Je suis un homme, pas une fillette.
J'étais dans le bureau de mon père quand il reçu un appel. On lisait de la joie sur son visage, ce si signifiait qu'il venait de recevoir une bonne nouvelle.
J'étais assis dans un bureau qui allait bientôt devenir le mien. Moi Vayatchimy Amyr, futur successeur de la mafia que dirigeait mon père.
J'ai vécu toute ma vie dans ce monde de mafieux et dangereux. Ma mère m'avais mise au monde alors qu'elle n'avait que 18 ans. Elle et mon père avaient commencés à sortir ensemble quand elle avait 15 ans.
Ma mère était la plus canon, la plus belle fille à la peau noir de son lycée d'après ce que disait tout le temps mon père.
Il avait pris longtemps à conquérir son cœur.
Elle avais de long cheveux crépus. Mon père aimait beaucoup ses cheveux, ses yeux marrons et sa couleur de peau intense. Mon père étais fou d'elle. Il disait que c'était ses lèvres qui l'avait rendu fou.Mes parents se marièrent après ma naissance. Et formèrent leur propre famille. Ils étaient le premier couple noir et blanc dans la mafia américaine. Mon père s'appelait Vayatchimy Amyr et ma mère Vayatchimy Carolina.
Mon père lui était grand, je comprenait mieux pourquoi je l'étais également. Il avait des cheveux noirs, des yeux de couleur noisette avec des sourcils noirs. Des lèvres roses et fins. Il laissait toujours quelques centimètre à sa barbe. Il n'était pas le plus beau de son lycée.
Contrairement à ma mère, il avait un fort caractère. Il était stricte, direct,jaloux... Et ma mère était aimante, toujours souriante même quand elle se sentait mal.Lorsque mon père finis la discussion qu'il avait eu au téléphone il raccrocha et un sourire se dessina sur ses lèvres.
–Ils ont la petite, s'exclama mon père.
Mon père voulait se venger de cette fille pour je ne sait qu'elle raison. Il voulait la faire souffrir disait-il, qu'elle devais payer. Cela faisait 2 ans déjà que mon père n'arrêtait pas de suivre cette jeune fille, Marina Lamarthane. Il ne m'avait jamais dit pour qu'elle raison, il la poursuivait malgré mes nombreuses interrogations à ce sujet.
–Que compte tu lui faire, demandai-je.
–Moi je ne vais rien lui faire, je ne serait bientôt plus le patron de cette organisation, répondit-il.
–Alors relâche là, car à moi elle ne m'a rien fait, dis-je espérant qu'il sera d'accord.
–Tu n'a pas le choix Amyr, alors tu fera ce que je te dirais de faire. Je veut me régaler en voyant comment tu t'y prendra. Juste la voir souffrir,me supplier.Je le regardait dans les yeux et je voyais qu'il n'avait aucune pitié. Mon père voulait que je soit comme lui, sans pitié. Il voulait que les gens me craignent. Je faisait tout pour qu'il soit fier de moi, je faisait en sorte de ne pas le décevoir.
La première fois que je l'ai déçu c'était au lycée. Un camarade de classe prénommé Jack ne fesait que se moquer de moi.J'avais 16 ans, j'étais timide je n'était pas l'homme que j'étais devenu aujourd'hui. Personne ne savait que Vayatchimy Frédéric avait des enfants. Un soir, je rentrais cher moi en pleurant, le visage défiguré en boitant. Jack et ses amis m'avait barré, pour me tabasser.
Quand mon père me vis dans cet état, il s'est directement mis en colère contre moi.
–AMYR, QUE T'ES-T-IL ARRIVÉ, cria-t-il.
–Je me suis fait agressé par Jack et ses amis. Répondis -je d'une petite voix.
–ET TU NE SAIT PAS TE DÉFENDRE, DIEU TA DONNÉ DES MAINS POUR QUOI?, continua-t-il.Je me mis à pleurer comme un enfant à qui en venait de lui prendre sa sucette.
–ARRÊTE DE PLEURER COMME UN ENFANT TU ME FAIT HONTE.
Ma mère essayait de me défendre. Alors que je séchait mais larmes pour que mon père ne pense pas que je suis un moins que rien.
–Fred, ne te fâche pas contre lui, ils étaient à plusieurs à le frapper. Dit-elle.
–CETTE HISTOIRE NE TE REGARDE PAS C'EST ENTRE MOI ET MON FILS.
–Mais Fred...
–ÇA SUFFIT CAROLINA!, en coupant ma mère.
