Chapitre 10: Réponse

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-C'est délicieux! s'exlama Talius, qu'est-ce que c'est?

Talius était en train se dévorer une mixture verdâtre qui lui avait été servit dans un bol de céramique. Il se situait avec Agmir dans une sorte d'immense cafétéria.

-Un ragoût d'oiseau-mante tropical, lui répondit Agmir.

-Je sais pas c'est quoi, mais c'est délicieux.

-C'est un insecte à trois tête mesurant ta taille qui vie dans les régions chaudes et tropical.

Talius retint un haut-le-cœur.

-Je... je n'ai plus faim finalement, bégaya Talius.

-Ce n'ai pas grave. C'est maintenant l'heure des réponses. Pose-moi toutes les questions dont tu à envie, je suis tout à toi.
-Premièrement, où suis-je exactement?

-Tu te situe à la Citadelle des Gardiens, qui est elle même situé sur le Pic des Cieux. C'est ce qui te donne l'impression d'être si haut dans le ciel. La Citadelle en elle-même n'est pas si haute. Par contre, la montagne, elle, est gigantesque. Le Pic des Cieux est situé en plein centre de l'Arkiodav. L'Arkiodav est situé sur le même contient que le Tyrnnag, la terre des orcs. Ils sont les ennemis déclarer des humains. L'Arkiodav est lui même situé dans l'Archipel des Temps. Il y a d'autre nombreuses îles dans cet archipel mais la deuxième plus grande après la notre est Utopia. C'est la terre des elfes.

-C'est très intéressant, mais qui sont réellement les gardiens.

-Ce sont les protecteurs des humains. Formé pour être l'élite de l'élite militaire, ils sont formés au maniement de plusieurs armes et connaissent de nombreuses stratégie guerrière. Ils sont séparés en plusieurs régiments. L'armé de terre, la marine et les voltigeurs. Chacune à leur utilité spécifique.

-Et quel est le lien avec moi.

-Tu dois devenir un gardien.

-Moi? Mais pourquoi... Tout ce que je veux, c'est retourné chez moi, retrouver mes amis, ma famille, ma vie.

-Ton chez toi est ici.

-Non, je n'ai rien à faire ici et...

-Tu es né ici, Talius.

-Quoi!? Comment est-ce possible.

-Tu n'as jamais remarqué les indices laissé sur ton chemin. Ton nom, le fais que tu sois adopté, tes amis...

-Non, non, non c'est impossible.

-C'est pourtant la vérité même si elle est difficile à admettre.

-Prouvez-le moi, présentez-moi à mais «vrai» parent.

-...

-Quoi? Ah, je sais. Ça va faire comme dans les films et vous allez m'annoncer qu'ils sont mort, c'est ça?

-Comment à tu pus deviner.

-C'est l'évidence même. Il n'y a aucune autre meilleur manière de présenter des fausses preuves qu'en disant qu'elles ont disparus. Vous voulez me faire croire que je viens d'ici. Vous me dites que je suis né ici mais que mes parents sont mort. Si vous voulez que je reste, il me faudra des preuves, et des preuves concrètes!

-Génial! Incroyable! Tu es encore plus impressionnant que je le pensait. Je pensait que tu mordrais au coup des parents morts. Tes parents sont vivant, mais ils ne sont pas ici. On te les présentera bientôt.

-Piètre excuse, retorqua Talius.

-Je te comprend de pas me croire.

Soudain, un coup de gong puissant retentit.

-Ah, c'est l'heure du dîner pour les recrues. Ils arriveront bientôt.

Un assourdissant bruit de pas retentit dans le hall. On aurait dit un troupeau enragé de chevaux au galop. Les premières recrues arrivèrent. Ils étaient tous vêtus du même uniforme. Ils avaient tous les cheveux coupé court et portaient tous une veste matellasée. Leur pantalon de chanvre épais était rentrer dans leurs bottes de cuir bouilli d'excellente qualités. Ils s'installèrent en groupe au table de bois et rapidement, de nombreuses et bruillantes conversations envahirent le hall. Les recrues avaient de 14 à 20 ans. Talius se retourna. Agmir avait disparu. Talius commença à paniquer. Il se leva. Un groupe de jeune homme s'approcha:

-Qu'est-ce qu'il y a, ta perdu ta mère? demanda l'un d'eux.

-Savez-vous où est passez Agmir? répondit Talius.

-Ah, une nouvelle recrue! Les gars, ça vous dit qu'on l'initie à la dure vie des gardiens?

Tous les jeunes hommes répondirent affirmativement. Ils encerclèrent Talius. Autour d'eux, les conversarions s'était tus. Les jeunes qui avait parlé leva le poing. Talius voulu se protéger le visage. Le coup n'arriva pas. Une main lui ébouriffa la cheveux.

-Tu pensais vraiment que j'allais te frapper? Tous peureux, les nouvelles recrues.

Ils partirent. Le dîner termina quelques minutes plus tard. Talius ne savais pas quoi faire. Visiblement, c'était un test. "Oui, c'est ça, il me test" pensa-t-il. "Je dois me débrouiller seul. Il veut voir si je suis capable d'agir seul." Il se dirigea d'un pas nonchalant vers un couloir quelconque. Après avoir erré pendant quelques minutes dans les couloirs, il déboucha dans une cour. Là, plusieurs élèves étaient assis au sol, écoutant un grand homme. Il était vêtu d'une vieille chemise de mailles. Il dit:

-Ah, voilà l'élève qui me manquait. Agmir m'avait prévenu de ton retard. Allez viens, en courant!

Talius courut rejoindre les élèves. Il était presque sûr que c'était en quelque sorte un professeur. Il se lança dans un long discours sur l'importance de savoir se défendre sans arme. "Vous pouvez être désarmé à tout moment!" Les élèves ne prêtaient presques aucune attention à son cours.

-Comme vous ne semblez pas intéressé en mon cours, dit-il un sourir malin au lèvre, vous allez me montrer se que vous savez faire. Placez vous en deux lignes. Vous n'avez pas le droit au coup au visage et à l'entre jambe.

Les élèves se plaçèrent en ligne, trépitant d'exitation. Les deux premiers combattants avancèrent. Le combat dura longtemps, aucun des deux n'osant frapper de toutes ses forces. "Plus fort, frappez plus fort!" cria le professeur. Le combats continuèrent, puis vint le tour de Talius. Il était face à une fille de son âge. Il était de même taille, mais elle était plus svelte. Elle avait le corps taillé pour l'athlétisme: sans un once de gras. Son crâne était rasé sur les côtés mais ses cheveux blonds au centre descendait jusque dans son dos. Une multitude de cordelettes les maintenaient en place pour formé une longue tresse qui descendait jusqu'à sa taille. Un sourir illumina son visage. "Combattez" cria le professeur. La jeune femme se plaça en une garde de combat. C'est à ce moment que Talius croisa son regard. Les yeux noirs de la jeune fille pétillaient d'insolence et de liberté. Talius fut immédiatemment envoûté par ce regard franc. Il ne vit pas venir le coup. Elle sauta en l'air. Il leva les mains. Sa jambe fut fauché et il tomba au sol. Il voulut se relever, mais elle lui fit une redoutable clé de bras. Talius cria de douleur. Il crut que son bras allait briser tant il avait mal. Puis, aussi soudainement qu'elle l'avait attaquer, elle le lâcha. Talius se releva avec peine. Elle lui tendit la main. Il la serra.

-Je m'appelle Éliane. Bien combattu.

Les Quatre Destins (En Pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant