Fatima |8|

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/ FATIMA /

Les jours, puis les semaines et ensuite deux mois sont passés. C'est deux mois ont étés très durs pour moi car suite aux quatre test que j'avais fait, j'avais appris que j'étais tombé enceinte.

Les quatre appareils étaient tous positifs... Mais la possibilité que ce soit des faux résultats me traversais l'esprit. J'avais donc pris rendez-vous chez un médecin très réputé de la ville et il m'avait confirmer que j'étais bel et bien enceinte. J'étais sur un petit nuage et j'étais affreusement heureuse ! J'avais ressentis la même joie que celle que j'avais ressenti en apprenant que j'étais enceinte d'Aymen.

Je faisais tout pour être le plus discrète possible par contre c'était dur d'avancer. Je poursuivis toujours les recherches sur mon fils.
Le sois disant trafiquant m'avais annoncé que l'enfant ne me serait finalement pas destiner !

J'étais remontée et très troublée. J'avais proposé le double de la somme même le triple mais il refusait nette. J'avais demandé la raison pour laquelle je n'obtiendrai pas mon bébé et il m'avait tout simplement dit que quoi que je dise ou face je ne pourrai jamais donner la somme que l'autre personne avait donner pour lui. J'étais perdus. Qui aurait bien plus donner de l'argent pour mon fils ?

Des fois je me disais que c'était peut-être  Farid mais mon esprit me disait que non... Ça ne pouvait pas être lui...
J'étais limite en dépression. Je portais certes un enfant mais je n'arrivais pas à m'en remettre et à me faire à l'idée que ça fait deux mois que mon bébé à été vendu à un inconnu.

J'aurai pus faire des recherches mais par où commencer... Je ne connaissais même pas la somme que la personne avait donné pour mon bébé. J'aurai pus essayé de donner plus. Mais rien n'y faire.

Je me détruisait de jour en jour. Je n'allais même plus à l'entreprise tellement je tombais malade aussi souvent que l'eau coulait au robinet. Si mon ami Michel n'était pas là pour me soutenir je ne sais pas ce que je deviendrais...
Il avait encore une fois annulé les congés que je lui avais donné pour s'occuper moi et des charges commerciales. J'avais tellement honte.

Sa femme venait très souvent me voir et elle m'apportait tout son soutient car elle aussi avait au paravent perdus un enfant. Mais elle me disait que ça devait être pire de savoir que mon enfant est en vie et que je ne sais pas où il est.
Enfin bref...

Le soutiens de Michel et de sa femme n'était pas suffisant. J'avais besoin d'autre chose. J'avais pris énormément de poids depuis un certain moment car j'avais oublié l'enfant que je portais en moi avant cette prise de poids. Depuis maintenant presque un mois. J'essayais de me relever et de nourrir ce petit être en moi.. Mais si j'ai bien réussi à me relève c'est grâce un homme.

Oui ça m'a un peu choqué quand je me suis rendue compte de son efficacité. Au début je me souviens ne pas le porter à mon coeur... Mais ce sentiment c'est arrêter quand j'ai vus que lui aussi était la pour moi. Il ne savait pas ce qui m'étais arrivé dans le passé mais il tentait de me remonter le moral et ça allait de mieux en mieux.

Dylan. Cet homme que je haïssais sans le connaître. Dylan c'est le basketteur que je n'aimais pas mais quand Michel l'a informé de ma situation et du fait que je voulais me laisser mourir, il est venus me voir et m'avait fais sortir de force malgré ma tenue de clocharde et de dépressive.
Il m'avait tellement goinfrer le jour là que j'en suis encore pleine.

Et ça continuait tout les jours. Il venait me prendre pour me changer les idées et me remonter le morale. Au début c'était dur de m'ouvrir et de lui parler mais il m'a prouver que je pouvais lui faire confiance et que tout irai bien.

Sans une majeure partie de l'affection de cet homme je ne sais pas ce que mon enfant serait devenue. J'avais vraiment regretter de m'être laisser aller en oubliant mon bébé.

Chronique que Fatima : l'amour après le mariage. / Réécriture /Où les histoires vivent. Découvrez maintenant