Chapitre 8: princesse

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Paul:

Une fois nous sommes arrivés chez mon père, sofia descend de la berline avec grâce. Et j'imagine comment ce fils de pute a pu être violent avec cette créature aussi douce que le jasmin.

C'est décidé; je vais le tuer... mais à ma façon au moins le buter. Ok paul concentre toi sur ta prune et oubli cette pourriture.

Nous retrouvons mon père devant la porte, il ne m'a pas remarqué vu que la princesse est là. Il l'accueille avec un large sourire, on dirait qu'elle représente tout pour lui. Ma nounou et aussi la gouvernante de notre demeure, Sylvia, se tient à côté de lui avec le même éclat de ce dernier, vraiment ma prune c'est notre univers.

-viens ma chérie, tout le monde t'attends.

Elle ne me réponds, mais elle me tient la main, comme si je suis son gillet de sauvetage. Une fois ses frêles doigts effleurent ma paume de ma main je frissonne, putain elle me fait de l'effet. Elle me sourit. Bordel, elle sait qu'elle me fait de l'effet.

- bienvenue jeune fille. Je m'appelle Sylvia, j'étais ta nounou.

Elle me regarde avec ses yeux caméléon qui vont me rendre dingue un jour, comme si pour prendre la permission de la saluer.

-bonjour, sylvia, je suis désolée je ne me rappelle pas de vous mais je suis ravie que vous soyez ma nounou, vous avez l'air aimable.

Sofie tend la main à sylvia que cette dernière ne fait pas attention et qu'elle la prend dans ses bras comme d'habitude. Sofie semble tendue, mais Sylvia lui chuchote à l'oreille en lui massant le dos, les muscle de sofie sont détendus à présent et  large Smiley se dessine sur ses lèvres qui reflète sa béatitude.

- entre chère, sylvia t'a préparé un festin.

Elle se précipite sur les bras de mon père et lui donne une bise sur sa joue, il est plus que heureux, il lui tend son bras, elle le prend volontiers, bras dessous bras dessus comme ça qu'ils rentrent à la maison.

Une fois installés à la salle à manger, nous somme épatés par le travail de sylvia, comme a dit mon père un vrai festin.

-nous sommes tous réunis pour ton retour ma chère, c'est une joie pour nous d'être parmi nous, tu nous as manqué. Je suis désolé pour l'accident.

Non sérieux mec tu veux lui couper l'appétit. Je plisse mes yeux pour voir la réaction de sofie. Elle se penche vers son oncle et lui tapote la main en lui disant.

-merci... je suis désolée aussi je sais que c'est difficile pour toi aussi, oncle lordy, mais maintenant j'ai vraiment la dalle je peux vous manger en un clin d'oeil, d'après la nourriture pourrie d'hosti j'en peux plus.

Tout le monde reste choqué, sylvia, mon père et moi, nous nous lançons des regards et là une bombe atomique de rires.

- quoi? Je dis la vérité ça fait six ans sans pizza, hamburger, pâte pesto, couscous, oui j'ai la dalle.
-sofie, chère, un peu de manière.

Elle s'excuse, elle se penche à sa droite pour me glisser une remarque.

-comme je vois ton père est chiant à mourir, il a un ballet dans le cul.
-tu me vexe, c'est mon père.

J'attrape mon coeur et fais mine d'être   vexé. Je vois à travers ses yeux qu'elle se maudit à l'intérieur, elle est innocente, elle est craquante. Vite je reprends.

-je plaisante, il se prends pour un lord peut être parce que c'est vrai, c'est un lord.

Elle glousse de plus belle, elle se sert quatre assiettes de pâte à la sauce pesto, un éclair au chocolat non trois. Putain, elle est une dalleuse de première.

-paul, je suis fatiguée, montre moi ma chambre.
-viens princesse. Je la porte dans mes bras en princesse.
-je vais vite m'habituer à ta tendresse et j'en profiterai.
-avec plaisir, sauf qu'avec ton rythme quatre pesto et 3 éclairs ça sera difficile.

Je la vois rougir et se tendre puis pince ses lèvres pulpeuses. Je veux l'embrasser plus que tout.

Je la pose sur son lit king size, mon père a eu l'idée de copier son ancienne chambre et c'est réussi. Elle glisse sur sa couverture. Elle ferme ses paupières.

Je caresse ses cheveux et je l'embrasse au sommet de son crâne. Puis je lui chuchote.

-tu ne grossiras jamais, tu étais toujours dalleuse et j'aime ton appétit, tu seras toujours ma princesse prune je te porterai toujours.

Je sens sa respiration est régulière signe qu'elle dort de plus belle je l'embrasse une dernière fois et je ferme la porte derrière moi.

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Je suis désolée mes cornichons, je sais que je suis pénible et que vous attendez trop et que vous êtes impatients je vous comprends mais je prépare pour mes examens, c'est ma dernière année en finance. Souhaitez bonne chance, j'espère que vous aimez ce chapitre.

Je vous love mes cornichons💓💓💓💓

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⏰ Dernière mise à jour : May 16, 2017 ⏰

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