III.PDV Emmanuel Macron

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- Monsieur le President, vous êtes en retard pour aller à l'usine dans la Creuse.

- Oui, je sais. Je me dépêche

Mon directeur de Cabinet appela une voiture pour m'emmener.
La voiture arriva et se stationna près de l'escalier. Un de mes gardes du corps ouvra la porte.
Je rentre dans la voiture. Et celle-ci redémarre.

- Jean, peux-tu mettre la radio stp?
- Oui Monsieur le President
- Merci Jean.
- Monsieur le President. Il y a énormément de bouchons sur l'autoroute. Vous voulez qu'on appelle une escorte ?
- Euh... Non. Ca va aller. Est-ce que c'est possible d'y aller par le train ou par avion ?
- Je crois monsieur. Mais la voiture est plus sécurisée.
- Je préfère le train. Au moins, je vais rencontrer les français pour augmenter ma popularité surtout qu'elle n'est pas très bonne.

- Je comprends monsieur. Je vais appeler la base pour leur dire.

En attendant l'arrivée près de la gare, je me mis à faire des sudokus. J'ai toujours du mal à savoir comment on dit ce mot. Est-ce qu'on prononce Ku ou Kou à la fin?
Peut-être que je devrais demander au président Japonais!

On y arriva. Mon garde du corps sorti de la voiture et ouvra ma porte après avoir vérifier les personnes aux alentours.

Je suivis mon garde du corps.

Puis... Je vis mes deux gardes du corps tombaient sous les balles. Je sentis une douleur me traverser. J'avais reçu une balle, mais rien d'important. Je cours me réfugier le plus loin possible, derrière un poteau. Deux hommes armés avaient tiré sur mes gardes du corps. Je crois qu'ils avaient des AK-47. Puis, j'entendis de nouveau tirs. Ce n'étaient pas les mêmes armes. Ça ressemblaient aux FAMAS (Armes des militaires français).
Je déplace ma tête pour voir ce qui se passait. Et là, je vois une femme militaire tirer sur les deux terroristes.
Les deux terroristes succombèrent. J'étais vraiment soulagé.
Les militaires surveillèrent et examinèrent les blessés les plus proches. Je vis la militaire dire à ses camardes avec un signe de la tête que mes deux gardes du corps sont décédés de leurs blessures. C'est à ce moment-là qu'elle me vit.

- Sergents, Adjudant! Le ..President. Hurla-t'elle en me pointant du doigt.

Les militaires se levèrent et courent vers moi.
La jeune femme me demanda si ça allait.

- Euh... Pas vraiment ! Dis-je en respirant difficilement et en lui montrant ma blessure.

- Merde! Ça a l'air d'être assez grave. Je vais appeler le SAMU. Ainsi que les gendarmes.

- Merci.
- Ne parlez pas trop. Gardez votre énergie pour rester en vie.

La jeune femme se mis à l'écart pour appeler le SAMU. Les autres militaires me demandèrent de me mettre sur le dos et essayèrent d'arrêter l'hémorragie, en appuyant sur la blessure.

Les Pompiers et le SAMU arrivèrent 7 min après. J'aurais jamais cru qu'ils étaient aussi rapide.
Les pompiers font leur examens complet et remarque que j'ai une déficience au niveau d'un poumon. Ils se disent que la balle a peut-être pu perforer mon poumon droit. J'espère que ce n'est pas vrai et que ce n'est rien de grave.
Ils me mirent sur le brancard et me transportèrent jusqu'à l'ambulance. La jeune militaire dit à ces soldats, à ce même moment qu'elle restera avec moi.

Coup de foudre: MacronOù les histoires vivent. Découvrez maintenant