Me revoilà dans cette réalité,
Croissante est la fragilité,
De ce lien qui me retient,
Dans ce petit recoin.
Une bonne âme à appelé les secours,
Je dois refaire le même parcours.
Faire croire que tout va bien,
Sortir de cet hôpital, et enfin,
Avoir le droit de m'envoler.
Non, je ne veux pas être consolée.
Non, je ne veux pas respirer.
Avec cet acte désespéré,
Je souhaite simplement,
Que cesse mes tourments.
Entendez mon hurlement...
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Une dernière lettre
ŞiirSuite de cinq poèmes dont je n'ai pas trouvé de description. ils sont amplement dépressifs et n'ont que peu d'espoir en eux.