Chapter four.

203 9 0
                                    

Chapter four.


« Croit pas, je t'aime pas. »
« Mais quoi c’est jolie un poney… »


_____________________


Nous étions sortit de l'établissement scolaire, Louis courait rapidement vers un bus qui venait de s'arrêter. Il était plein à craquer, et Louis veut qu'on rentre là deda...

« Putain mais grouille toi ! » Cria t-il. 

Je soupirai, et me mit à le rattraper, les gens rentraient et se serraient quoi d'mieux? Louis me prit le bras et me poussa violemment à l'intérieur puis me suivit.

« STOP ! On ne peut pas en prendre plus. » Cria le conducteur. 

Ouf, on a échappé belle, je dus me coller contre Louis pour que je ne gêne pas les portes du bus quand elles se referment. Lorsqu’elles firent fermer, je me détachai de lui embarrasser, et colla mon dos aux portes le plus loin possible de lui. Louis tenait d'une main une barre, et son autre main était derrière moi, contre la porte. 
Le conducteur démarra assez vite, beaucoup de personne on faillit tomber moi y comprit mais on me rattrapa.

« Je, hum merci. Bafouillai-je. 
- Déjà que c'est chiant de t'accompagner, je préfère ne pas m'éterniser donc vaux mieux pas que tu te blesses.
- Ah, euh, d'accord. 
- Croit pas, je t'aime pas. 
- Je n’ai jamais cru que tu m'aimais. Dis-je.
- C'était juste pour prévenir. 
- Ouais, d'accord. »

Le trajet fut dans le bruit et la ... Transpiration. Un vieil homme à côté de moi tient deux barrières en hauteur, j'ai une trèèèès belle vue sur ses aisselles. Je détournai ma tête horrifiée. 
« Monsieur, vous pouvez... Je ne sais pas moi, mettre du déo? » Dit Louis, dégoûté. 

Je pouffai de rire, ce qui m'amena les regards foudroyant de Louis, à croire que je n'ai même plus l'autorisation de rire, je ne suis pas un esclave olala. 

« Monsieur ? Je vous parle là ! Vous êtes sourd aussi? Demanda Louis. 
- Heiiiin? Dit le vieux 
- Fermez les bras. S'il vous plait. 
- Fermez les plaies? Demanda t-il d'une voix tremblante. 
- Ok...vas-y ta gueule. »

Le vieil homme tourna la tête ne cherchant pas à comprendre les paroles de Louis. 
..........BOUM
Me voilà la tête contre la vitre, comment ai-je fait? Faut dire que ne pas se tenir + un conducteur qui ne sait pas freiner en douceur. Ça donne la tête contre la vitre et une marque sur la joue ! Louis me regarda exaspéré, et sortit en me tirant avec lui, je marchai sur une plaque de verglas et mes jambes se mirent à bouger dans tout les sens mais je réussi à me stabiliser grâce à Louis...

« Que ferais-tu sans moi? »

TOUT ahahahah, nan sérieux ce serait la belle vie. 

« Pourquoi Harry et Liam ne m'embête plus? L'année dernière ils avaient monté un complot et m'avait jeté dans la benne à ordure. » Dis-je, du tac au tac. 

Pourquoi avais-je dit ça? Je vais me faire recaler en plus. 

« Ta gueule et regarde où tu mets les pieds. » Jura t-il.

Qu'est ce que j'avais dit ? Je regardais où je mis mes pieds car très maladroite que je suis je peux me marcher moi même sur le pied, ça m’ai déjà arri….BOUM. 
Ça fait super mal, je viens d'heurté quelque chose de super dur, je... Oh un poteau. Je viens de me prendre un poteau. Je le contournai appuyant mes doigts sur mon crâne de peur d'avoir une bosse. 
J'ai remarqué que j'avançais seule. Je me retournais et vit Louis mort de rire. 
Je me sentis humiliée, son rire me donna envie de rire, mais je restai de marbre.

« C'est de ta faute, tu m'as dit de regarder mes pieds. Criai-je pour qu’il m’entende.
- Non, mais c’est une façon de parler, je ne savais pas que tu allais vraiment le faire, Niall a raison tu es une esclave. » Rigola t-il.

