*** 3: Ne pleurez pas ce pauvre humain Votre Altesse. Il n'en vaut pas la peine
Sakura : (en larme) Pas la peine ? De quel droit osez-vous ?
*** 3 : Voyons Majesté, ce n'était qu'un pauvre Gueux.
Sakura : Je vais d'estrillé si tu continues d'insulté mon âme sœur.
L'homme se tu un instant avant de reprendre.
*** 3 : Vous devez venir avec moi.
Sasori : Ma sœur n'ira nulle part avec vous.
Mebuki : (voyant l'homme) Danzô Shimura. Que nous vaut t'as venu ?
Danzô : Je suis venu chercher Son Altesse.
Mebuki : Ma fille ne te suivra pas, et moi non plus.
Danzô : Alors elle verra son âme sœur mourir à chaque fois.
Je jette un regard meurtrier à Danzô qui recule d'un pas. Je souris satisfaite et regarde ma mère. Elle bout de rage mais se contient.
Sakura : (à Danzô) Si je vous suis, vous jurez de ne plus tuer mon âme sœur ?
Danzô : Je le jure.
Sakura : (à Mebuki) Je suis désolé mère, mais (montrant le jeune homme dans ses bras) il en va de sa vie (à Danzô) Par contre, si il meurt d'une façon non naturelle, je vous tiendrais pour seul responsable.
Mère se tourne alors vers père qui acquiesce d'un léger signe de tête.
Mebuki : D'accord Sakura, seulement, nous t'accompagnons, tous.
Je leur souris et repose mon regard sur l'homme de ma vie. Je sais que je le reverrais mais savoir que je n'ai rien pu faire pour le sauver me fend le cœur. J'hurle alors de douleur en serrant le corps sans vie du jeune homme. Je pleure pendant se qu'il me semble des heures seulement, Sasori me prend dans ses bras et m'éloigne de lui. Je m'accroche à mon frère comme à une bouée de sauvetage. Ino, qui était partie chercher nos familles vient se greffer au câlin, tout comme Deidara.
Quand je reprends mes esprits, je me trouve dans une chambre qui n'est pas la mienne. Ino, qui attendais surement mon réveil me tendis un verre en cristal remplis de sang. Je bois, plus pour ma survis que par soif. Une fois mon verre terminé, Ino me prend dans ses bras et me berce en s'excusant.
Sakura : Mais de quoi t'excuses tu ?
Ino : De ne pas avoir été avec toi, de t'avoir écouté et être partie.
Sakura : Tu n'as pas à t'excuser et crois moi, c'était préférable que tu ne sois pas resté. J'ai failli le tuer tu sais. Quand son ami à remarqué du sang sur son poignet, je me suis jeter sur lui. Quand j'ai su qui j'allais tuer, je me suis précipitée sur le cerf pour ne pas les tuer.
Ino : Tu es forte Sakura, moi je n'en aurai pas eu la force. Au fait, ta mère veut te voir.
Sakura : Allons-y.
Je suis en pleine réunion et je m'ennuie ferme. Voilà deux siècles que je gouverne les vampires et jamais une réunion ne m'a paru aussi ennuyeuse et longue. Danzô continue son monologue dont j'ai oublié le sujet. De toute façon, je ne l'écoute plus. Je comprends maintenant pourquoi Mère a fuis. Je jette un coup d'œil dehors et vois mon âme sœur, humaine, s'occuper des rosiers. Je souris tendrement en le voyant s'occuper avec autant d'amour de mes fleurs préférés. Il ne sait pas que c'est moi qui est appuyé sa candidature. Personne n'était d'accord mais on ne refuse rien à la ''Reine''. Il a donc été embauché et je peux vous assurer que tout le monde est plus que satisfait du travail fournis par mon humain.
Danzô : Et donc il faut déclarer
Sakura : (le voyant mourir) NON ! (se tourne vers Danzô) TOI ! Tu avais promis ! Tu m'avais donné ta parole !
Danzô : (surpris) De quoi parler vous votre Altesse.
Sakura : (en colère) Ton homme de main : Sai. Il vient de le tuer ! Le tuer ! Je vais te tuer !
Je me lève et m'approche doucement de Danzô, tel un félin qui s'approche de sa proie. J'attrape Danzô par le col et le jette contre le mur. Il tombe à genoux sous la force du coup.
*** : (stresser) Votre Altesse.
Sakura : (glaciale) Va, je te rejoins. Kakashi !
Kakashi : Majesté ?
Sakura : (glaciale) Surveille Danzô. Et ne laisse personne sortir de cette pièce. Kushina, Minato, avec moi.
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La Rose de Versailles
Fiksi PenggemarAnko: Parfait. Acceptez-vous ? Akatsuki: oui Sasori: En quoi consiste le projet vous deux ? Sakura: (en français) Je vous laisse deviner Monsieur le Compte Haruno Deidara et Sasori: La rose de Versailles ? Nous quittons la salle de clas...