- Pourquoi devions nous en arriver là ?

8ème partie : « . . . et maintenant que nous reste-t-il ?»

Hey, salut les gens, bon enfin voilà le 1er chapitre du début de la fin du secret pour Damien.

Mais aussi le commencement de sa belle descente aux enfers. En ce moment j'ai plein d'idées pour cette fic mais aussi pour pleins d'autres. Cependant j'ai du mal à trouver le temps de toutes les préparer ou de les continuer pour pouvoir les publier. Mais je vais essayer d'en tenir deux quand même en alternées. En tout cas je suis toujours super contente que vous aimiez toujours bien cette fic et merci encore. Sur cela je vous laisse à votre lecture et gros câlin. (S'il y a des erreurs dans cette note c'est normal je l'écris avec le live en 2ème fenêtre, ouais pas malin mais bon quand on est accro qu'est ce que l'on y peut. Christine mais où es tu ?)

Ps : Parce que je n'arrive pas à le garder pour moi, putain qu'il était génial le live de Laink hier ! J'ai toujours cette impression qu'il est très humble et respectueux d'autrui. Ah je l'adore ce mec.

(La musique : Simple plan, untitled)

Bien à vous !   XD

« Découper ma vie en morceaux, ceci est mon dernier recours. Ne t'en fais pas si je coupe mon bras ensanglanté. Est-ce que ça te ferait quelque chose si je mourais en saignant ?
Serait-ce faux, serait-ce vrai ? Et si je prenais ma vie ce soir. Y-a-t-il des chances pour que je le fasse ? Les mutilations deviennent inutiles, alors j'envisage le suicide. Parce que je perds la vue, je perds l'esprit. J'aimerais que quelqu'un me dise que je vais bien Rien ne va plus, rien n'est bon. Je cours et je pleure. Alors j'envisage le suicide. »

12h35 : Tours, immeuble de Damien :

Maxime venait tout juste d'arriver en face de l'immeuble de son ami. Une sorte de tension le prit soudain. La peur au ventre il marchait d'un pas précipité jusqu'à la porte. Après ce que Thomas lui avait dit il en était venu à être pris de doute quant à l'état présumé stable de Damien. En arrivant devant l'entrée de la bâtisse, Maxime ressentit un léger pressentiment. Depuis quand il n'avait parlé ou vu Damien. Depuis cette nuit, depuis ce vendredi. Pouvait-il vraiment juger de l'état de son ami sans avoir plus d'information de celui-ci au préalable. « Damien que t'arrive-t-il. Tu nous fais peur. Tu as effrayé Thomas, ton meilleur ami, POURQUOI ? » Et après, qu'allait-il voir en entrant dans cet appartement, un Damien dépressif ou enjoué. Allait-il sincèrement lui réponde qu'il allait mal. S'il s'est tut jusqu'ici, si cette fille nous avait averti pour lui pourquoi parlerait-il maintenant. Qu'est ce qui l'empêchera de me mentir.

« Thomas je t'en prie dépêche-toi d'arriver. S'il avait quoique ce soit, pourrais-je vraiment faire face. »

Maxime mit la main sur la poignée et la poussa. La porte émit une résistance et ne bougea pas, restant close.

« QUOI ? Merde le code d'accès ! » Comment avait-il pu oublier une chose pareille ? Avec la précipitation et le stress engendrait par la situation il avait oublié de demander le code d'entrée à Thomas.

Son premier réflexe fut d'appuyer sur la sonnette de l'intercom de Damien. Il attendu 1, 2, 3 minutes, rien. Il rappuya une seconde fois, 1, 2, 3 puis 5 minutes s'écoulèrent, l'intercom sonnait dans le vide. Maxime fut étonné et vint à se demander si Damien était chez lui. « Peut-être est-il parti faire quelques courses ou voir un ami ? Il composa son numéro pour avoir confirmation. Celui-ci sonna, longtemps, puis tomba sur la messagerie. Cela était plus étonnant encore et renforça le sentiment d'angoisse de Maxime. Damien n'était le genre de personne à laisser sonner son portable ou même à l'éteindre. Il était constamment dessus et ne loupait aucun appel. Pour dire il le laissait allumer sur sa table de nuit le soir malgré le fait qu'il sache que cela soit nocif. Il lui laissa le bénéfice du doute avant de paniquer autant que Thomas. Il le rappela une deuxième fois, 1 sonnerie, 2 puis 3. . . silence, bip, messagerie. Il ressaya avec une nouvelle pointe d'anxiété et retomba sur la messagerie.