Le Début du Bonheur

10(Mauve)

Je n'avais jamais vu ce genre de véhicule la sensation était pendant un instant inconfortable, puis  on s'y adaptait. Je me sentait vraiment mal il y a quelque instant et la  je me rend vraiment compte que je suis malade et que je pourrais mourir. J'ai aussi récemment compris qu'il me manquait deux " âme-soeurs d'amitié",en tout cas j'ai deux tatouages qui ne sont pas illuminés, rencontré des bandits et découvrir qu'ils soient liés à moi.
Isaak et Elvira était d'ailleurs à l'extrémité du carrosse gênés et embarrassés. Moi j'étais collé contre Eleuthérios profitant de ses bonnes ondes je me sentais légèrement fatiguée mais je pensais que ça pourrait allé et puis dans ce truc qui vole je ne faisait pas d'effort après un autre regard de la part de Zapheirios vers le couple, je soupira si fort que tout le monde m'entendit.

-C'est bon, ils avaient juste faim, ils ont pas commis un meurtre que je sache, alors ça suffit avec ses regards inquisiteurs Zaphéirios. M'exclamais je.

-On n'est sur de rien. Répliqua t-il de mauvaises fois.

-On a des principes, tout de même. S'offusqua Elvira.

-On n'a pas choisi d'être dans le besoin et de faire les choses qu'on a fait. Ok? S'énerva vraiment Isaak.

-Je comprend. M'excusais je.

Mais Zapheirios, par curiosité maladif ou par instincts de protection se sentit obliger d'approfondir.

-Comment ça? Demanda t-il.

Elvira soupira et se tourner vers son compagnon et celui ci se passa une main dans les cheveux, signe de stress. Mais, néanmoins se prépara à raconter les choses qu'ils ont vécu.

-Nous venions tous deux de famille aisée, cependant elles étaient ennemies pour des raisons dont je ne me souviens pas et dont personne ne se rappelle d'ailleurs. Mais la guerre étant déclenchée, chaquf famille continua a haïr l'autre, enfin bref j'avais passé les 16ans et un jour je croisa Elvira, le plus beau jour de ma vie peu m'importait le sang qui lui avait été transmis et encore moins son nom. Je voulais vivre l'amour avec elle. Mais nos parents, n'approuvaient pas et nous ont mis à la rue et parce que je ne supportais pas de voir la faim creuser les joues de ma princesse je me suis mis à volé,  puis c'est devenu un train de vie pendant deux ans. Et quand on a réussi à nous rétablir dans une vie honnête on m'a viré sous l'ordre de mon père, donc sans raison apparente puis ma femme a suivie, nous étions tous les deux sans emplois, donc tout repris pendant six ans nous obligeant à vendre tout nos biens jusqu'au dernier. Mais on c'est toujours limité au vol de  nourriture et bien plus tard l'argent et les vêtements. Jamais de choses vraiment horribles même si nous étions des bandits. Acheva t-il son récit les mains un peu tremblantes.

Eleuthérios lui serra la main avec respect . Montrant ainsi qu'il approuvait son choix.

-J'arrangerais cette situation à mon retour. J'aurais réagis exactement pareil si ça avait été le cas de Mauve. Dit il.

Un sourire s'étira sur leurs deux visages. Et donc par ailleurs sur le mien, c'était un lien vraiment étrange j'avais l'impression de vivre à travers chacun d'eux. Et je ne comprenais pas encore l'utilité de toutes ses affiliations.

2 semaines plus tard

Nous avions déjà traversé la moitié de la distance et ils ne nous manquaient que quelques kilomètres pour arriver à Berne, j'en  apprenais plus de jour en jour sur ce temple et si je comprend bien personne n'en est jamais ressortti. Génial! J'ai trop envie d'y aller maintenant. De toute façon c'est soit je meurs ou soit je ne ressort jamais de ce temple. Bref c'est pareil alors autant essayer de survivre. Il faut passer des épreuves puis demander un souhait. Mais comment les gens le savent t-ils si personne n'est jamais ressorti. Nous venions de franchir le désert de Zeldona le seul et l'unique un dans lequel les brigands et les animaux en tout genre attaquaient les pauvres fous qui eurent jamais l'audace de le traverser à pieds. Soudain les bourrasque de vent se mélangèrent aux sables créant des tornades de sables, et réveillant au passage tout mes camarades. Eleuthérios frappait la vitre du piloteur.

-Qu'est ce qui se passe? Demanda t-il inquiet.

-Je ne peux pas avancer c'est demi tour ou vous sauter. Le conducteur repondit il sérieux.

-On saute. Affirma fermement Eleutherios avant de tourner pour regard vers les autres.

-Vous êtes libres  de faire ce que vous voulez cela n'aura aucune conséquences. Sa voix était tranchantes mais je sentais sa peur, la peur de me perdre.

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Top ou pas top?

Allez enfin je publie un chapitre. Flou il était temps.

Sticia. UNIQUE ET FIÈRE DE L'ÊTRE.