chapitre 11

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Zacke et moi sommes assis dans le salon.

— dimanche je te présenterai  à mes parents.

— tu trouve pas que c'est rapide ? Je lui demande vu l'accélération des choses .

— je sais mais plus vide ont le fera ce mariage mieux se sera et puis c'est pas comme ci je te disais que le mariage était dans un mois.

— OK.

Il continu.

— je t'enverrai un message pour te donner mon adresse ou tu viendra me trouver.

— OK.

C'est la seul réponse qui sort de ma bouche puisque que je n'ai vraiment pas le choix et à voir la manière dont il parle j'ai l'impression qu'il a déjà tout préparer .

— et pour le repas avec tes parents comment je m'habille ?

— la seul chose que je peux de dire est d'être élégante.

— c'est à dire.....

— c'est à dire tu ne t'habille pas de façon vulgaire et aussi de manière désintéressée.

— OK, mais comment tu me donne ton adresse puisque je n'ai pas ton numéro ?

— regarde bien dans ton répertoire tu verra mon numéro.

Je fronce les sourcils, moi je n'ai son numéro et il me dit que son numéro se trouve dans mon téléphone, à moins que se soit de la magie.

Je prends mon téléphone ,entre dans mon répertoire et voir marquer monsieur Stevens.

Je le regarde surprise, comment il a reçu à mettre son numéro dans mon téléphone. Et à voir ma tête il sait déjà la question que je me pose..

— je l'ai enregistré la première fois que je suis venu chez toi, tu étais monté te changer et tu a laissé ta sacoche chose dans laquelle se trouvait ton téléphone.

— donc si je comprends bien tu t'ai permis de fouiller dans mes affaires ?

— en quelque sorte, mais c'est pas comme ci tu étais un agent de la C.I.A et que personne ne dois toucher tes affaires

— tu n'a aucun droit....

— faut que je parte à dimanche, il me coupe.

Je reste assise la bouche entre ouverte. Mais d'où il se permet de me couper lui, s'il y a une seule chose que je déteste c'est qu'on me coupe la parole parce que pour  moi c'est un signe d'impolitesse,et je n'aime pas qu'on peut manque de respect.

Il prends ses clés qu'il avait posé sur la table et sort. Même pas d'au revoir ou à bientôt.

Ses parents ne lui on pas appris la politesse.

Je me remémore tout ce qui c'est passé cette journée, ma balade et mon baiser avec Nathan, l'appel de la banque, mon mariage ou devrais je dire mon faux mariage avec zacke qui est un insolent qui se croit tout permis.

Et avec ma semaine chargée à cause de la préparation des compos je ne suis ni aller voir ma mère ni aller voir mon père et mon frère, faut que j'aille les voir parce qu'en une semaine ma vie à été plus que les montagnes russes.

J'éteins les lumière et monte me couché. Ma vie est une vrai merde.

Lendemain

Je me suis levé un peu plus tôt que d'habitude parce-que je dois non seulement faire les courses mais aussi rendre visite à mes parents.

Je décide de commencer par ma mère ensuite mes parents et sur le retour du chemin je ferais les courses.

Donc je décide de faire simple comme habillement un haut sans manches ,un jeans taille haute de couleur noir et des air force blanches.

Une fois prête je me dirige vers la station de bus écouteur dans les oreilles avec un sac à dos Adidas cuir noir.

Avant la naissance de mon frère mes parents rêvaient d'avoir un garçon et comme j'étais une fille mon père avait tendance à m'eduquer comme un garçon on allais ensemble à tout les match de football, de basketball, on s'habillait de la même manière et une fois il m'a même coupé les cheveux pour qu'il soit plus court, ma mère n'aimait pas la manière dont mon père se comportait avec moi. Même si elle rêvait d'avoir un petit garçon, elle n'était quant même pas déçu d'avoir une fille,parce qu'elle aimait bien m'habiller en Princess, me faire des nattes, me maquiller tout ce qu'une mère aimerait fait avec sa petite fille.

Donc j'étais partagé entre mon père lui qui me traitait comme un mec et ma mère qui me traitait tel que je suis. Mais plus les années sont passées plus je devenais féminine et avec la naissance de mon frère Théo mon père était plus qu'aux anges Théo et lui pouvaient passer toute une journée à regarder le foot avec une bière pour mon père et un soda pour mon frère.

Ma mère n'arrêtais pas de se plaindre parce que avant un fanatique du foot ça pouvais passé mais deux ça devenait plus difficile à supporter. Mon père avait transmis sa passion à Théo, moi j'aimais regardé le foot mais quelque rare fois.

Donc il avait deux clans les filles contre les garçons et ont étais différent en tout point.

Mais c'est maman qui avait toujours le dernier mot elle était la maîtresse de la maison. Et parfois elle disais qu'elle a eu trois gosses au lieu de deux parce que papa lui nous cédait et ne la soutenait pas dans les punitions qu'elle nous donnait.

Mais maintenant tout ça s'est terminé depuis la mort de mon père et mon frère, notre maison qui autre fois était animé par les cris de ma mère, les cris de joie de mon père et mon frère quand leur équipe favorite menait, mes cris de colère quand j'entrais dans ma chambre et voyais le désordre qu'avait mis Théo, nos éclats de rire quand papa racontait sa journée, quand maman faisait des lapsus tellement qu'elle était rouge de colère, tout ça c'est arrêté quand ses hommes ont mis fin à la vie des deux hommes de ma vie.

Je suis toujours dans mes pensées quand une voiture se gare en face de moi.

— salut poupée, il sort la tête de la voiture.
Un grand sourire me viens au lèvres. Je ne m'attendais du tout pas à le voir.

— besoins d'un chauffeur, lui aussi sort la tête .

Cette fois je sourire tellement que j'ai mal à la nuque ,je suis tellement contente de les voir que je suis sûr qu'il est dessiné un cœur dans mes yeux.

— qu'est ce que vous faites ici ? Je m'approche d'eux.

— je t'avais dire que je saurai ton chauffeur et bien moi je tiens toujours parole, commence Nathan.

—  moi je suis arrivé hier de Venise et je n'avais rien à faire donc j'ai décidé de venir avec Nathan, ajoute Tony.

— je suis trop contente de vous voir, je saute de joie.

— contente de me voir ou de voir Nathan ?

— bien sûr qu'elle est plus contente de me voir , déclare Nathan.

— soyez pas bête je suis contente de vous voir tout les deux, j'embrasse Nathan et ensuite Tony.

— tu vois elle m'a embrassé en premier ce qui veut dire qu'elle est encore plus contente de me voir, s'exprime Nathan.

— on dis toujours le meilleur pour la fin, donc elle est plus contente de me voir moi que toi , réplique Tony.

Ils se mettent à se disputer , se sont vraiment des gamins ceux là.

— alors vous me conduisez à mon rendez vous ou pas, je crie pour qu'ils m'entendent.

— calme tes hormones bébé, tu nous cris pas dessus sinon on te laisse là et on se casse, déclare Tony

— et si on la laissai ? Ajoute Nathan.

Quand je pense qu'il n'y a même pas deux minutes ils se disputaient pour moi maintenant ils veulent me laisser planter là 

— s'il vous plaît , je les supplie.

— on préfère ça,  dit Nathan.

— et qu'est ce que nous on gagne à t'accompagner ? demande Tony .

The Last ChanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant