. Zac...... Oh..... Ah.... Aaah..... Je jouis sur son torse.

Mais comme il n'est pas proche de la  jouissance. Il me retourne violemment, échangeant nos positions. Je souris, j'aime sa brutalité, mais pas trop. Il donne de rapide coups pour finir par atteindre lui aussi, sa jouissance. Zac se retire de moi. Nous reprenons petit à petit nos respirations saccadées.

- il est vrai que t'es endurant. Tu n'a pas encore fait l'amour à ta copine. Dit je en rigolant croyant avoir dit un truc marrant.

-Z: contrairement à toi je ne suis pas une salope.

Mon coeur rate un battement. Je disais ça pour rigoler, pas pour qu'il ce fâche après ce que l'on vient de faire. Je suis triste mais je ne veux pas le montrer. Je suis un homme non ? J'ai l'habitude d'entendre ça. À chaque fois que je fais l'amour avec quelqu'un. Je dit faire l'amour parce que, peut être il y a parmis ces coups d'un soir, l'homme de ma vie. Je veux juste être aimé. C'est trop demander. Les autres ne le vois pas de cette façon. Pour eux je fais ma pute. Aller tu pourras pleurnicher après. Sauf qu'il le voit.

-Z: oh... Pardon... Voyant que je suis dans mon mutisme il continue. Je ne voulais pas te blesser.

Reprenant contenance je rigole. Un rire faux.

-Oh non. Je crois qu'il est temps pour toi de t'en aller. Mes.... Mes parents m'attendent. Je... Je vais aller me préparer. Aller habille toi.

-Z: pourquoi réagit tu ainsi. Je te parle mal et toi tu rigole. Puis tu me chasse aussi. Qu'est ce que t'as.

Putin. Dépêche toi de partir. Je ne pourrais plus contenir mes larmes. Je le raccompagne à la porte.

-Aller file. Dit je dans une touche d'amusement.

Il n'a pas le temps de dire quoi que ce soit, que je ferme la porte. Je me laisse glisser le long de celle ci et pleure. Ça me fait mal. Pourquoi ? Je ne sais pas. Je suis comme ça c'est tout. Faible et sensible. Trop sensible.

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