XIV. PDV de Macron

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Je me réveilla avec une violente douleur à la tête dans une sorte de cellule. Je ne sais pas trop. Il n'y a même pas de fenêtre. Je me demande vraiment où je suis.
Je touche alla tête pour savoir si c'est grave. J'ai du sang séché sur la tête.

Quelques minutes plus tard, un homme en cagoule ouvre la porte et se rapproche de moi.

- Alors Emmanuel. Ça va ?
- Euh. Vous êtes? Votre voix me dit quelque chose!
- Je travaille pour vous. Mais suis-je un ministre ou un personnel de l'Elysee? À vous de le découvrir! Dit-il avec un rire forcé.

- Que voulez-vous ? Je peux faire tout ce que vous voulez?

- J'aurais besoin du code de l'arme nucléaire !

- Mais j'espère que vous blaguais car je ne voudrais jamais vous le donner. Et en plus, je n'ai pas le code en entier.

- On sait. On a aussi la personne qui a la mallette nucléaire. À vous de voir!

- Shit! Même si vous l'avez aussi. Je ne vous le donnerez jamais.

- C'est ce que tu crois.
Penses-tu supporter la torture?

- Euh...

- Je te laisse réfléchir.

Il ressortit. Je n'avais pas de menottes donc je pouvais circuler partout dans la cellule pour observer et trouver un moyen de m'enfuir.

Je palpa les murs et toque pour savoir où il y a un mur creux pour que je puisse le casser. Mais rien. Ça a l'air d'être solide.

J'attendais et Morphée vient me voir.😴

Quelques heures plus tard, je me réveille. Je me dis que je devrais me cacher derrière la porte pour le surprendre et ensuite courir jusqu'à la sortie.

Peu après, un homme en cagoule ouvre la porte. Je poussa la porte et l'homme est percuté par celle-ci. Il s'effondre. Je le fouille pour voir s'il a des clés et je l'enferme. Je cours comme je l'avais prédis et me retrouve assez rapidement à l'extérieur.

Quand j'arrive à l'extérieur, je suis devant une infinité de champs. Je me demande bien où je suis. Je m'aventure dans ces champs de maïs et de blé.
Quelques kilomètres plus loin, je traverse une forêt.
Je m'arrête un peu pour me reposer.
Quelques mètres plus loin, je vois un cheval où il est écorché. Il a l'air d'avoir été maltraité par ses maîtres. Je m'approche de lui. Il s'éloigne un peu moi. Je lui montre ma main pour qu'il puisse me sentir. Il la sent puis se laisse venir vers moi. Je le caresse pour gagner sa confiance.

Puis je décide de le monter. On parti au galop. On rejoint une route. Je m'arrête. Je ne sais pas du tout s'il fait aller à gauche ou à droite. Je décide de prendre la gauche.

Quelques kilomètres plus loin, je vois que je me retrouve près de la caserne de Marion. Je laissa le cheval à l'extérieur.

J'essaye de me faufiler par un trou au grillage qu'il y avait. Et je retrouve l'appart de Marion. Elle m'avait dit dans quel bâtiment elle était. Elle avait même fait une deuxième clé pour moi au cas où.

Je rentra dans son appart.
Et j'attends.

Coup de foudre: MacronOù les histoires vivent. Découvrez maintenant