Il trouve ça drôle en plus… Moi ça me blesse, mais vraiment.

« Je…je..
- Oh non, tu te remets à bégayer, tu ne sais pas parler ou quoi ? C’est quoi ce délire tout le temps t’es là à parler comme une vieille. » Me coupa t-il.

Il est toujours obligé de gâcher tout ? ....

« Je dois aller à la, la librairie.
- Tu sais où c’est ? Parce que je n’en ai aucune idée.
- Je croyais que tu savais…
- Oh, putain. »

Il tapa brutalement dans une poubelle qui se renversa sur une petite fille, je courrai vers elle qui s’était mis à pleurer et je l’enlaçai.

« Ça va ? Il n’a pas fait exprès, il est désolé. Dis-je.
- Quoi ? Euh, d’où t’as entendu que j’ai dis « je suis désolé ». Cracha t-il.
- Louis ! Criai-je.
- Quoi ? 
- Tu peux arrêter deux minutes de faire ton mauvais garçon et être toi-même ! » Criai-je agacé par son comportement.

Oh oh. J’ai signée mon arrêt de mort.

« Attend, t’as dit quoi là ? »

Il avança vers moi, alors que j’avais la petite dans mes petits bras, je l’aida à se relever et à enlever les déchets sur elle, puis elle partit en courant.

« Rien, j’ai rien dis. Dis-je apeuré.
-Prend moi pour un con.
- Je prends les gens pour ce qu’ils sont. Murmurai-je.
- T’as dit quoi ? »

Je mettais relever, et je regardai le sol pendant que Louis s’énervait sur moi. Il prit mes bras et me fit reculer jusqu’à la barrière d’un parc à trois mètres derrière moi. Il me plaqua violemment dessus. Une horrible douleur me vint au dos, une des barrières m’étaient rentrées dans la peau.

« Louis, arrête, j’ai… tu me fais mal.
- C’est le but.
- Mais ça va pas ou quoi ? T’ES UN PSYCOPATHE MA PAROLE ! »

Putain Haylay ferme ta gueuuuule… Pourquoi je parle quand il ne faut pas et je ne parle pas que il le faut ? Plus conne, tu meurs… 

« Je suis un quoi ?! S’énerva t-il.
- Un…..un poney.
- Un poney ? Haylay ne me prend pas pour un con.
- Mais quoi c’est jolie un poney… »

Il planta son regard dans le mien, tout en me tordant le bras, je soufrai tellement que mes larmes vinrent toutes seules. Elles coulaient, le bout de la barrière s’était encore plus enfoncé dans mon dos.
Il tordit mon bras encore plus, je crois qu’il veut me le cass…oh oh j’entendis un craquement, inquiète je stoppai mes larmes difficilement et essaya de bouger mon bras, je n’y arrivais pas, c’était impossible.

« Lou..Louis. 
- Je.. je.. oh merde.
- Oh merde ? C’est tout ce que tu trouves à dire ? Tu… tu m’as cassé le bras et mon dos me fait super mal !
- TA GUEULE C’EST DE TA FAUTE ! VAS-Y JE ME CASSE, TON LIVRE FOUT TOI DANS TON CUL, VA À L’HOSTO J’SAIS PAS MAIS DERMERDE TOI ! J’RENTRE A L’ECOLE ET SI TU DIS QUE JE T’AI CASSER LE BRAS, JE TE CASSE L’AUTRE BRAS. T’AS COMPRIS SALE CONNE ? MAINTENANT JOUE PAS AVEC MOI ET RESTE POLI ET GENTIL COMME TU L’ETAIS ET VA TE FAIRE FOUTRE. »

Il partit. J’essayai de le suivre du mieux que je pouvais, je sentais mon tissus coller à mon dos, de ma main valide je touchai mon dos, ça me fit super mal.
Je regardai le tissus de mon t-shirt qui était rouge alors que mon t-shirt est blanc, il faut que je rentre à tout prit au Lycée.

She's not afraidOù les histoires vivent. Découvrez maintenant