XI- Merlin

64 8 12
                                    

Le sourire d'Arthur, me rassure.

Je ne peux savoir ce qu'ils ce sont dit mais le regard d'Agravain ne m'avait pas mit en confiance.

Je dépose les affaires que je lui ramène sur son bureau.

« Tu es en retard Merlin »

- Oh excusez moi seigneuuuurie

Il me sourit encore, se lève de sonvbureau.Je le voit prendre les habits et les jetés sur le lit.

- mais....Savez-vous combien il est dur de plier vos chemises correctement ?

Ma voix fût peu trop sèche mais je détestait quand il faisait cela. Peu importe c'était fait. Qu'est ce qu'il peut m'enerver parfois.

« Tu soupires ?»
Un sourcil redressé, il me fixe. Je l'avais fait inconsciemment ce n'était pas voulu.
Pourquoi je panique déjà ?
Je soupire si je veux non ?

Il finit par perdre son sérieux et à rire, et instinctivement je décide de l'accompagner dans cet éclat de rire. Il est de bonne humeur.

Puis mon rire cessa quand je le vit se changer tout seul. J'était la debout à la fixer.

Je ne l'avais jamais regardé ainsi, non. c'est étrange, cette sensation de trouver l'autre mieux que ...que n'importe qui d'autre.

Son dos était bien dessiné, la faute de tous ses entrainement répété depuis des années, il avait une belle musculature c'est vrai. Je sentait mes joues chauffer.

Mais reprend toi Merlin, ce n'est qu'Arthur, tu l'as déjà vue sans aucune couche de vêtements.

Tu es son serviteur après tout.

Tu n'es qu'un-

« Merlin tu rêvasses ? »

Je lève subitemment les yeux vers lui,
Je lis sur son visage de l'incompréhension.
Il m'a vue rougir.
Oh non, dieu non.S'il vous plait, je lui tourne le dos.Vite.
Vite. Je dois trouver quelques chose à faire. La caraffe ! Je me dirige vers elle mais dans le precipitation la renverse.
Merde.

Je l'entend soupirais puis s'esclaffais comme à son habitude lorsque je fait une bêtise.

Il vient me tapoter le dos.

« Tu n'en rate pas une»

Cette journée va être longue.

Le livre des LégendesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant