Quileute

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La voiture s'arrête devant un feu de camp et plein de garçons de toutes âge nous attends torse nu. La noirceur de la nuit toujours bien présente. Je sent l'anxiété monter en moi, il fais assez froid et eux ce baladent dans la nuit gelée. Mon père arrête la voiture et mon estomac ce serre au point que des que j'ouvre la porte je me met directement à vomir si durement quand je sent les mains de mon père sur mes cheveux les tenir sur la tête. Un de mes gros problèmes je ne sais pas gérée mes émotions, alors que mon repas part d'un coup je remarque que mon père est pieds nu. Je sursaute et recule jusqu'à être recroquevillée dans l'habitacle qu'est la voiture de fonction de papa. Je lève la tête pour voir un garçon au regard dur, de beaux cheveux noirs lisse et qui va jusqu'à sa nuque.

-Excusez-m....... sniff

Les pleurs ont pris place sur mon visage qui étais heureux y a même pas 5 secondes.

-Hé t'excuse pas petite, tu es sûrement stressée de quitter ta famille pour revenir ici aussi violemment.

J'observe l'homme au long cheveux noirs aux quelques meches blanches avec son sourire chaleureux en fauteuil qui vient de prendre la parole c'est le seul qui est assez convenablement habillé. Il est maintenant assez tard et je remarque que j'ai vomi sur son pantalon noir pauvre de lui. J'essuie les larmes sur mes joues avant de serrer mes mains contre moi, j'entends la portière s'ouvrir et j'observe mon père descendre.

-Akilina tu descends ?

Je souffle la peur serrant mon estomac maintenant vide et des que je pose les pieds parterre je sent cette bonne odeur de viande qui grille au feu. J'inspire et sourit doucement avant de marcher, Un grondement sort tout droit de mon estomac, causant des regards supris à toutes les personnes autour de moi... La première personne à casser ce silence si gêné n'est autre que mon père en lâchant un petit rire. Suivit par cette meute devant nous, leurs auras me donne un mauvais pressentiment celui qui me fait remonter la bile, mais cette fois ci hors de question de craquer maintenant. Merde a la fin je suis une russe si elle me voyait, elle aurait très honte de son enfant. Je dois me ressaisir. Doucement je prends mon courage à deux mains et inspire l'air frais de la nuit.

-Je me nomme Akilina Swan et le bruit qui vous a faits rire n'est rien d'autre que mon estomac à cause de la bonne odeur. Et au cas où non je ne suis pas végétarienne comme ma grande soeur et heureuse de vous rencontrez. Je ne sais pas quoi dire de plus... Euh....

Je fus couper par un brun aux cheveux long son visage qui venait tout juste de toucher l'âge adulte, son regard avait des genres de braises douces le souhait de se brûler les ailes étais déjà fait. Sa peau mate souligner de tatouage ancien, rendu magnifique par des muscles bombé, un sourire digne des pub de dentifrice. Si je pouvais tomber amoureuse ce serait de lui et de son slim noir, moi qui croyais que ce n'allais qu'au fille. Mais cela ajouter quelques choses de sexy et masculin.

-Il n'y as pas de quoi à avoir peur. Nous savons qui tu es. Ton père voulais que tu sache que si ça ne va pas à ton école nous serons là quoi qu'il arrive et que si tu ne trouve pas ta place on sera la. Nous savons que d'habitude tu prenais des cours par correspondance. Mais à Forks tu ne pourrais pas les prendre.

Je lève les yeux au ciel en haussant les épaules.

-Merci, mais mon père aurait du savoir que je prenais ses cours la car je suis habituellement comme on aime tant le dire une surdouée, mais les écoles pour mon cas coûte un peu cher et j'ai décider pour mon diplôme de fin d'années de le passer en cursus scolaire normal pour être tranquille mais bon merci quand même. Et je n'ai pas besoin d'aide ou ni même de pitié. Je n'ai jamais eu d'amis et c'est très bien comme ça.

Silence gênant, deuxième prise. Mon père me regardais un peu sous le choque. Je lui lançais un sourire désolé en haussant légèrement les sourcils. Un rire gêné faussant du grand brun à la crinière courte vint avant de me regarder.

-En voilà une surprise bien drôle. N'en veux pas à ton père il as encore du mal, je peux te dire que pour notre famille, il as été autant un frère, un père. Il a un peu de mal. Bref moi je me nomme Sam.

J'avais cette impression d'être au centre de l'intention mais bref toute cette nuit ne c'était résumé qu'au présentation.

AmertumeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant