Coup de foudre: Macron

PDV Macron

Ça fait un mois que Marion m'a dit qu'elle était enceinte. J'étais vraiment aux anges depuis ce jour-là.
Je m'inquiétais toujours lorsqu'elle avait mal quelque part ou lorsqu'elle est tombée une fois dans les escaliers. Elle est assez maladroite.
Ça fait aussi quelques semaines que j'ai dit à mes compatriotes que j'étais en couple. Les français l'ont très bien accueillis d'après ce que j'ai vu she les réseaux sociaux. Mais je ne leur ai pas encore dit qu'elle était enceinte. Je voulais attendre un peu.

Il est 5 h du matin.
Mon nouveau directeur de cabinet, Killian Jordan, le dit que je dois aller visiter le CEA de Grenoble.
Je décide de prendre la voiture pour y aller. Mon chauffeur conduit assez bien. Nous arrivons vers midi à Grenoble. On a eu énormément de bouchons sur les routes. On n'a pas utilisé d'escorte pour ne pas éveillé les soupçons. On s'arrêta vers l'arrêt de Tram Saint-Bruno pour qu'on puisse s'acheter des panini. D'après Marion, ce sont les meilleures du monde. Je pense qu'elle exagère !

Mon chauffeur nous amène dans un parc de Grenoble pour qu'on puisse être tranquille. Les panini sont vraiment succulents, excellents.
J'aurais tellement voulu qu'elle vienne avec moi mais ce n'est pas trop possible. Marion a obtenu un poste. Pour éviter de trop bouger et de rester debout toute la journée et comme elle aime être sur le terrain, Marion a pu obtenir un travail comme Gendarme. Ça lui plait vraiment, même plus qu'être militaire.

Après avoir fini notre panini, nous reprenons la route pour aller au CEA. On passe par la gare puis on arrive assez rapidement au CEA. Lorsqu'on y arrive, je vois que c'est comme une prison ou comme une caserne militaire. C'est très difficile d'y entrer sans y avoir l'autorisation. Le directeur du CEA vient vers moi et me dit visiter les différents bureaux.
C'était vraiment intéressant. J'ai beaucoup apprécié cette visite. Mais la visite se termina.
Je rejoignit la voiture puis nous sortons du secteur. Marion étant une habitante de Villards de Lans , je décida d'aller au plus près de cette ville.
Mais une voiture nous double. Elle n'a pas respectée le code de la route car c'est une ligne blanche.
Puis cette voiture nous bloqua et deux hommes surgirent. Ils étaient armés.
Une des balles traversa un des pneus.
On ne pouvait plus bouger. Mon chauffeur me demanda de ma baisser puis sorti une arme qui se trouvait dans le coffre. Il sortit de la voiture et tira plusieurs balles. De nombreux véhicules rebroussèrent chemin.
Puis mon chauffeur reçut une balle. Je ne savais pas s'il était encore en vie mais comme je n'étais plus en sécurité, je descendis du véhicule et me jeta dans l'Isère. Au moins, j'etait en sécurité mais je n'aurais jamais imaginé qu'il y aurait autant de puissance dans cette rivière. Je réussis à atteindre la rive. Je marcha jusqu'à ce que je trouve une gendarmerie. La porte s'ouvre et des gendarmes sortent pour me rejoindre. Le commandant de la brigade me demande pourquoi je suis tout seul. Je leur réponds que je me suis fait attaqué sur un pont. J'étais avec mon chauffeur.
Les gendarmes pensent assez rapidement à un acte terroriste.
Comme je n'avais plus de téléphone utilisable, je demande à ce qu'on me prête un téléphone. Mon téléphone a rendu l'âme lorsque je me suis jeté dans la rivière.
Je téléphone à Marion pour lui dire ce qu'il s'est passé et pour lui dire que je vais bien, que je ne suis pas blessé.