–Demain tu vient avec moi, et sèche tes larmes, tu as l'air d'une fillette, grognait mon père.Le lendemain mon père et moi sommes allé dans un entrepôt loin de la ville. Il avait enlevé jack de force à la sorti des cours. Arrivé sur place on descendit de la voiture. Jack était tenus par deux hommes. Mon père me tendis une arme à feu. Il se retourna vers moi et me dit:
–Tu sait ce qu'il te reste à faire fiston.Je tirai en visant son torse. Je me dit que plus jamais je laisserais qui que ce soit me marcher dessus. C'est ainsi que tout les élèves du lycée sus que j'étais le fils de Vayatchimy Frédéric.
Mon père s'avança vers la sortie du bureau tandis que je le suivais.
–Ne me déçoit pas Amyr, conclut-il.
Il ne fallait plus que je le déçoit. Je voulais qu'il soit fière et qu'il ne pense pas que je soit une fillette.
Arrivée dans la pièce principale je vis mon petit frère Mahrwan qui avait 2 ans de moins que moi. Il aimait se monde de mafieux ou il avait tous ce qu'il voulais quand il le voulais. Il était le plus beau toute les filles étaient à ses pieds. Il était exactement comme mon père, ils avaient le même caractère.
Mon père nous aimait tous malgré les différents malentendus que l'on avait pu avoir.
Il était bruns plus foncé que moi, il avait les cheveux bouclés court, les yeux marrons clair et des lèvres pulpeuses roses comme celles de maman. Son seul défaut était ses long pieds, il chaussait déjà du 44.–Alors vous allez ou comme ça ? Demanda-t-il.
–On va voir marina la rebelle. Qui est désormais la prisonnière du futur boss. Dit mon père en tapotant mon frère sur son épaule gauche.
–Qu'allez vous lui faire, souris mon frère.
·La détruire voyant, Mahrwan, dit mon père en rigolant tout en s'éloignant vers la porte
–mais qu'à-t-elle fait, me demanda mon frère en me chuchotant à l'oreille.
–justement, papa ne se venge pas contre ses ennemis sans raison.Mon frère avait raison de se poser des questions car mon père ne traite pas ses ennemis de cette manière. Peut-être qu'il nous cache quelques chose.
–On finira par savoir, dit-il.
Je suivais mon frère qui se dirigeait déjà vers la voiture à grand pas, une voiture noir au vitre teinté. C'était mon père qui allait conduire car il était le seul à connaître l'endroit. On était tous accompagné de notre arme à feu.
Il nous conduit loin de la ville, dans une forêt déserte. Il y'avais une petite cabane en bois, c'était là que se trouvait Marina.
De là où mon père s'était garé, on entendait les cris et les hurlement de Marina. Elle hurlait si fort qu'on pu entendre les insulte qu'elle adressait à ma famille. L'un des hommes s'approcha de la voiture, mon père baissa la vitre teinté pour apercevoir l'homme. Il était avec des lunettes noir ne laissant pas voir ses yeux.–M.Vayatchimy, la jeune fille est très agitée. Elle hurle et essaye d'ouvrir la porte en donnant des coups de pieds contre le mur, dit l'homme en s'adressant à mon père.
–Qu'avez vous fait, demandai-je assis au siège passagers à coter de mon père.
–On ne lui a rien fait, on attendait vos ordres monsieur.
–Vous pouvez disposer je m'en occupe, lui dis-je.L'homme s'éloignait de la voiture tandis que je descendait pour m'approcher de la cabane. Je ne savais pas quoi faire à Marina. Je ne savais toujours pas pourquoi mon père voulais lui faire du mal. Mais il le faisait sûrement pour une raison. Mon père et mon frère l'avait déjà vu mais je ne l'avait jamais vu. Je ne savais pas à quoi elle ressemblait et qu'elle caractère elle avait. Qu'allait-il se passer quand j'allais rentrer dans cette cabane?
Plus je m'approchais plus j'entendais cette fille crier et frapper de plus en plus fort, elle ne se fatiguait pas. Elle insultait menaçait la personne qui l'avais enlevée.–JE VOUS HAIS, VOUS QUI M'AVEZ S'EPARÉ DE MA MÈRE. JE SORTIRRAIS ET JE VOUS TUERAIS DE MES PROPRES MAINS. JE N'AI PAS PEUR.
Elle m'énervais avec ses insultes, j'avançais donc de plus en plus vite. J'ouvris la porte brusquement la refermant derrière moi. Et un claquement se fit entendre. Nous laissant dans le noir. Tout à coup il n'y avais plus aucun bruit on était enfin face à face.
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The black rebel (La rebelle noire)
ActionQuand les erreurs du passé refont surface dans le présent le future s'annonce bouillonnant. Entre amour, amitié, jalousie, mensonge, corruption, haine et meurtre la vérité finit toujours par éclater au grand jours.