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Les larmes du ciel.

Le face à face avec Marina était très bizarre. Lorsque mes yeux et les siens se sont croisés je ne pouvais y lire aucun sentiment.

      Mon père avait d'écrit son caractère de rebelle, trompeuse et manipulatrice. J'ai juste pus voir son côté rebelle. Pour briser le silence qui s'était imposé elle voulu se jeter sur moi mais je ne la laissa pas faire. Lorsque elle fut assez proche de moi, je lui pris à son cou par surprise.
     Je la vis écarquillés ses beaux yeux marron, ses cheveux étaient ébouriffés cela lui donnait l'air d'être folle.
      Je la plaqua contre le mur brutalement qui lui fit gémir de douleur. Je commençai à serrer sa gorge de plus en plus fort en la regardant droit dans les yeux. Elle entrouvrit la bouche pour pouvoir respiré. Je remarquais ses jolies lèvres, j'en avait jamais vu d'aussi belle à part celles de ma mère. Elles avaient quasiment les même lèvres.
  Il n'y avait pas assez de lumière pour que je puisse bien la voir.
    Je m'approchais de son visage, près de son oreille droit.

–Tu a intérêt à te calmer, sinon je n'hesiterais pas la prochaine fois, lui dis-je tout doucement.

   Je me retournais et marchais jusqu'au mur pour décrocher une plateforme en bois qui cachait une fenêtre. Je me souvins que durant le trajet mon père m'avait dit de ne pas décroché cette plateforme. Mais je voulais voir cette fille de plus près, scruté chaque partie de son corps.
   La fenêtre était assez grande pour que la lumière puisse éclairer toute la pièce mais trop petite pour qu'une personne comme moi puisse y passer.

    
   Je me retournais et vis qu'elle s'était écroulé à terre sur ses deux genoux. Elle tenait son cou entre ses deux mains et me regardait  en mettant toute sa colère dans ses yeux.

–Ne t'avise plus jamais de vouloir m'attaquer.

Elle se mis à ma hauteur et je vis qu'elle avait mis un jeans large avec une ceinture marron, à sa tenue en pouvais voir qu'elle n'était pas très féminine. Elle était grande et mince mais pas assez pour me dépasser. Elle avait des cheveux d'un noir intense et crépus. Elle était noir comme le chocolat.

   Elle faisait tout pour me convaincre de la laisser partir. Elle parlait de sa mère avec tant de douceur et je remarquais que c'était sa mère son point faible. Je lui déclara mon identité avant de me rendre vers la porte. Je lui jetai un derniers regard.

–Vous n'allez pas m'avoir aussi facilement, dit-elle toute fière quand elle vis que je la regardais, je sortis et ferma la porte.

Je discutais avec les hommes et je vis mon père et Mahrwan s'approcher. Je donnais au deux hommes des instructions à suivre.

–Vous devez bien la surveillé, si elle continu de crier comme ça vous avez le droit de l'attaché mais rien de plus.
–Oui M.Amyr, on attendait les instructions avant de pouvoir faire quelque chose, répond l'un d'eux.

Mon père et mon frère étaient arrivés tout en souriant, il se demandaient sûrement ce qui s'était passée.

–Alors frérot..., mon frère n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'on entendit un bruit à l'intérieur.

–C'est quoi ça ?demanda mon père.

    On entendit comme un verre qui c'était brisé. J'ouvris la porte brusquement et vis que la fenêtre qui éclairait toute la pièce était en mille morceaux. Je m'approchais de la fenêtre et vis Marina s'enfuir vers la forêt.
    Elle avait pas pu me faire ça il fallut qu'elle voit cette fenêtre pour qu'elle puisse la détruire et s'enfuir. Je compris mieux pourquoi elle disait qu'elle ne dormirait pas une nuit ici. Cette fille me mettait dans de sacré problème.

The black rebel (La rebelle noire)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant