Chapitre 16

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Nous nous étions tous occupé de vider nos assiettes, une fois le dîner terminé. Nous avions commandé du chinois, de l'italien, du libanais et du mexicain.... De quoi faire plaisir à tout le monde. À la base, Zayn avait proposé de préparer une lasagne maison et des pâtes mais maintenant, je crois qu'on ne peut qu'en rêvait.... En fait, on est dans une chambre d'hôtel, voir une suite, car ça aurait était assez dur de rester dans la maison des gars avec une cuisine repeinte en noir. Pourquoi ? Disons seulement que, durant sa longue et incroyable vie, notez le sarcasme, Louis n'a jamais appris qu'il y a des plats qui ne peuvent pas être chauffés au micro-ondes. Pour faire simple, la cuisson des lasagnes était trop longue à son goût, donc il a réchauffé un des restes de la veille. Sauf que malheureusement, il a fait exploser le micro-ondes! Au moins, la cuisine était à l'étage, donc personne n'est mort ou blessé. Du moins, pour l'instant.

Je dis ça parce que, en ce moment même, Danielle, Perrie, Eleanor, Zayn, Harry et moi, étions en train de concocter un plan aussi diabolique que Satan, aussi méchant que le joker, aussi machiavélique que la belle-mère de blanche-neige et qui est... De le réveiller avec une des chaussettes de mon frère qui, pour préciser, sans tout sauf au parfum de lilas, si vous voyez ce que je veux dire. C'était l'idée d'Eleanor même si c'était pour elle le plat qui a rendu l'âme si brutalement. Alors qu'on en parlait, je me tortillais sur place, incapable de rester en place à cause de l'image de Louis, se réveillant par l'odeur si douce et si rayonnante des pieds puants de Niall.

"Charlotte, on est pas chez nous mais juste pour te dire qu'il y a des toilettes à 10 mètres de toi ?" Me dit zayn, un air sérieux sur le visage.

A l'entente de cette phrase, je tourna la tête vers Harry qui me regardait en retour avant d'exploser de rire, laissant tout le monde perplexe. Un rire assez extrême si je peux me permettre. Nous étions l'un à côté de l'autre, se serrant dans les bras de l'autre et riant comme des fous. Lui, il pleurait, et pas qu'un peu. Il avait même un mouchoir dans chacune de ses mains. Ce rire, nos rires créent un son si parfait, le seul qu'on entendait dans la pièce. Soudainement, les autres à force de nous voir rire sûrement, éclatèrent de rire aussi. Est-ce que j'ai dis qu'on était au toilettes, par terre, là où il y a de l'écho. C'était tellement bizarre de voir tout le monde entassés essayer d'expliquer la raison de cette hystérie à Liam qui venait d'entrer dans la pièce. Tout le monde s'était calmés pour lui parler sauf que ce que nous disions était tellement stupide, qu'il avait une expression au visage qui nous fit rire encore plus fort. Il finit par sortir et on l'entendais dire aux autres "je crois que la fumé leur a endommagé le cerveau, gravement ou qu'il se sent drogué avec de la marijuana"

Après une dizaines de minutes, la pièce était de nouveau calme. On entendait la respiration saccadée de tout le monde essayant de ne pas replonger dans l'euphorie. On sortit des toilettes et on rejoignit les autres au salon. Un silence inconfortable s'était installé mais il fut bien vite brisée par Paul, qui était venu s'assurer que nous allions bien.

"Dites moi que vous vous droguez pas ?"

"Nahh, pas besoin de ça de toute façon, c'est dans le sang très cher." lui avait répondu Danielle.

"En plus, c'est eux qui ont ri en premier, nous on a juste succombé à la tentation" dit Eleanor pour sa défense en me pointant, moi et Harry.

"Ok, je veux savoir?" Me dit-il, un regard effrayé sur le visage.

"Non, vaut mieux pas"

Je jeta un coup d'œil à Harry et je le vis sourire de toute ses dents, en signe d'accord avec ma phrase. Paul quitta ensuite la pièce et un silence apaisant retomba sur la pièce. Tout le monde se regardait, voulant posé la question que Niall avait fini par prononcé.

"Est-ce que vous avez couchés ensemble ?" . Il avait l'air, comment dire, d'une personne qui va tuer l'homme qui a osé toucher sa sœur, si c'est vraiment une expression faciale.

"Quoi? Non! De quoi tu parles Niall? T'es bien seul à penser ça, comment tu peux même y penser?" M'exclamais-je. Je ne pu m'empêcher cependant de rougir à l'idée... Je voyais bien que Harry aussi devenait de plus en plus mal à l'aise, quoiqu'il est entrain de sourire...

"C'est que en fait,... C'est vrai que vous êtes bizarres aujourd'hui. Plus que d'habitude je veux dire."

"Eleanor, vraiment? T'ose douter de moi alors que toute la maison t'a entendu hier soir! Toi et ton orgasme."

C'est le meilleur moyen de changer de sujet puisque dorénavant, tout le monde était occupé à la taquiner. Je sortit de la pièce discrètement, un petit rire sur le coin des lèvres.

En fait, la phrase qu'avait prononcée Zayn était la même que c'elle que m'avait dit Anne, lorsque nous étions parti lui rendre visite pour lui annoncer ma grossesse. La mère d'Harry s'inquiétait à cause des grimaces que j'essayaient de déformer en sourire. Je me souviens de la réponse de Harry qui avait oublié qu'elle n'était pas encore au courant "c'est juste le bébé qui donne des coups sûrement". Le visage d'Anne quand elle avait compris ce dont il parlait était quelque chose qui allait rester longtemps dans ma mémoire.

En arrivant au salon, je regardant ma montre pour me rendre compte qu'il était bientôt 23h et que April était encore debout. Je la pris dans mes bras et monta la coucher en lui chantant sa chanson préféré. Je me changea et me laissa emporter par le marchand de sable, le visage souriant de Harry en tête.

Le lendemain, je me leva plus to que les autres et ont profita pour appeler Charlie, une des personnes qui m'ont aidées à poursuivre mes études de droit. Grâce à eux, j'ai un emploi dans l'un des plus importants cabinets de droit du monde. Même si c'est un métier "d'homme", je me suis très vite fait une place suite à une affaire de tueur en série n'ayant laissé que très peu d'indices et c'est ce qui rendit l'affaire si dure.

Après quelques sonneries, j'entendis la voix de Charlie me crier dans les oreilles. On parla surtout boulot et il m'expliqua qu'une affaire m'attend sur mon bureau. Apparemment, un double homicide très violent. Après une trentaine de minutes, il raccrocha car il devait aller en cour. Son appel me rappela que ma vie est à Seattle et non pas à Boston, la ville où loge les garçons pour le début de leur vacances. Aussi, il me rappela que dans deux semaines un avion allait me ramenait à ma vie. Non pas que je veuille rester mais il faut s'avouer que les évènements de cette semaine ont fait raviver mes sentiments pour Harry.

J'espère juste que le quitter ne sera pas aussi dût que la première fois.

L'école est fini (enfin -.-) donc je vais poster plus souvent. j'espère que vous allez lire, voter et commenter. merci :)

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⏰ Dernière mise à jour : Jun 29, 2014 ⏰

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